Michel Mohr a été jeune (69/87),

Part II

 
MICHEL MOHR'S
PAGES PERSOS
 
Ou comment on part de 53cm pour arriver à 1m98...
 


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Petit mot dans le livre d'or
Email à Michel Mohr
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1978 : le cours moyen
Photo de classe du CM1 à Longwy. Comme je suis plutôt reconnaissable, je ne vous ferais pas l'affront de vous dire où je me trouve. Juste un petit indice : j'étais dans le groupe 2. Je me souviens aussi que j'étais président de classe alors que je ne m'étais pas présenté. Moi je n'aimais pas vraiment ça. Je devais faire respecter l'ordre. Vous imaginez un peu ? Et comme arme, j'avais le droit, que dis-je, le devoir de filer des punitions à qui ne respectait pas les règles. Une année de dictature en quelque sorte ! Enfin, moi, je n'ai pas fini poignardé, c'est déjà ça...

 

1978 : la petite communion
J'ai fait ma petite communion. Puis ma confirmation. Puis ma profession de foi. Bref, la totale alors qu'au final je ne crois en rien. Mais bon, quand je commence quelque chose, j'ai l'habitude de le finir. Même si cela ne sert à rien. Ou du moins à pas grand chose...
Là c'est mon père avec son oncle et parrain qu'on appelle le tonton Emile vu qu'il s'appelle Emile. Pas con non ?

 

1978 : l'autre bout de table
Comme l'appareil photo m'a été offert a cette occasion, j'aime autant vous dire que vous allez en bouffer de la photo. Surtout pour l'année 78.
De gauche à droite : mes soeurs dont Christine avec ce qui semble être un alcootest..., mes 2 grand-mères et la tata Lucie, l'épouse du tonton Emile.

 

1978 : gros plan sur le saumon
Le repas de communion, c'était saumon frais à foison. On y voit ma mère, armes à la main et un gars en bas à gauche que le photographe ne pouvait pas encadrer...
Ah oui, et puis vous pouvez aussi voir ce qu'est une chaise Lorraine, objet de torture lors des repas sans fin.

 

1978 : photo officielle
Mes parents, Christine et moi avec mes pantalons à la Starsky et Hutch.

 

1978 : Mamie et Mémé
Mes 2 grand-mères pendant le repas.

 

1978 : ça se prépare
Christine qui à son air devait être en train de préparer une connerie genre 'coloriage sur les murs' ou autres chefs-d'oeuvre picturales de l'époque pré-claques ou post-fessées.

 

1978 : allez poupou !
En plus de mon Kodak avec poignée, j'ai eu aussi un vélo. Un Manufrance comme on n'en fera jamais plus. Avec trois vitesses : une pour aller vite, une autre pour aller moins vite et une autre pour ne pas avancer. Là, mon père devait plutôt être sur la dernière...

 

1978 : les non-nains de jardin
Tata Lucie, ma mère, Viviane ma marraine, mes grand-mères, le tonton Emile et mon père.
Que dire si ce n'est que la photo a été prise dans notre jardin. Vous pouvez voir derrière le pommier en fleurs qui me servait de poteau de but quand je jouais au foot.

 

1978 : la non-cerise sur le gâteau
La communion, c'est du gâteau. Avec au sommet le petit communiant vêtu de blanc.
Avec Christine, Viviane, Myself et la tata Lucie.

 

1978 : sous le pommier
Repas sous le pommier avec des amis de Paris : Denise, Serge et Renaud un de leurs fils. Avec aussi mes parents et Martine. Il faut noter qu'à l'époque nos chaises de jardin valaient bien les chaises Lorraine du salon. Une petite couverture pour amortir le choc n'était pas de trop, n'est-ce pas Martine ?

 

1978 : le foot
A l'époque je jouais au foot comme un dingue. Un mur, un pommier et un ballon : je n'avais besoin de rien d'autre. J'en ai cramé des ballons. Surtout quand je shootais trop fort et que le ballon franchissait le mur du fond du jardin de 3m de haut qui donnait sur un parc glauque d'un château lugubre...C'était notre Transylvanie à nous.

