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Les
points faibles
Les artéfacts
du capteur |
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 l
y a trois réglages de taille sur le Fuji, 3040 de large,
2304, et 1440. Il est vrai que au fur et à mesure des prises
de vue, on tombe sur des "incidents" plus ou moins étranges
ou désagréables en résolution 6Mp.
Voici quelques exemples.
On voit bien la structure même du capteur dans certaines ombres.
On voit des pixels bleus dans certains contrastes (branches noires
sur fond de ciel blanc) un peu comme sur le capteur Sony 3Mp.
Enfin dans les cheveux qui se croisent, les algorythmes de  ré-échantillonnage
propres au capteur Fuji s'emmêlent un peu les pinceaux et
laissent plusieurs pixels parasites (souvent violets ou bleus).
Sans doute grave pour des photos de portraits féminins, mais
la retouche est possible, c'est surtout un problème de temps
en environnement professionnel.
La plupart de ces problèmes apparaissent moins en mode 3Mp
mais l'intérêt du Fuji par rapport au D1 est alors
moins évident.
 S
: N'oublions pas que tous mes commentaires concernent l'usage infographique,
dans le cas d'une impression papier, ce type d'artéfact disparaît
dans la trame de l'imprimante.
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Les
points faibles
Le peu de réglages |
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l
est très frustrant (comparé au Minolta D7) :
- Pas de réglages EV pour le flash (à priori
c'était le seul qui le fait en photoscope).
Donc une certaine difficulté à travailler les
fill-in.
- Pas de sauvegarde des personnalisation des réglages, (trois sur le Minolta ou le Nikon)
- Pas de réglages poussés des temps de mise en
veille, de retardateur ou de prise de vue à intervalle.
- En règle générale aucun des gadgets qui finalement n'en étaient pas sur les photoscopes, une fois qu'on s'en était servi ou qu'on
en avait besoin.
- Autofocus mono capteur centré (très énervant
sur trépied).
- Pas de test de profondeur de champ
- Pas de mesure de la lumière Spot (sans doute le problème
le plus ennuyeux en terme de photographie créative).
- Malgré la compatibilité avec le système
D de mesure 3D de l'exposition, celle-çi semble moins
performantque le Minolta D7 (256 segments).
- Ce sera tout pour aujourd'hui...
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Les
points faibles
L'invasion des poussières |
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 ttention
à la pollution ... du capteur.
Impossible d'y échapper avec les reflex numériques,
surtout quand on s'équipe en focale fixes (ce qui est hélas
mon cas). J'ai lu dans les forums que le Fuji était le pire
pour attirer les poussières et autres saletés. Je
ne peux infirmer ni confirmer, la seule chose à faire est
d'en prendre soin avec une soufflette et quand ça va trop
mal, deux solutions.
Le kit de nettoyage si vous êtes très habile et sous
garantie (et un peu irresponsable) ou le retour en SAV (obligatoirement
payant).
C'est vrai que 7 ans de photoscopie m'avaient fait oublié
le
problème !
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Les
points faibles
Une certaine fragilité |
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  'impression
de solidité générale trahit deux ou trois points
délicats.
Je suis revenu à la boutique au bout de 4 heures, toutes
les optiques que j'essayais dans les boutiques d'occase parisiennes
donnaient le message "Fee".
Après vérification au SAV, la patte de compatibilité
AI était carrément cassée, c'était quand
même du métal. Mais la position très exposée
fait que c'est le premier détail à vérifier
en occasion. Si elle est morte, on ne peut tout simplement pas prendre
de photos. Mieux vaut aussi être méticuleux lors du
changement des optiques.
 nsuite, d'après les forums, le filetage
du trépied est un peu court, et si l'on force pour serrer correctement, on ... casse toute l'électronique !
nfin, à la suite d'une utilisation avec
des batteries Nimh un peu limite, il m'a tout simplement éclaté deux CF (soit 1700 Frs la journée !).
Impossible de les relire ni de les reformater sur quelque appareil ou PC que ce soit. Un peu surprenant, j'ose espérer qu'il y a eu un concours de circonstance qui
ne se répètera jamais plus ! |
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Les
points faibles
Bruit, ISO et obturateur |
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isons que s'il n'atteint pas les sommets du Minolta D7, le bruit
est très présent sur les photos du S1. D'abord parce
que la sensibilité la plus basse est à 320 ISO au
lieu de 100 ISO, ensuite parce que le SuperCCD est par définition
technique plus sensible au bruits parasites.
Néanmoins, le "grain" numérique
en 400 ISO et même en 800 ISO est bien moins présent et surtout plus fin, plus "film" que sur le D7, donc plus supportable.
'autre
problème est la vitesse maxi de l'obturateur : 1/2000ème,
un peu has been mais surtout embêtant avec 320 ISO de sensibilité,
prévoyez le filtre polarisant en été et même
le filtre neutre.
Entre deux prises de vues, je n'arrive parfois pas à déclencher avant 1 ou 2 secondes, en mode preview enclenché qui bloque pendant l'enregistrement,
alors que l'affichage de l'image ne devrait pas poser problème sur le buffer (5 images de suite).
De même la synchro Flash n'atteint que 1/125ème, soit moins que mon Nikon Fe2 qui date pourtant d'une décennie antérieure.
our
finir, on ne peut passer sous silence le bruit de l'AF et surtout
de l'obturateur, ne l'emmenez pas dans un spectacle de guitare acoustique,
vous prendriez la porte au deuxième déclenchement
!
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Les points faibles
Le prix tout court |
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 n
dira ce que l'on veut, mais même d'occase, cet appareil vaut
encore plus cher qu'un boitier expert argentique neuf et sous garantie.
Il y a quand même un problème quelque part.
Sans parler du fait que mon Nikon Fe2 fonctionne toujours
aussi bien entre les mains de mon cousin, 15 ans après, alors que le capteur du Fuji ne tiendra sûrement pas 5 ans (déjà quelques mauvais pixels
en pose longue).
 etour
aux choix de rubriques du Fuji S1 pro
videmment, vos réactions, vos anecdotes et vos conseils sont les bienvenus, envoyez moi un message.
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