Les ami(e)s de Michel Mohr
 
MICHEL MOHR'S
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En direct ou en très léger différé, la preuve par l'image que oui, Michel Mohr a des amis.
Et qu'avec eux, on ne s'ennuie pas.
 


visiteurs depuis le 28/09/2001

Petit mot dans le livre d'or
Email à Michel Mohr
ICQ 21340010

 
 
     
 
Afin de ménager la susceptibilité de chacun, je tiens à préciser que l'ordre des présentations n'est pas issu d'un quelconque classement revu chaque semaine en fonction de mes préférences.
Il est le fruit du hasard de mon inconscient, c'est à dire troublant et logique dans la confusion.
Si vous n'êtes pas en photo, il y a plusieurs hypothèses à envisager :
- je n'ai pas de photos de vous
- je n'ai pas encore de photos de vous mais cela ne saurait tarder vu l'appareil photo que ma soeur m'a donné début novembre 2001
- j'ai des photos et je vais m'occuper de votre cas plus rapidement que vous ne le souhaiteriez...
- vous n'êtes pas mes amis (ben oui, c'est quand même à envisager...)



Estelle - Isabelle - Vinz - Jean-Hugues et Adélaide

1992 : le défilé
Tout d'abord, honneur aux femmes.
Donc là, si je me souviens bien, c'était le défilé 1992 de chez Guy Degrenne.
Estelle nous présente une cuillère à dessert avec manche en polycarbonate expansé alors qu' Isabelle cache derrière son dos le clou du spectacle : une cloche à fromages. Malheureusement, il n'y avait plus de piles dans l'appareil photo. Du coup, y'a pas photo...
Nota : remarquez le décor exotique du plateau avec palmiers à foison, micro-ondes avec touche Crisp et double interrupteur va-et-vient au même endroit (pour devenir fou, il n'y a pas mieux).

 

1992 : l'après défilé
Bon, vous savez ce que c'est, quand on vient à un défilé c'est aussi pour le repas qui va bien qui suit. Et comme nous on est plutôt sympa, on a invité les mannequins à notre table. Remarquez, ça aurait été chien de notre part vu que c'est Estelle qui cuisinait...
Vous avez donc reconnu de gauche à droite Isabelle, Vinz (son mari qui visiblement reprend son souffle après avoir fait de l'apnée entre l'entrée et le plat principal), Myself, Jean-Hughes (qui a été aussi un de mes collègues de travail) et Estelle (sa femme).

 

02/09/2000 : c'est pas beau tout ça ?
Que voulez vous que je vous dise ? Les choses de la vie sont tellement prévisibles que j'aurais pu le prédire depuis bien longtemps. Bon ben c'est fait. Et puis bien fait. Le genre de mariage où rien ne vous est refusé. J'aurais aimé trouver un vice de procédure histoire que le mariage soit à refaire mais j'ai beau chercher, je ne trouve décidément pas.
Désolant de perfection !


07/07/2001 : nous n'irons plus aux bois
Soirée chez Hélène et Marius, à Boulogne.
Entre Isabelle et Estelle, j'ai plutôt intérêt à me tenir à carreau. Là j'ai dû sortir une connerie qui a fait mouche. Comme ce n'est pas le cas tous les jours, autant en profiter pour se marrer.


07/07/2001 : les boulonnés
Hélène et Marius.
Marius fait toujours le malin quelle que soit la situation. Mais le problème c'est qu'avec nous ça fait bien longtemps que cela ne fonctionne plus. Du tout. Du coup, il ne lui reste plus qu'à essayer d'impressionner la pellicule. Ça il arrive encore à le faire.


07/07/2001 : pas tout le temps
Je retire ce que je viens de dire parce que visiblement la pellicule n'est pas dupe plus d'une fois par soirée. Ça fait un peu retour vers le futur sauf que là, la mission ne consiste pas à retrouver ses parents mais plutôt son verre. Jean-Hughes semble ne pas avoir ce type de problème. Son problème à lui serait plutôt de se faire remplir à nouveau le sien qui doit être vide vu son état (du verre ou de Jean-Hughes, c'est comme on veut).
Et Hélène, bon public, se marre. Faut dire qu'elle doit s'entraîner à la maison.