 

1978 : pause non-foot
Mes soeurs, Valérie (la soeur de Sandrine qui se trouve dans la galerie amis), Myself et mon ballon. Que je ne lâche pas. Parce qu'il va falloir s'y remettre. C'est que les buts, ils ne vont pas rentrer tout seuls non plus.

 

1978 : départ en vacances
En été (comme à Pâques d'ailleurs), nous descendions dans le sud en vacances. Donc on faisait des pauses de temps en temps. Là, nous nous trouvions sur une aire d'autoroute où mon père, échafaudant les plans les plus machiavéliques, consultait sa carte afin d'affiner notre méthode d'approche du prochain lieu de halte.

 

1978 : ah, quand même !
Des fois, on me voit sur les photos. Alors je les montre. En tout cas, je n'ai rien a rajouter. Rien du tout. Alors je n'en dis pas plus. C'est tout. Et pis voilà.

 

1978 : Alésia
Lors de notre périple, nous nous arrêtions à Nolay en Bourgogne chez l'oncle Eugène et la tante Marie. Et comme nous restions une journée, on en profitait pour faire de la visite. Cette année, ce fut Alésia. Ce que je peux vous dire, c'est que ça devait être caniculaire comme température vu que l'oncle avait abandonné sa veste.
Sur la photo, il essaye de mesurer la hauteur de la statue de Vercégétorix avec un bout de bois. Il appliquait une théorie bien à lui, qui relègue encore aujourd'hui la théorie de la relativité au rang d'amusement de fête foraine, théorie qui disait qu'avec un bout de bois, un soleil et une ombre, il était possible de tout mesurer. Le seul problème c'est que la manip étant assez difficile à mettre en place, la nuit était tombée avant la sortie des résultats...

 

1978 : on attend
Là, tout le monde attend. On ne sait pas quoi mais cela n'empêche pas d'attendre. Alors on attend.
Tata Marie, Martine et mon père attendent comme les autres qui attendent ailleurs que sur la photo.

 

1978 : dans la place
Arrivée sur le lieu de villégiature à Saint Paul de Vence cette année là. On avait loué une villa bien tranquille. Sauf que le rez-de-chaussée était habité par des gens qui avait un chien. Un fracassé complet. Quand il avait décidé de courir, il courrait, quels que soient les obstacles qu'ils pouvaient rencontrer. Ou pas. Christine s'est retrouvée à faire du rodéo plus d'une fois...

 

1978 : sur la place
Sur une place à Vence. Sûrement la place de la fontaine avec de l'eau qui coule. Ou pas.

 

1978 : Haut de cagnes
Pendant les vacances, on visitait tout. Comme des dingues. On a tout fait. L'arrière pays, l'avant pays et le pays lui-même, c'est vous dire ! Là, mes parents et mes soeurs dans une montée qui descend quand on se retourne.

 

1978 : Monaco
Quand ça visite, ça visite chez nous. Alors on est aussi allé voir comment que c'est à Monaco. Ben c'est du n'importe quoi : il y a un canon pointé sur la route, un faux cactus qui ne fait de l'ombre qu'au mur et des casemates de gardiens sans gardiens. N'importe quoi je vous dis !

 

1978 : Nice
Sur une place vachement connue de Nice dont je ne connais pas le nom. Mais vachement connue quand-même. Je me souviens juste que c'était le purin pour se garer dans cette ville.

 

1978 : En retournant vers la Lorraine
Lors du retour, on s'arrêtait aussi en Bourgogne. Là, ce sont mes soeurs devant le paquebot de l'époque : une CX à suspension hydro-pneumatique-qui-fait-comme-si-t'étais-dans-un-bateau-et-que-du-coup-t'as-le-mal-de-mer.

 

1978 : Décidément, il fait toujours frais à Nolay
Toujours à Nolay, avant de continuer notre périple vers notre Lorraine natale, où il fait un peu plus chaud que dans ces contrées un peu trop fraîches pour nous.

 

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