Les conjonctions courantes : les trois plus courantes sont daB (=que), ob (=si) et weil (=parce que).
Exemples:
N'oubliez pas que le verbe est toujours à la fin de la subordonnée.
Autres conjonctions :
Voici un truc pour ne pas confondre wenn et als : wenn s'emploie au présent (il y a un e dans les deux mots) et als s'emploie au passé (il y a un a dans les deux mots).
Prépositions + que :
De nombreuses prépositions peuvent servir à introduire une subordonnée. En français, elles sont généralement couplées avec que (pendant/tandis/alors que, après que, avant que, depuis que, aussitôt/dès que, quoi/ce que, bien que, pour que, etc…) ; en allemand on se contente, la plupart du temps, de reprendre telle quelle la préposition, sans oublier de mettre le verbe conjugué à la fin !
Signalons une exception notable : DAMIT signifie pour que.
Mais son utilisation reste identique aux autres locutions : il se place en début de propostion et le verbe conjugué se met à la fin.
Exemple pour damit:
"Pour que nous n'ayons pas d'accident, je roule prudemment" se dit : "Damit wir keinen Unfall haben, fahre ich vorsichtig."
Ne confondez pas pour, pour que, et afin de. Dans le doute consultez la rubrique : mots-pièges (pour).
Autres exemples:
Prépositions + quoi :
Il s'agit en français d'à quoi, de quoi, pour quoi, avec quoi, dans quoi, sur quoi, sous quoi, etc… En allemand la construction est tout aussi simple : wo(r) + préposition. On intercale le (r) devant une voyelle.
Exemples:
On voit que ces conjonctions de subordination sont en fait des pronoms interrogatifs. On peut donc les employer indifféremment dans des interrogations directes ("Dans quoi me suis-je fourré ?") ou indirectes ("Je me demande dans quoi je me suis fourré").
Prépositions + qui :
Nous retrouvons le même phénomène : les interrogatifs à qui, de qui, pour qui, avec qui, sans qui, contre qui, à côté de qui, etc… servent aussi bien aux interrogations directes qu'indirectes. Leur construction est fort simple : préposition + wen/wem (selon que la préposition réclame l'accusatif ou le datif).
Exemples:
Il est donc indispensable de connaître le régime de la préposition qu'on utilise !
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(c) éric alglave 1998/2002