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s16 2 - parmi des formes séparées, certaines sont stables et d'autres semblent entraînées dans un mouvement d'effondrement 1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 16 relié / détaché :dans le cas 1, on relie dans une même forme continue des parties détachées les unes des autres. On est d'abord entraîné pour cela par un début de trajet réellement continu, puis on est retenu de continuer à lire la forme selon un trajet continu puisque sa continuité se dérobe lorsque l'on cherche à la prolonger. Dans le cas 2, on relie dans une même trame globale des parties détachées les une des autres, certaines semblant entraînées dans une chute et d'autre semblant au contraire fermement retenues en place 2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe le centre / à la périphérie : dans le cas 1, la continuité de la forme nous semble stablement assurée, mais elle est déstabilisée par l'impossibilité de continuer à la lire en tant qu'un trajet continu ainsi qu'on avait d'abord espéré pouvoir le faire. Dans le cas 2, la stabilité de certaines formes est stablement assurée alors que d'autres semblent complètement déséquilibrées 3 - il s'organise au moyen du paradoxe entraîné / retenu : il est lui-même en cause dans l'appui, ce qui implique que cela entraîne et que cela retient en des endroits séparés. Dans le cas 1, cela entraîne sur l'amorce de trajet continu puis cela retient dans la partie suivante de la forme, tandis que dans le cas 2 cela entraîne et cela retient à l'occasion de formes différentes qui peuvent être mélangées les unes aux autres 4 - il est noué par le paradoxe clef effet d'ensemble / autonomie : dans le cas 1, le tracé continu et les parties aux formes détachées se complètent en jouant des rôles complémentaires, tandis que dans le cas 2 ce sont les formes qui semblent s'effondrer et celles qui semblent stables qui jouent des rôles complémentaires Justification du caractère synthétique de type identification dans le cas 1 : c'est parce que nous nous laissons d'abord entraîner à lire un trajet continu que nous sommes ensuite retenus de poursuivre la lecture de la même façon. On ne peut donc pas être retenus si l'on est pas déjà, et donc aussi, entraînés Justification du caractère synthétique de type lecture dans le cas 2 : puisque la forme ne s'effondre pas réellement, l'effet d'effondrement de certaines formes n'est pas perceptible par lui-même, mais seulement par contraste avec les autres formes qui sont évidemment stables. Nous ne pouvons donc pas ressentir l'entraînement apparent vers la chute de certaines formes, isolément de la retenue dans la stabilité que semblent permettre les autres formes |
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liste des effets propres à ce paradoxe |