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Game Boy ADVANCE (acquisition : dec. 2004)

GBA
Cette console est un peu le fantasme du “fan des sixteen”.
Ne vous fiez pas au discours marketing mettant en avant son processeur 32 bits. Les marketteux n’ont jamais rien compris aux jeux videos. Non, pour se faire une idée de la génération à laquelle appartient la GBA. , il faut regarder deux-trois screenshots de ses jeux. Le look inimitable des graphismes nous mettent sur la bonne voie : la GBA est tout simplement une super nintendo qui tient dans la poche.
Un mythe enfin portable. Un coup d’oeil à la ludothèque confirme ce postulat : Zelda III, Final Fantasy IV à VI, Super Mario Kart, Final Fight ...
Ajoutez à ça le portage de nombreux titres phares de Sega (Shining Force, Phantasy Star, Sonic), et vous comprendrez pourquoi nous avons affaire à du concentré d’érotisme pour geek.

La version en photo est le modèle revu et corrigé (SP pour SPecial) sorti en mars 2003 : l’écran rétro-éclairé et se replie pour assurer une meilleure protection lors du transport.

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Gamecube (acquisition : dec. 2002)
GC
Après le semi-échec de la N64, Nintendo tente de retrouver sa couronne de plus gros vendeur de console de salon avec le Gamecube.
Le port cartouche est enfin abandonné pour passer à un support optique (mini-DVD). La console garde quatre ports manettes, promesses de parties endiablées avec des potes.

Côté technique, le cube tient bien la route face à ses concurrentes; la PS2 est enfoncée et la X-BOX peut ou prou égalé.
Comme d’hab, la console est soutenue par les licences mythiques de la firme. Et pour s’attirer les faveurs des gamers, Big N consent même à faire les yeux doux aux éditeurs tiers jadis snobés.
Rien n’y fait, la gamecube, bien que réalisant un score honorable, ne pourra jamais ébranler l’hégémonie PS2.

Mais bon, avec sa très bonne ludothèque et son look sympa, ce cube noir fait partie des mes chouchous.
Faut dire, y’a pas grand chose qui peut égaler une partie de Mario Kart à 4.


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DS (acquisition : juil. 2006)
DS
Sentant le souffle de la PSP sur sa nuque, Nintendo accélère la recherche d’une remplaçante pour la légendaire game boy.
Et met en place une tactique assez audacieuse : prendre ses concurrents à contre-pied, en ne faisant pas de surenchère technique, mais en repensant l’interface joueur-console. Le désormais fameux slogan “touch” est en marche.
Elle a quand même une bonne gueule, cette DS, et les deux écrans rappelleront aux plus anciens les game & watch de la firme.
Du point de vue graphisme, les jeux de la DS se reprochent d’un rendu type N64.

Comme pour la GBA, Nintendo a lancé une version relookée de la console (DS lite, juin 2006). C’est la version en photo.


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Wii (acquisition : avr. 2007)
Wii
Mais que fait le dernier modèle de console de salon made in Kyoto dans une rubrique rétro ?
Les mauvaises langues diront que c’est à cause de ses spécifications techniques, et ils n’auront pas tout à fait tort.
Comme pour la DS, Nintendo a choisi de se démarquer côté gameplay, en misant sur les capteurs de mouvements de la télécommande.
Le microprocesseur et le processeur graphique de la Gamecube ont été repris, avec des fréquences à la hausse (+ 50%). Rien de bien folichon donc.

Mais ce qui a vraiment motivé la présence de la Wii dans cette page, c’est la console virtuelle: il est possible de télécharger les plus grands hits des précedentes générations de console Nintendo (NES - super nintendo-N64), et même d’autres consoles mythiques, comme la megadrive, la PC-engine ou la Neo Geo.
Alors oui, c’est payant, mais ça permet de s’adonner à l’émulation en toute légalité, sur son écran de télé ...



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