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tableau tableau

2 - entraîné / retenu
p
effet synthétique
s15
Rembrandt - autoportrait  lumière qui semble sortir, à ses endroits clairs, de la pénombre d'un tableau

1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 15 p15 fait / défait : nous avons l'impression que la lumière des parties claires sort librement du tableau, tandis que ses parties sombres, elles, semblent rester bien amalgamées à la pénombre. La lumière d'une partie de l'œuvre est donc entraînée dans un mouvement de jaillissement, tandis que l'autre partie est fixe, retenue dans la pénombre
2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe p16 relié / détaché : bien qu'elles soient reliées dans le même tableau, les parties lumineuses se détachent visuellement des parties sombres
3 - il s'organise au moyen du paradoxe p1 le centre / à la périphérie : sur une partie du tableau c'est stable (figé dans la pénombre) et sur une autre partie le mouvement de la lumière déstabilise cette fixité et y introduit un déséquilibre dynamique
4 - il est noué par le paradoxe clef p2 entraîné / retenu : il est lui-même en cause dans l'appui, ce qui implique que cela retient (dans la pénombre) et que cela entraîne (dans les parties claires) en des endroits qui sont bien séparés les uns des autres

Justification du caractère synthétique de type lecture : le jaillissement de la lumière ne se fait valoir que par différence et contraste avec les endroits où il ne se manifeste pas, de telle sorte que nous ne pouvons pas considérer sa présence séparément de son absence

l'exemple de référence

étape D0-13 - Rembrandt (1606-1669) - autoportrait en Zeuxis (1662) : c'est de l'intérieur même du corps et des habits de l'artiste, que semble sortir la lumière - source de l'image : photo Rheinisches Bildarchiv de Cologne
Rembrandt - autoportrait


utilisation aux époques préhistoriques


utilisation aux époques anciennes


utilisation aux époques plus récentes


utilisation à l'époque contemporaine

dernière mise à jour de cette fiche : 1er juillet 2004

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