- la première; concerne l'effort réalisé par le direction de l'agriculture des Côtes d'Armor pour tenter de faire correspondre les "zones en excédent structurel" avec les bassins versants. C'est une démarche qualitative qu'il faut souligner. Auparavant les ZES étaient répertoriées selon la carte administrative cantonale. Ce qui d'un point de vue agronomique et écologique ne rime à rien.

 

- la seconde a trait à la question de l'information et de la transparence des débats. Jusqu'à présent, il était mal venu de parler des algues vertes à l'approche du printemps et de la période estivale, pour des raisons tenant  à l'image touristique de notre région. Nous sommes persuadés, que nous devons regarder les choses en face. Les touristes sont aussi intéressés par savoir comment une région, des acteurs de terrain agissent pour résoudre leurs problèmes environnementaux. dans le cadre d'un tourisme actif, et curieux, c'est un atout important. le Groupement Maritime a expérimenté pendant l'été 2004, des conférences sur ce thème dans des centres de vacances et l'accueil a toujours été excellent.

 

la troisième tient à la nécessaire reconnaissance des associations littorales comme acteurs des bassins versants côtiers. Dans ce sens, les propositions des associations devront être débattues au sein des comités de Prolittoral. Nous en exprimerons certaines ici. (Comme par exemple celle sur les chantiers collectifs dans les bassins versants, voir page  au sommaire de cette page.).