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Afin de ménager la susceptibilité
de chacun, je tiens à préciser que l'ordre des présentations
n'est pas issu d'un quelconque classement revu chaque semaine
en fonction de mes préférences.
Il est le fruit du hasard de mon inconscient, c'est à dire
troublant et logique dans la confusion.
Si vous n'êtes pas en photo, il y a plusieurs hypothèses
à envisager :
- je n'ai pas de photos de vous
- je n'ai pas encore de photos de vous mais cela ne saurait tarder
vu l'appareil photo que ma soeur m'a donné début
novembre 2001
- j'ai des photos et je vais m'occuper de votre cas plus rapidement
que vous ne le souhaiteriez...
- vous n'êtes pas mes amis (ben oui, c'est quand même
à envisager...) |
Estelle - Isabelle
- Vinz - Jean-Hugues et Adélaide
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1992 : le défilé
Tout d'abord, honneur aux femmes.
Donc là, si je me souviens bien, c'était le défilé
1992 de chez Guy Degrenne.
Estelle nous présente une cuillère à dessert
avec manche en polycarbonate expansé alors qu' Isabelle
cache derrière son dos le clou du spectacle : une cloche
à fromages. Malheureusement, il n'y avait plus de piles
dans l'appareil photo. Du coup, y'a pas photo...
Nota : remarquez le décor exotique du plateau avec palmiers
à foison, micro-ondes avec touche Crisp et double interrupteur
va-et-vient au même endroit (pour devenir fou, il n'y a
pas mieux). |

1992 : l'après défilé
Bon, vous savez ce que c'est, quand on vient à un défilé
c'est aussi pour le repas qui va bien qui suit. Et comme nous
on est plutôt sympa, on a invité les mannequins à
notre table. Remarquez, ça aurait été chien
de notre part vu que c'est Estelle qui cuisinait...
Vous avez donc reconnu de gauche à droite Isabelle, Vinz
(son mari qui visiblement reprend son souffle après avoir
fait de l'apnée entre l'entrée et le plat principal),
Myself, Jean-Hughes (qui a été aussi un de mes collègues
de travail) et Estelle (sa femme). |

02/09/2000 : c'est pas beau tout ça ?
Que voulez vous que je vous dise ? Les choses de la vie sont tellement
prévisibles que j'aurais pu le prédire depuis bien
longtemps. Bon ben c'est fait. Et puis bien fait. Le genre de
mariage où rien ne vous est refusé. J'aurais aimé
trouver un vice de procédure histoire que le mariage soit
à refaire mais j'ai beau chercher, je ne trouve décidément
pas.
Désolant de perfection ! |

07/07/2001 : nous n'irons plus aux bois
Soirée chez Hélène et Marius, à Boulogne.
Entre Isabelle et Estelle, j'ai plutôt intérêt
à me tenir à carreau. Là j'ai dû sortir
une connerie qui a fait mouche. Comme ce n'est pas le cas tous
les jours, autant en profiter pour se marrer. |

07/07/2001 : les boulonnés
Hélène et Marius.
Marius fait toujours le malin quelle que soit la situation. Mais
le problème c'est qu'avec nous ça fait bien longtemps
que cela ne fonctionne plus. Du tout. Du coup, il ne lui reste
plus qu'à essayer d'impressionner la pellicule. Ça
il arrive encore à le faire. |

07/07/2001 : pas tout le temps
Je retire ce que je viens de dire parce que visiblement la pellicule
n'est pas dupe plus d'une fois par soirée. Ça fait
un peu retour vers le futur sauf que là, la mission ne
consiste pas à retrouver ses parents mais plutôt
son verre. Jean-Hughes semble ne pas avoir ce type de problème.
Son problème à lui serait plutôt de se faire
remplir à nouveau le sien qui doit être vide vu son
état (du verre ou de Jean-Hughes, c'est comme on veut).
Et Hélène, bon public, se marre. Faut dire qu'elle
doit s'entraîner à la maison. |

