Et tu tapes tapes tapes ...


Streets-of-Rage-2

Lancée par Sega sur sa console 16 bits pour contrer le déjà culte Final Fight mitonné par Capcom pour la super nintendo, la série réussit le tour de force de surpasser son modèle .

A première vue, rien d’original dans la recette concoctée par le marmiton de Haneda.
Mais le manque d’innovation est très largement compensé par un perfectionnisme quasi-maniaque. De la belle ouvrage ...
Le très jouissif mode deux joueurs donne une bonne partie de sa saveur à la trilogie. Face à des parties solo bien tristounettes sur Final Fight, le principe de la castagne entre potes apporte un dynamisme difficilement résistible (oui, on peut même mettre une mandale «par erreur» à son co-équipier).
Bien entendu, la quasi-mythique bande son de Yuzo Koshiro joue pour beaucoup dans l’addiction de la série. Celui qui signera quelques années plus tard la BO de Shenmue prouve déjà son talent sur le chipset sonore de la megadrive.




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L’évolution graphique à travers quelques screenshots

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L’hommage «next gen» : beats of rage

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