C’est une course aventure au cap… et à la carte sans point
d’étape, ni bivouac
Seuls demeurent un départ et une arrivée, et entre les deux 168
kilomètres.
Il faut penser à la gestion parfaite de l’effort, des vivres, de
l’eau et du sommeil pour pouvoir tout simplement arriver au bout.
J’ai fait les premières éditions, et pour moi c’est
une course pleine de bons souvenirs et d’aventures, des liens noués
avec les jordaniens et toutes les nationalités présentes.
Il ne faut surtout pas se perdre dans ce beau Wadi Rum.
35 degrés le jour, un froid glacial de 2 degrés la nuit.
A 17 heures la nuit noire, le vent frais coupe les jambes engourdies.
Cette course ne ressemble en rien aux grandes classiques sahariennes.
La Désert Cup, même si c’est toujours un course dans le désert,
apporte une nouvelle notion : celle du non-stop.
Le dénivelé, même s’il est peu important, est tout
de même à prendre en considération car les portions se font
en montagne.
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