07/07/2001 : début de soirée
Je crois bien que les photos ne sont pas classées par ordre
alphabétique. Tant pis. Ce sont toujours les mêmes
mais réunis sur la même photo avec en plus Vinz qu'on
n'avait pas encore vu avant. D'un autre côté, comme
avant ils n'étaient pas arrivés, on ne risquait
pas de le voir. Donc tout est nominal. On perçoit aussi
Adélaïde sur les genoux d'Hélène, masquée
par une plante qui ne pousse quand dans les quartiers ouest de
Paris. |

07/07/2001 : vous me reconnaissez ?
Comme vous me connaissez mal (non ?), voici un gros plan de moi-même.
Ce n'est pas tous les jours, alors j'en fais profiter tout le
monde. Sympa non ? |

11/2001 : 'Salut, c'est moi que v'là ! Bon ben à
plus !'
Voilà Adélaïde, la fille d'Isabelle et Vinz
née le 13/01/2001.
Elle est marrante. Le problème c'est qu'elle est hyper
contente un peu trop souvent. Surtout quand je suis là.
Les amateurs des Nuls comprendront l'allusion...
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11/2001 : détente chez Isa et Vinz
C'est pas parce que je ne travaille pas que je n'ai pas le droit
de me détendre. Non mais !
Donc là Estelle tente de faire lire Adélaïde
qui va pas tarder à être hyper contente car je sens
que c'est son heure.
Moi je me réhydrate avec la boisson diététique
de l'effort. On a beau dire mais on se déshydrate toujours
trop vite !
C'est pendant cette soirée qu'on a regardé Apparences
avec H. Ford et M. Pfeiffer, un thriller. Estelle était
tellement terrorisée que j'ai craint pour ma vie quand
elle a attaqué la salade avec fourchette et couteau en
regardant le film... |

11/2001 : je suis hyper content aussi
Là apparemment tout va bien. Je peux même passer
à l'improviste chez Isa et Vinz, il y a toujours une 1664
pour moi au frais. Et ça, ça fait toujours plaisir.
Notez la métaphore entre la bière et l'amitié.
Je suis vraiment hyper fort en métaphore. |

11/2001 (un peu plus tard) : A trop user de la métaphore
Bon, d'un autre côté, faut quand même reconnaître
que le frigo de Vinz, c'est pas non plus la taverne d'Ali Baba
avec double fond et pressions à tous les étages.
La source commence à se tarir. Et on sent l'inquiétude
monter, comme la mousse qu'on ne voit plus. Faut dire aussi, quelle
idée Isa de mettre des poireaux dans le bac à légumes... |

19xx : qui c'est ?
Et voilà le grand jeu de l'année. Qui se cache derrière
cette photo de poupon coiffé avec un pétard ?
Le gagnant recevra les poireaux du bac à légumes
de Vinz en cadeau. Ça libérera de la place pour
la 16 et moi ça m'arrange. |
Laurence - Stef -
Anselme - François - Nathalie - Aristide - Ernest
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1992 : tout le monde est là ?
De gauche à droite : Ernest, Stef, Myself, Anselme Aristide,
tous des copains de promo que vous connaissez depuis votre visite
dans la galerie relative aux études.
On allait au mariage de François à Rouen alors histoire
d'être sûr d'être au complet, on a effectué
le comptage avant le départ. Je sais : 3 noirs et 2 blancs,
le compte n'était pas bon mais François était
déjà sur place. Dans un sens heureusement parce
que la voiture de Stef, ce n'était pas un Traffic. |

1992 : retour à la frontière
Stef, pour déconner, il disait qu'on allait raccompagner
les blacks à la frontière. On se marrait pour un
rien à l'époque. |

1992 : on est dans la place
Toujours au mariage de François : on vient d'arriver à
Rouen sur le lieu de notre hébergement. Quand je disais
qu'Ernest ronflait comme un salaud, personne ne me croyait. Jusqu'à
cette nuit. A part Ernest, tout le monde a fait nuit blanche. |

