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a1 2 - une trame, faite à l'aide de formes intercalées les unes dans les autres, peut être aussi bien lue comme unifiée de façon homogène par sa densité que divisée en plusieurs trames différentes qui se combinent 1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 1 le centre / à la périphérie : dans le cas 1, dialogue de lecture entre un axe de symétrie central et plusieurs centres de symétrie situés en périphérie. Dans le cas 2, du fait de leurs imbrications mutuelles, chacune des trames imbriquées est au centre des autres en même temps qu'elle est sur tout leur périphérie. Du fait de ces imbrications, il résulte une trame régulière unique faite de multiples trames qui sont différentes entre elles 2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe entraîné / retenu : dans le cas 1, nous hésitons entre l'alternative de considérer que la figure s'organise symétriquement à partir de son centre et l'alternative de considérer qu'elle s'organise symétriquement à partir de chacun de ses centres de symétrie périphériques. Dans le cas 2, nous hésitons entre l'alternative de considérer que nous sommes en présence d'une trame uniforme et l'alternative de considérer que nous sommes en présence de plusieurs trames différentes les unes des autres 3 - il s'organise au moyen du paradoxe effet d'ensemble / autonomie : dans le cas 1, le centre de symétrie au centre et les centres de symétrie latéraux jouent des rôles complémentaires pour produire ensemble l'effet de concurrence entre ces deux positions. Dans le cas 2, les diverses trames jouent des rôles complémentaires pour produire l'effet grâce à leurs différences 4 - il est noué par le paradoxe clef ouvert / fermé : dans le cas 1, si on lit depuis le centre central, les formes se suivent en partant depuis ce centre global vers la périphérie, tandis que, si on lit depuis les centres périphériques, à chaque fois les formes se suivent en partant symétriquement depuis ces centres et ne se suivent donc plus dans le même ordre (s'il s'agit d'une figure à deux axes latéraux) ni de la même façon (s'il s'agit d'une figure à plus de deux axes latéraux). Dans le cas 2, les différentes parties de la surface se suivent l'une derrière l'autre en continu si nous lisons une trame unique, mais elles ne se suivent pas si nous lisons des trames multiples de telle sorte que chacune se glisse à l'intérieur des autres Justification du caractère analytique de type identification dans le cas 1 : il n'y a pas de rapport visuel obligé entre la lecture de l'axe central et la lecture de chacun des axes latéraux Justification du caractère analytique de type lecture dans le cas 2 : il faut choisir de lire une seule et unique trame globale, homogène dans sa densité, ou bien choisir de lire plusieurs trames qui sont imbriquées les unes dans les autres |
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liste des effets propres à ce paradoxe |