07/07/2001 : début de soirée
Je crois bien que les photos ne sont pas classées par ordre alphabétique. Tant pis. Ce sont toujours les mêmes mais réunis sur la même photo avec en plus Vinz qu'on n'avait pas encore vu avant. D'un autre côté, comme avant ils n'étaient pas arrivés, on ne risquait pas de le voir. Donc tout est nominal. On perçoit aussi Adélaïde sur les genoux d'Hélène, masquée par une plante qui ne pousse quand dans les quartiers ouest de Paris.


07/07/2001 : vous me reconnaissez ?
Comme vous me connaissez mal (non ?), voici un gros plan de moi-même. Ce n'est pas tous les jours, alors j'en fais profiter tout le monde. Sympa non ?

11/2001 : 'Salut, c'est moi que v'là ! Bon ben à plus !'
Voilà Adélaïde, la fille d'Isabelle et Vinz née le 13/01/2001.
Elle est marrante. Le problème c'est qu'elle est hyper contente un peu trop souvent. Surtout quand je suis là. Les amateurs des Nuls comprendront l'allusion...

 

11/2001 : détente chez Isa et Vinz
C'est pas parce que je ne travaille pas que je n'ai pas le droit de me détendre. Non mais !
Donc là Estelle tente de faire lire Adélaïde qui va pas tarder à être hyper contente car je sens que c'est son heure.
Moi je me réhydrate avec la boisson diététique de l'effort. On a beau dire mais on se déshydrate toujours trop vite !
C'est pendant cette soirée qu'on a regardé Apparences avec H. Ford et M. Pfeiffer, un thriller. Estelle était tellement terrorisée que j'ai craint pour ma vie quand elle a attaqué la salade avec fourchette et couteau en regardant le film...

 

11/2001 : je suis hyper content aussi
Là apparemment tout va bien. Je peux même passer à l'improviste chez Isa et Vinz, il y a toujours une 1664 pour moi au frais. Et ça, ça fait toujours plaisir.
Notez la métaphore entre la bière et l'amitié. Je suis vraiment hyper fort en métaphore.

 

11/2001 (un peu plus tard) : A trop user de la métaphore
Bon, d'un autre côté, faut quand même reconnaître que le frigo de Vinz, c'est pas non plus la taverne d'Ali Baba avec double fond et pressions à tous les étages. La source commence à se tarir. Et on sent l'inquiétude monter, comme la mousse qu'on ne voit plus. Faut dire aussi, quelle idée Isa de mettre des poireaux dans le bac à légumes...

 

19xx : qui c'est ?
Et voilà le grand jeu de l'année. Qui se cache derrière cette photo de poupon coiffé avec un pétard ?
Le gagnant recevra les poireaux du bac à légumes de Vinz en cadeau. Ça libérera de la place pour la 16 et moi ça m'arrange.

 

 

Laurence - Stef - Anselme - François - Nathalie - Aristide - Ernest

 


1992 : tout le monde est là ?
De gauche à droite : Ernest, Stef, Myself, Anselme Aristide, tous des copains de promo que vous connaissez depuis votre visite dans la galerie relative aux études.
On allait au mariage de François à Rouen alors histoire d'être sûr d'être au complet, on a effectué le comptage avant le départ. Je sais : 3 noirs et 2 blancs, le compte n'était pas bon mais François était déjà sur place. Dans un sens heureusement parce que la voiture de Stef, ce n'était pas un Traffic.

 

1992 : retour à la frontière
Stef, pour déconner, il disait qu'on allait raccompagner les blacks à la frontière. On se marrait pour un rien à l'époque.

