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Chaos dans la cellule
Deux cellules "filles" viennent donc de se former à l'identique
à partir d'une même cellule "mère".
Revenons sur la façon dont les chromosomes sont organisés
pour se transformer en cellules.
1/
d'abord, chaque chromosome s'est enroulé sur lui-même
en plusieurs niveaux d'hélice, se transformant ainsi en matériau
supraconducteur [revoir E
cela] dans
lequel coule en permanence un courant magnétique opposé au
courant magnétique terrestre (nota : cette explication ne vaut que pour la période initiale d'apparition des formes vivantes.
Dès que les formes vivantes sont créées elles se procurent leur propre énergie et n'ont plus besoin de la sollicitation du champ magnétique terrestre pour "s'agiter". Désormais, c'est le courant qu'elles produisent qui circule dans leurs chromosomes).
2/
ensuite les chromosomes se sont regroupés à plusieurs autour
d'un centromère, faisant partir le courant de façon rayonnante
depuis ce centromère vers leurs extrémités [revoir
E
cela].
3/
puis tous ces courants partant du centromère ont trouvé à
fonctionner en cycle fermé grâce à l'organisation du
squelette du noyau, du squelette de la cellule et des centrosomes qui bouclent
leurs circuits [revoir E
cela].
4/
les patrimoines de chromosomes ainsi organisés en cycles bouclés
formaient des ensembles instables, puisqu'ils se repoussaient et s'attiraient
comme des aimants. En se combinant par paires de sens inverses, ils réalisent
des cellules neutres qui peuvent ainsi rester en bon voisinage et former
des organismes pluricellulaires [revoir
E
cela].
À ce stade, le mouvement magnétique des chromosomes combine
donc les 4 allures différentes que l'on vient de décrire,
il est le résultat de l'interférence de ces 4 effets distincts
qui, chacun, le sollicite d'une manière spécifique, chacun correspondant à une force distincte.
Dans d'autres textes [voir cela F
de façon développée, ou de façon résumée E]
nous concluons qu'un tel phénomène est alors un phénomène à 4 dimensions qui se déroule dans un espace à 3 dimensions, et que, pour cette raison, nous devons renoncer à percevoir de façon cohérente dans l'espace à seulement 3 dimensions, l'un de ces 4 effets qui agit pourtant de façon parfaitement déterministe dans le phénomène.
Pour nous, qui ne voyons que dans les 3 dimensions de l'espace, l'un des 4 mécanismes
qui régulent le courant magnétique des chromosomes doit perdre sa continuité apparente, et cette perte de continuité doit
s'observer aussitôt que la nouvelle cellule se forme après la division dont elle est issue.
Effectivement,
dès la fin de la division cellulaire, le plus haut niveau d'enroulement d'hélice en hélice de l'ADN se défait, et le chromosome perd sa forme la plus condensée que l'on appelle « chromatide » pour prendre la forme de « chromatine » en boucles très irrégulières, chaotiquement ballottées le long de l'échafaudage en hélice auquel elles s'accrochent, lequel échafaudage ballotte lui-même comme au hasard dans le noyau.
À gauche, les boucles irrégulières que forment les fibres de chromatine dans le noyau en interphase, accrochées de place en place sur un échafaudage de protéines en hélice.
À droite, le niveau supplémentaire d'enroulement en hélice que prend, seulement au moment de la division cellulaire, cet échafaudage en hélice. Cet enroulement ultime correspondant alors à la forme des bâtonnets condensés de chromatide sous laquelle on représente usuellement les chromosomes. source de l'image : http://www.cbs.dtu.dk/staff/dave/roanoke/fg16_08.jpg |
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