Consoles


akibaDirection Akiba. Ben voui, mon goût videoludique s'est développé sous le règne des consoles nippones. Trop jeune pour goûter à l'Atari 2600, et ayant trop bon goût pour succomber au charme de la X-boîte. Drôles de petites bêtes qui squattent nos téléviseurs, les consoles sont les reines de la convivialité : on branche plusieurs manettes, appelle deux-trois potes et c’est parti ... (ben oui, pour moi, le multi-joueur, c’est forcément se retrouver dans la même pièce, avec des pizzas, du coca des des chips. Le on-line, c’est trop impersonnel)

SEGA
J’ouvre cette page par un clin d’oeil à la firme au hérisson bleu.
Si vous cherchez un peu d’objectivité, changez de page tout de suite !
Ici, on sait que Sony fabrique des walkmans, Microsoft des systèmes d’exploitations gruyères, et Sega des consoles de jeu (OK, Nintendo peut aussi avoir quelques prétentions)
Pour plus de détails sur l'nfluence de la firme d'Haneda sur le patrimoine videoludique, cliquer
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NINTENDO
Mon rapport à Nintendo est un peu particulier (forcément, en temps que ségaphile).
Il y a eu de l’indifférence (la nes), de la jalousie (ah la super nintendo), de l’incompréhension (la N64), et puis, et puis ..
la réconciliation un peu forcée. La firme de Kyoto était le seul refuge imaginable, l’arche de Noé du nostalgique dans un monde promis à la playstation et à la x-boîte.
Par
ici les nintendomaniaques