| |
Les
agacements
Comparé à un
photoscope |
|
 |
| |
|
 n
dira ce qu'on veut, mais faire des photos dans une soirée
avec l'écran TFT allumé en vue directe, ou carrément
enregistrer une petite vidéo sonore, c'était pas désagréable.
Idem pour l'exposition, l'écran vidéo du viseur du
Minolta permettait (avec un peu d'habitude) de juger vaguement de
l'exposition et régler en conséquence avant de prendre
la photo.
De même en plein soleil, l'écranTFT est illisible (vraiment
!) alors qu'avec le Minolta, il suffisait de mettre l'oeil dans
le viseur vidéo, à l'abri de la lumière ambiante.
Bien sûr ce n'est pas un problème lié au Fuji,
mais quand on a goûté au fun des photoscopes, il est
dur de revenir à la vie stricte de nos grands-pères
!
|
|
|
|
| |
Les
agacements
Vous avez dit compatible
? |
|
|
| |
|
 a
compatibilité Nikon de Fuji est dans la pure tradition Nikon,
c'est à dire qu'on peut mettre tous les objectifs Nikon ...
sur la monture. Pour qu'ils servent à quelque chose, vous
allez restreindre légèrement vos choix, puisque seuls
les AF et AFD fonctionneront !
Comprenez, les AI, AIS et AP sont seulement utilisable en mode entièrement
manuel donc inutilisables, tandis que les AFS sont incompatibles.
Une petite déception donc puisque les objectifs AI seraient
parfaitement dans l'esprit de ce type de boitier plus proche de
l'usage amateur, ceux qui ont le temps de faire la mise au point,
et le budget qui va avec !
La rumeur court aussi que certains Sigma et vieux Nikon abimeraient la fameuse patte de compatibilité, un conseil, ne forcez jamais pour accoupler un objectif, (enfin,
dans mon cas, ce n'est pas une rumeur !). |
|
|
|
| |
Les
agacements
Quelques points d'ergonomie |
|
|
| |
|
'écran
TFT est décalé vers le photographe et donc très
sensible au chocs ou aux rayures. Mais aussi au contact du visage,
pour peu que vous ayez la peau grasse et hop, un peu énervant
à la longue.
Pas autant que de changer les réglages du capteur avec son
nez ! Ce qui arrive plus souvent que l'on ne le croit...
 nfin
la touche AEL qui est placée trop loin du pouce (j'ai de
grande mains alors j'imagine pour les autres) et qui souffre d'un
autre problème, on doit rester appuyé, alors que le
Minolta permettait d'appuyer une fois et relâcher pour mettre
en mémoire une fois pour toute
(et le garder pour la photo suivante !).
|
|
|
|
|
|
| |
Les
agacements
Opérabilité
comparée à un D1 |
|
|
| |
|
 as
de cadence infernale, une mémoire tampon pas assez grosse pour stocker plus de 5 photos de suite (21 pour le Nikon D1) et de toute façon pas de mode rafale.
Un autofocus mono-zone qui en plus perd de la vitesse
à cause de l'âge de conception de la mécanique (sans parler du bruit ... conjugué à celui de l'obturateur très "mécanique").
Une vitesse synchro de 1/125ème contre 1/500ème.
Pas de prise Synchro-X externe pour la photo en studio avec plusieurs
flash, beaucoup d'"oublis" en somme qui ont fait reculer
les professionnels en leur temps.
Evidemment, ce n'est pas le même prix, même en occasion,
et ce sont des fonctions qui ne sont pas insurmontables par l'amateur,
même expert. |
|
|
|
| |
Les
agacements
Piles, accus, etc... |
|
|
| |
|
  ls
ont fait fort puisque pour bénéficier du flash intégré,
il faut pas moins de 7 piles de trois types différents !
Une pile bouton pour la sauvegarde de la date, la mémoire
et les réglages.
 Deux
piles CR pour le flash.
4 accus (si possible Ni-Mh) pour toute la partie capteur et photographie.
Rien que ça !
|
|
|
|
| |
Les agacements
La visée reflex |
|
|
| |
|
 is
à part la netteté, évidente, comparée
à l'écran vidéo du Minolta, il y a quand
même certains problèmes pratiques. Tout d'abord,
la poussière se dépose aisément sur les miroirs
oculaire et prismes ce qui perturbe la vision. En vision grand
angle il est très difficile de voir la netteté.
La nuit on ne voit plus rien.
La loupe du viseur du Minolta était très pratique
et est bien évidemment exclue ici.
Et enfin, on ne voit pas tout, alors que le coefficient de réduction
de focale a obligé Fuji à mettre un cache noir sur
le viseur, donc une visée potentiellement à 100%.
En fait on voit pas du tout l'image cadrée dans le viseur.
Plusieurs fois je me suis retrouvé avec un pied coupé
ou un angle trop large.
Par contre, il est effectivement plus facile de juger
de l'horizontalité. Je n'ai à ce sujet aucune explication que psychologique ! En fait il s'agit sûrement de la loupe plastique qui agrandit le moniteur
du viseur, avec une déformation en rond.
 etour
aux choix de rubriques du Fuji S1 pro
videmment, vos réactions, vos anecdotes et vos conseils sont les bienvenus, envoyez moi un message.
|
|
|
|
|