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Les
points forts
Les couleurs et le contraste |
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 l
y a trois réglages de couleurs sur le capteur Fuji, inutile
de dire que quand on goûte une fois au réglage High,
on en redemande.
Exactement les sensations que j'avais découvertes avec les
films 50 ASA Fujichrome.

Si c'est "trop fort pour toi mon p'tit gars", on peut
descendre un peu pour des couleurs plus Kodachrome. J'ai en tout
cas retrouvé le peps de l'Epson PC 3100Z avec plus de force
encore.
 u
niveau contraste, il a moins tendance que ses adversaires à
cramer les hautes lumières (à condition bien entendu
de sous-exposer un peu), il semble moins contrasté que les
capteurs concurrents et c'est tant mieux. |
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Les
points forts La résolution |
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ttention
polémique !

Tous les journalistes, celui de Dpreview en premier se sont mis d'accord pour dire que la résolution 6Mp (3040 2016 pixels) du Super CCD était interpolée.
Le problème, c'est que vu la structure de ce capteur un peu original, tout est interpolé, même le mode 3Mp soit-disant natif.
Alors, j'ai fait de nombreux essais avec
des sujets et des mires, et j'en suis arrivé à la
conclusion, toute simple si l'on y passe une heure ou deux, que
la résolution native du Fuji est bien 6Mp, qui n'est pas
une extrapolation du mode 3Mp. Là où les anti-Fuji
se sont sans doute trompés, c'est sur les artéfacts
à pleine résolution qui abîment effectivement
l'image (alors que le sous-échantillonage les fait disparaître),
mais l'on ne trouve pas les mêmes détails entre les
deux modes.

Avec un peu de retouche sur le mode 6Mp, on retrouve une image "propre"
avec des détails en plus du mode 3Mp, pas seulement un poid
plus important (de toute façon nécessaire pour l'impression). |
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Les
points forts
L'ergonomie et la vitesse |
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e
capot pour les cartes CF et Smart-médias est très
bien placé, facile à ouvrir et à refermer,
seul l'impression de caoutchouc mou quand on enfonce la CF est un
peu désagréable mais bon, rien de grave.
a
présence de trois écrans différents permet
de ne pas faire appel à l'écran de visualisation des
photos pour les réglages numériques importants. Idem
pour les réglages photographiques, tout le monde est à
sa place et personne n'interfère avec l'autre.
Par ailleurs, dès que l'on veut photographier, une simple pression sur le déclencheur met en une demi-seconde la bête sur le qui-vive.
Il faut noter qu'en terme de disponibilité et
de vitesse de réaction, il est parfait (sachant que le Minolta était déjà l'un des meilleurs photoscope à ce niveau).
De même, en mode preview désactivé, on peut déclencher au moins 5 fois de suite (pas en rafale) sans temps d'attente, donc assez rapidement.
La plupart des informations relatives à la photographie
sont rappelées dans le viseur dans une petite fenêtre.
Deux des écrans sont rétro-éclairés
ainsi que le rappel dans le viseur, donc le temps des photos impossibles à régler sur mon Nikon Fe2 au viseur crépusculaire n'est que mauvais souvenir.
Les réglages pour le capteur sont tous disponibles avec 5
boutons qui simplifient toutes les démarches.
L'écran TFT n'est là que pour visualiser les photos
prises, faire les réglages généraux de l'appareil
ou formater les cartes.
Sur mon exemplaire d'occasion, il est déjà rayé
sur une petite partie du côté (je l'ai déjà
protégé avec du scotch), mais c'est la seule trace
d'usure visible.
Tous les boutons de réglages important tombent sous la main
et l'on peut tout faire avec une seule main en AF. |
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Les
points forts L'encombrement et le design |
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 l
est légèrement plus haut que ses concurrents, mais il est surtout plus léger (950 grs environ en ordre de marche sans objectif) , et ça c'est
important quand on reste 5 heures à marcher et à remplir un disque dur de 20 G° !
En ce qui concerne le look, je n'arrive pas à préférer
les D30 et autres D100, qui ne font pas aussi "racés"
et originaux. C'est surtout sa base (pour les accus, les cartes
et les connections USB/vidéo) qui fait la différence,
mais aussi son logement de flash intégré plus fin
que la moyenne.
A part les micro-rayures de l'écran TFT, tout le reste est
nickel, ce qui prouve pour un exemplaire de 2 ans d'âge toute
la qualité d'assemblage et de fabrication de l'appareil.
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Les
points forts
Les ZISOS |
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e réglage par défaut à 320 ISO est ennuyeux
pour le bruit qu'il génère mais il faut reconnaître
qu'il est bien pratique d'utiliser du 320 ISO natif en reportage
d'hiver !
our
vous convaincre, voici la comparaison entre le mode 800 ISO du Minolta
D7 et le 800 ISO du Fuji, pas de commentaires !
Evidemment, le Fuji monte jusqu'à 1600 ISO. |
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Les
points forts Un frère Nikon |
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a compatibilité Nikon (enfin, sous plusieurs conditions !).
On peut être Canon ou Nikon (c'est pas aussi grave que de se battre entre PC et Mac), mais force est de reconnaître que Canon fait cavalier seul. Néanmoins,
tout est remis en cause par les choix hasardeux de Nikon de ces deux dernières années, lisez mon coup de gueule à ce
sujet.
Alors que Nikon, en multipliant les partenariats (Kodak,
FujiFilm et ... Nikon !) donne un semblant d'espoir de pérennité de leur gamme optique sans parler des indépendants, Sigma et Tamron en tête.
A ce propos, j'essuye une larme d'avance sur la future
gamme optique numérique Olympus, ils n'ont réussi à survivre qu'avec des OM reflex qui étaient très
originaux avant de jeter l'éponge, là, il n'auront peut-être même pas l'occasion de survivre ! |
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Les
points forts Le prix... en occasion |
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ieu sait pourquoi, même en occasion, le Nikon D1 (pourtant
un simple bi-mégapixel boosté) continue à être
"bradé" à 15000 Frs. Ce qui est évidemment
totalement incohérent vu le paysage numérique actuel
puisque les pros achètent les nouveautés.
En ce qui concerne le D30, c'est au même niveau que le S1,
même un peu moins cher, mais ils ont manifestement plus souffert,
vu les vitrines.
En tout cas, de 8700 à 11000 Frs (fin 2002) vous pouvez trouver
un exemplaire d'occase, forcément ayant peu servi, puisque
ce ne sont pas les vrais pros qui les ont achetés et qu'il
ne date que de 2 ans. Une affaire je vous dis ! |
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Les points forts La maîtrise de
la consommation |
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ais
le plus important, quand l'on vient du Minolta D7, c'est la consommation
d'accus !
Comme il n'y a pas de prévisualisation de l'image, de viseur
vidéo, etc... mes accus durent jusqu'à 10 fois plus.
On peut enlever les piles CR123 (si l'on utilise pas le flash intégré)
et ainsi les faire durer deux ou trois ans pour tout faire avec
les accus Ni-Mh. Une solution bien plus pratique et économique
que les batteries propriétaires Canon et Nikon.
etour
aux choix de rubriques du Fuji S1 pro
videmment, vos réactions, vos anecdotes et vos conseils sont les bienvenus, envoyez moi un message.
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