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liste des effets propres à ce paradoxe
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tableau
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1 - le centre / à la périphérie
effet analytique
a16
certaines des formes ont une dynamique qui les dirige vers le centre, tandis
que les autres ont une dynamique centrifuge qui les dirige vers la périphérie,
les deux dynamiques ne butant pas l'une contre l'autre
1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 16 relié / détaché :
on relie dans une même trame visuelle des formes
détachées les unes des autres et dont certaines se
dirigent vers le centre tandis que d'autres se dirigent vers la
périphérie
2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe
le centre / à la périphérie : il est
lui-même
en cause dans l'appui, ce qui implique que les formes qui se dirigent
vers le centre sont distinctes de celles qui se dirigent vers la
périphérie
3 - il s'organise au moyen du paradoxe
entraîné / retenu : nous hésitons entre
l'alternative de considérer que les formes se dirigent vers le
centre et l'alternative de considérer qu'elles se dirigent vers
la périphérie
4 - il est noué par le paradoxe clef
effet d'ensemble / autonomie : les différentes formes se
complètent de leurs différences, les unes se dirigeant
vers le centre et les autres se dirigeant vers la
périphérie
Justification du caractère analytique de type identification :
il n'y a pas de rapport visuel obligé entre les formes qui se dirigent
vers le centre et celles qui se dirigent vers la
périphérie
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l'exemple de référence
étape D0-12 en Occident - la Dame à la Licorne (fin du 15e siècle) : les
personnages et les grands animaux concentrent leur attention et la nôtre sur
le centre de la tapisserie, tandis que les petits animaux portent leur attention
et la nôtre sur toute la périphérie
utilisation aux époques préhistoriques
utilisation aux époques anciennes
étape C0-35 en Occident - la façade de la cathédrale
de Strasbourg (détail du gâble des porches latéraux -
vers 1300) : dans
le dessin qui occupe le rond principal des gâbles latéraux,
la perception de sa forme en quadrilobe orienté vers le centre est
concurrencée par la perception de ses ogives qui pointent vers toute
la périphérie
utilisation aux époques plus récentes
étape D0-11 en Occident - la rose de la Sainte-Chapelle de Paris
(1485) : les
parcours qui partent depuis le centre de la rosace rebondissent sur sa périphérie puis reviennent vers son centre
utilisation à l'époque contemporaine
dernière mise à jour de cette fiche : 26 octobre 2014
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