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s12 1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 12 intérieur / extérieur : on ne sait dire si l'on est à l'intérieur de la forme courbe ou devant elle, à son extérieur donc, tellement les deux impressions se concurrencent mutuellement. Chaque fois que nous nous laissons entraîner vers l'une, nous en sommes retenus par l'impression inverse qui la contredit 2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe un / multiple : faut-il lire une seule forme continue ou faut-il lire deux formes distinctes, l'une en creux et l'autre convexe ? 3 - il s'organise au moyen du paradoxe regroupement réussi / raté : bien qu'elles soient regroupées dans une même continuité arrondie, la partie concave de la forme et sa partie convexe gardent chacune leur indépendance, l'une apparaissant comme un creux, et l'autre comme un volume plein 4 - il est noué par le paradoxe clef fait / défait : on est à la fois devant du concave et dans du convexe, donc dans une situation et dans la situation contraire Justification du caractère synthétique de type lecture : parce que la forme convexe et la forme creuse qui l'accueille se répondent et nous semblent se poursuivre mutuellement, nous sommes inséparablement installés dans l'une et face à l'autre, ce qui implique que nous sommes inséparablement entraînés à nous ressentir dans un creux et retenus de la faire à cause de l'autre partie de la courbe. Il n'en va pas de même dans le cas d'un coin/contre-coin de type orthogonal où notre perception doit choisir entre la perception de l'un et la perception de l'autre, cas qui correspond à l'expression similaire mais de type analytique |
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liste des effets propres à ce paradoxe |