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a15 2 - formes en mouvement qui semblent en même temps "embourbées", prisonnières, ou retenues 1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 15 fait / défait : dans le cas 1, lorsque l'on considère la dispersion des formes, on nie l'existence du lien qui les retient ensemble, et inversement, lorsqu'on les considère attachées ensemble, on nie le fait qu'elles se dispersent, entraînées les unes loin des autres. Dans le cas 2, lorsque l'on considère que la forme est retenue, on nie l'existence de la dynamique qui l'entraîne à s'extraire de cette situation, et inversement 2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe relié / détaché : dans le cas 1, les parties séparées qui se dispersent sont reliées ensemble par leur attache commune. Dans le cas 2, la partie statique et la partie dynamique de la forme sont reliées entre elles 3 - il s'organise au moyen du paradoxe le centre / à la périphérie : dans le cas 1, la situation est stable à l'endroit où les formes sont tenues ensemble, et leur dispersion, ailleurs, défait cette stabilité. Dans le cas 2, la situation "embourbée" est stablement assurée, mais le dynamisme qu'affiche la forme pour sortir de cette situation la déstabilise 4 - il est noué par le paradoxe clef entraîné / retenu : il est lui-même en cause dans l'appui, ce qui implique que cela retient et que cela entraîne en des endroits bien séparés Justification du caractère analytique de type identification dans le cas 1 : il n'y a pas de rapport visuel obligé entre la partie où les formes se dispersent en tous sens et la partie de leur attache commune Justification du caractère analytique de type lecture dans le cas 2 : il faut choisir de considérer que la forme est retenue ou de considérer qu'elle est en train de s'extraire de cette situation |
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liste des effets propres à ce paradoxe |