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liste des effets propres à ce paradoxe

tableau

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5 - ça se suit / sans se suivre

effet synthétique s1    ondulation d'une ligne ou d'une surface 1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 1 le centre / à la périphérie : en suivant l'ondulation, on est alternativement au centre d'un creux puis à sa périphérie. Toutes les ondulations se suivent en continu, mais chacune correspond à un arrondi autonome qui s'enroule autour de son propre centre et qui ne suit donc pas les autres 2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe  entraîné / retenu : on hésite entre l'alternative de lire l'ondulation en continu et l'alternative de lire l'enroulement de chaque onde autour de son propre centre 3 - il s'organise au moyen du paradoxe  effet d'ensemble / autonomie : les creux et les bosses, qui correspondent à des arrondis de sens autonomes, s'additionnent pour faire ensemble la continuité de l'ondulation 4 - il est noué par le paradoxe clef  ouvert / fermé : l'ondulation se poursuit en continu mais le sens de son arrondi ne se poursuit pas Justification du caractère synthétique de type lecture : le principe d'ondulation implique inséparablement l'existence de creux et l'existence de bosses, et donc l'inversion de la direction des arrondis en même temps que la continuité de la courbe

l'exemple de référence

  étape D0-23 - Antoni Gaudi (1852 - 1926) - les bancs du Park Güell à Barcelone (1900 - 1914) : la bande ondulante des bancs habillés de faïence fait visuellement alterner les vastes creux et les bosses convexes. L'ensemble se développe en continu, mais chaque alvéole accuse l'enveloppement qu'elle forme autour de son propre centre, de telle sorte que nous nous ressentons tantôt au centre d'un creux et tantôt à la périphérie d'une bosse

utilisation aux époques préhistoriques

utilisation aux époques anciennes

utilisation aux époques plus récentes

utilisation à l'époque contemporaine

dernière mise à jour de cette fiche : 17 août 2004

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