 

1992 : on est dans la place
Toujours au mariage de François : on vient d'arriver à Rouen sur le lieu de notre hébergement. Quand je disais qu'Ernest ronflait comme un salaud, personne ne me croyait. Jusqu'à cette nuit. A part Ernest, tout le monde a fait nuit blanche.

 

1992 : ça faisait longtemps qu'on n'avait pas picolé
Comme dans tous les mariages, on picole et on se fait photographier avec les mariés.
De gauche à droite : Ernest (avec son sourire Colgate), Stef (c'est pas le marié), Nathalie (la mariée), François (le marié c'est lui), Aristide et Myself.


1992 : retour vers l'enfer
Comme les pieux ils sont toujours trop courts et qu'en plus ils foutent des bois de lit à la con, j'étais obligé de mettre le matelas par terre et de dormir au milieu des sacs. On peut voir également la tête à Ernest, certifiée niveau 12 sur l'échelle de Richter qui n'en comporte pourtant que 9. D'un autre côté, comme j'étais par terre, je ne risquais pas d'avoir un accident au cas où le lit se serait écroulé à cause des ronflements d'Ernest...

 

1992 : Stef au pays de Gulliver
Comme on faisait notre projet de fin d'études ensemble au Luxembourg, nous avons fait une pause chez moi pendant le seul déplacement que nous avons effectué. Stef avait l'impression de se retrouver au pays des Géants. Il faut dire que le plus grand de sa famille est plus petit que le plus petit de la mienne. Mais c'est pas grave. Juste marrant.
De gauche à droite : Stef, Myself, Christine (ma petite soeur), ma mère, mon père et la pintade aux mirabelles.

 

15/07/1995 : un bien beau mariage
On reconnaît les mariés sans trop de problème : Laurence et Stef. Moi je suis juste devant Anselme (copain de promo) et Raffi. Je suis habillé en agent EDF, en gardien de musée ou en contrôleur SNCF, c'est comme on veut.


15/07/1995 : un bien beau gros plan
Anselme, Raffi et Myself. Comme moi je suis tout blanc et qu'eux ils sont tout noir, le photographe a sûrement jugé qu'il aurait été dommage de gâcher de la pellicule couleur...

 

15/07/1995 : J'crois que c'est bon
Sortie de Mairie réussie. Comme ils ont tous les 2 dit 'oui', on a pu enchaîner sur la suite.
Remarquez j'étais pas trop inquiet.

 

15/07/1995 : A table !
De gauche à droite : Anselme, Laurence, Stef, Carine, Myself, Sandrine (soeur de Stef) et Guido (son mari)
Preuve en est que j'étais à la table des mariés (grand honneur) et ma cavalière était Carine, la soeur de Laurence. Bon, c'est vrai que je suis un peu spécial quand on ne me connaît pas (quand on me connaît aussi mais les gens finissent peut-être par s'habituer...) mais là faut quand même dire que c'est limite s'il a pas fallu nous séparer avant que cela dégénère en pugilat. Faut dire aussi que Carine c'est quelqu'un de spécial, et comme on n'évolue pas vraiment dans la même catégorie... Mais je vous rassure, je l'ai depuis revu plusieurs fois chez Laurence et Stef et visiblement personne n'en a gardé de séquelles...

 

1995 : je ne mens jamais
Vous voyez bien qu'il n'y a pas de séquelles...

1995 : en plein travaux
Quand Laurence et Stef habitaient Lyon, ils venaient de temps en temps en week-end à Paris. Donc forcément fallait bien cuisiner. Là ça doit être le petit déjeuner, pas lourd avec bacon et oeufs.

 


1995 : les touristes
Et évidemment, en plus de la cuisine, il fallait obligatoirement faire visiter quelques monuments parisiens, histoire de justifier le prix du billet de TGV. Là nous étions à Versailles. Et c'était beau. Froid mais beau.
Notez également qu'on était fringués tout pareil. Mais je vais vous donner une astuce pour me reconnaître facilement : je suis le plus grand. Désolé Stef, mais c'est quand même assez flagrant non ?

 

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