1992 : ça faisait longtemps qu'on n'avait pas picolé
Comme dans tous les mariages, on picole et on se fait photographier
avec les mariés.
De gauche à droite : Ernest (avec son sourire Colgate),
Stef (c'est pas le marié), Nathalie (la mariée),
François (le marié c'est lui), Aristide et Myself.
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1992 : retour vers l'enfer
Comme les pieux ils sont toujours trop courts et qu'en plus
ils foutent des bois de lit à la con, j'étais
obligé de mettre le matelas par terre et de dormir au
milieu des sacs. On peut voir également la tête
à Ernest, certifiée niveau 12 sur l'échelle
de Richter qui n'en comporte pourtant que 9. D'un autre côté,
comme j'étais par terre, je ne risquais pas d'avoir un
accident au cas où le lit se serait écroulé
à cause des ronflements d'Ernest...
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1992 : Stef au pays de Gulliver
Comme on faisait notre projet de fin d'études ensemble
au Luxembourg, nous avons fait une pause chez moi pendant le seul
déplacement que nous avons effectué. Stef avait
l'impression de se retrouver au pays des Géants. Il faut
dire que le plus grand de sa famille est plus petit que le plus
petit de la mienne. Mais c'est pas grave. Juste marrant.
De gauche à droite : Stef, Myself, Christine (ma petite
soeur), ma mère, mon père et la pintade aux mirabelles. |

15/07/1995 : un bien beau mariage
On reconnaît les mariés sans trop de problème
: Laurence et Stef. Moi je suis juste devant Anselme (copain de
promo) et Raffi. Je suis habillé en agent EDF, en gardien
de musée ou en contrôleur SNCF, c'est comme on veut.
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15/07/1995 : un bien beau gros plan
Anselme, Raffi et Myself. Comme moi je suis tout blanc et qu'eux
ils sont tout noir, le photographe a sûrement jugé
qu'il aurait été dommage de gâcher de la pellicule
couleur... |

15/07/1995 : J'crois que c'est bon
Sortie de Mairie réussie. Comme ils ont tous les 2 dit
'oui', on a pu enchaîner sur la suite.
Remarquez j'étais pas trop inquiet. |

15/07/1995 : A table !
De gauche à droite : Anselme, Laurence, Stef, Carine, Myself,
Sandrine (soeur de Stef) et Guido (son mari)
Preuve en est que j'étais à la table des mariés
(grand honneur) et ma cavalière était Carine, la
soeur de Laurence. Bon, c'est vrai que je suis un peu spécial
quand on ne me connaît pas (quand on me connaît aussi
mais les gens finissent peut-être par s'habituer...) mais
là faut quand même dire que c'est limite s'il a pas
fallu nous séparer avant que cela dégénère
en pugilat. Faut dire aussi que Carine c'est quelqu'un de spécial,
et comme on n'évolue pas vraiment dans la même catégorie...
Mais je vous rassure, je l'ai depuis revu plusieurs fois chez
Laurence et Stef et visiblement personne n'en a gardé de
séquelles...
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1995 : je ne mens jamais
Vous voyez bien qu'il n'y a pas de séquelles... |

1995 : en plein travaux
Quand Laurence et Stef habitaient Lyon, ils venaient de temps
en temps en week-end à Paris. Donc forcément fallait
bien cuisiner. Là ça doit être le petit déjeuner,
pas lourd avec bacon et oeufs. |
1995 : les touristes
Et évidemment, en plus de la cuisine, il fallait obligatoirement
faire visiter quelques monuments parisiens, histoire de justifier
le prix du billet de TGV. Là nous étions à
Versailles. Et c'était beau. Froid mais beau.
Notez également qu'on était fringués tout
pareil. Mais je vais vous donner une astuce pour me reconnaître
facilement : je suis le plus grand. Désolé Stef,
mais c'est quand même assez flagrant non ?
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