Cette page est comme la page "Gayant" destinée aux vint'
d'osier ! Elle n'a bien entendu aucun lien avec les autorités
municipales douaisiennes.
An English version is now available
(thanks to Altavista). Si min patois y'etot meilleur, j'sros fin
benache d'l'y met !
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La ville de Douai a enfin suivi les conseils de ce site (*) et a décidé le jumelage avec une localité du Burkina Faso! Dédougou rejoint le cercle! Espérons que les Douaisiens sauront être dignes de leurs nouveaux frères!
* Ce site n'est pour rien, ou alors dans l'inconscient collectif... Tellement de douaisiens l'ont vu!La page Gayant de ce site est entièrement consacrée à notre géant local, le plus beau et le plus grand (si on exempte Reuze Papa qui n'est pas porté), à sa tradition, son histoire mais aussi ses mensurations et celles des autres membres de la famille.
Le tournoi international juniors de basket a lieu durant le week-end de la Pentecôte
Et aussi le site (non officiel!) des cadets du BC Douai
Quelques images, modernes ou datant de quelques années, de la ville.
On trouvera d'autres images anciennes de Douai sur le site de la famille Tritz
et une extraordinaire collection d'images du douaisis sur le site des frères Meuriche.
C'est à Douai que volèrent les premiers Breguet, et en particulier le premier hélicoptère au monde
L'histoire du premier vol vertical en 1907
A propos de Breguet, à Douai et bien après, on pourra consulter le site des amis des avions Breguet
A propos du vol vertical et des hélicoptère, on pourra consulter un site sur l'histoire de l'aviation
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Un hommage en patois à Jean de Bologne (image jpeg 14K) |
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Marceline Desbordes Valmore |
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L'autre géant de Douai est son beffroi |
Cliquez l'image pour commander! (Si par hasard, vous souhaitiez en savoir plus d'abord, j'ai commis quelques lignes à propos de ce bouquin.
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Douai 70, images d'un monde disparu. Déjà. |
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Une bande dessinée, "Douai, Sous le regard des Géants" est parue aux éditions "Le Téméraire" (70, av Jean Jaurès 59174 la Sentinelle) dans la collection "Histoire des villes". Voici le résumé de l'histoire douaisienne qu'il propose en dernière page de couverture. "Alors que le roi mérogingien Sigisbert est assassiné à Vitry en l'an 575, Duacum, qui deviendra Douai, n'est encore qu'un hameau parmi d'autres. Avec l'évangélisation, menée par Saint Mauron, Saint Amé et Sainte Rictrude, ce hameau sort peu à peu de l'ombre. Mais, c'est sous l'impulsion des comtes de Flandre, successeurs d'Arnoul 1er, que Douai devient, vers l'an mil une petite ville prospère de l'Ostrevent. Dans les siècles suivants, elle base son économie sur la production de drap et d'étoffes textiles: c'est l'époque des grands marchand drappiers sui, tel le fameux Jehan Boinebroke, font la richesse de la ville et en monopolisent le gouvernement. En 1530, en pleine tourmente de la réforme, alors que l'on brûle souvent sur la place publique luthériens, hérétiques et sorcières, apparaît le premier Gayant de Douai, dans un cortège carnavalesque. Près de 20 années plus tard, l'Université s'implante en ville pendant que les couvents et églises s'y multiplient sous l'influence de la Contre-Réforme. En 1667, le roi Louis XIV, qui vient de prendre Douai et de rattacher ainsi le ville à la France, est accueilli en ville par un couple de Gayants. Ces derniers, ainsi que l'Université, disparaissent du paysage douaisien dans la tourmente révolutionnaire. Mais les géants renaissent au début du XIXè siècle, qui apporte à Douai l'industrie de la houille, le chemin de fer et un renouveau de sa prospérité. Après deux occupations surmontées avec courage, Douai, qui a enfin retrouvé son Université, est aujourd'hui une cité jeune et dynamique, fière de son passé mais tournée vers l'avenir, sous le regard bienveillant de ses géants.
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