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Les
points forts La qualité d'image
a un prix... |
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ualité
d'image, qualité d'image, qualité d'image, en trois
mots.
Et peut-être aussi la force des couleurs, que je classerais
dans ... "qualité d'image".
Les "vrais" faux 6Mp du S1 Pro étaient en avance
sur leur temps, et c'est de nouveau le cas avec les 12Mp du S2.
Mais avec une différence, le capteur est enfin "adulte",
c'est-à-dire qu'il arrive souvent à dissimuler les
originalités de sa conception.
Avec quelques bémols. Tout d'abord, la véritable résolution
MTF est proche des 9Mp, et donc en dessous du capteur des Canon
EOS D1s ou Kodak 14Mp. Néanmoins, les pixels en trop sont
toujours bienvenus pour une impression grand format.
Ensuite, on accède à la puissance et à la beauté des images S2 uniquement en format Raw 4286*2386 et avec un traitement sous Raw Converter EX
version complète (obligatoire, la version LE ne permet aucun réglage de température de couleur et d'exposition).
En effet, les jpegs sont trop handicapés par les artéfacts (voir points faibles).
Ce qui veut dire : 8 minutes minimum pour "développer" une photo.
Soit 8 secondes pour écrire la photo sur la CF, 10 secondes
pour la transférer sur le PC avec un USB1, 40 secondes pour
sélectionner, ouvrir et convertir une image en Jpg, et quelques
minutes pour faire les réglages de température de
couleurs.
Et... 3 minutes minimum pour finir les réglages de netteté et quelques effets sur Corel Photopaint en Tiff 48 bits (donc mettant à genoux n'importe
quel Pentium 2Ghz, même avec 1G° de Ram). Et enfin, le "blending" au cas où les contrastes n'étaient
pas agréables à la prise de vue.
De toute manière, c'est un travail que tout un chacun doit
faire quand il veut vraiment montrer ses photos ou les imprimer,
la seule différence, c'est qu'il faut le faire après
la prise de vue, pas 9 mois après.
Corel ne comprenant pas les instructions Exif des Tiffs, il faut
en plus les récupérer "à la main"
depuis les jpgs extraits des Raw. Oui, le traitement est lourd !
Mais quel plaisir de "naviguer" dans des photos de 4256 pixels de large, un vrai voyage dans le cas des photos de paysages ou d'architecture. Les 6Mp paraissent
bien pauvres en comparaison.
Néanmoins, pour les photos ne demandant pas de tirages professionnels,
on peut toujours utiliser le Jpg natif, qui sera parfait pour un
usage amateur. |
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Les
points forts Fashion's victim |
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 e
look, il fait sérieux, à défaut de pro, et est pourtant léger, mais un peu encombrant, très facile à prendre en main, notamment
la petite aspérité à la Luigi Colani permettant un parfait maintien du pouce droit. |
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Les
points forts Un faux-frère Nikon
? |
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a compatibilité Nikon (enfin, sous de nombreuses conditions
!).
On peut être Canon ou Nikon (c'est pas aussi perdu d'avance
que de se battre entre PC et Mac), mais force est de reconnaître
que Canon fait cavalier seul.
Cependant, tout est remis en cause par les choix hasardeux de Nikon
ces trois dernières années, lisez
mon coup de gueule à ce sujet.

Alors que Nikon, en multipliant les partenariats (Kodak, FujiFilm et ... Nikon !) donne un semblant d'espoir de pérennité de leur gamme optique sans parler
des indépendants, Sigma et Tamron en tête. |
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Les
points forts Le bruit |
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noter aussi le bruit des photos 400 et surtout 800 Iso, vraiment
très supportable. Le mode 1600 dégrade par contre
les formes floues, mais pas trop les couleurs ou les détails.
Il est de toute façon inexploitable pour des tirages expos. |
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Les
points forts L'écran TFT |
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'écran
de visualisation, très clean et agréable pour régler
et lire rapidement les photos, mais pas pour les photos elles-mêmes,
voir les points faibles.
Par ailleurs,
un appareil complet en terme d'informations, dans le viseur, le petit lcd Fuji et le grand lcd Nikon. Dommage qu'il n'aient pas gardé la couleur verte ou orange
qui étaient si originales. |
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Les
points forts Le testeur ... et la vitesse |
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e testeur de profondeur de champ, même s'il n'est pas si important en numérique, il est quand même utile et efficace, bien que très bruyant (il
simule en fait un déclenchement).
es
temps de réaction sont, dans l'ensemble très bons,
grâce au double buffer vraiment indépendant entre la
section acquisition et écriture. |
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Les
points forts Le prix... en occasion |
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n
ne peut pas dire que j'ai fait une affaire, (enfin, si, dans l'absolu),
puisque j'ai acheté un S2 Pro d'occasion au même prix
qu'un D70 neuf !
C'est un marché ou le seul gagnant est définitivement
le fabricant.
Précédemment, l'on pouvait faire les photos d'un pro
avec un film de pro tout à fait accessible, désormais,
il faut acheter le film avec l'appareil !
Bref on est entièrement coincés par les progrès
technologiques. C'est quand même étonnant que l'on
soit dans une crise mondiale avec tout ce que trouvent les concepteurs
pour nous obliger à acheter neuf ! |
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Les points forts Les réglages |
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ette
fois çi, on a accès à tout, sauf la remontée
manuelle du miroir et la prise de vue à intervalles.
La liste est
trop longue, donc je ne parlerais que des plus importants.
le bracketing automatique avec choix programmable.
le blocage paramétrable AE AF avec blocage continu ou par
pression.
la correction d'exposition du flash disponible depuis le boîtier.
les nombreux paramètres de réglages, qui n'excusent
pas l'impossibilité de sauver deux ou trois réglages
personnalisés.
etour
aux choix de rubriques du Fuji S2 pro
videmment, vos réactions, vos anecdotes et vos conseils sont les bienvenus, envoyez moi un message.
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