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Normale et Descente
PREMIERES ASCENSIONS :
· 16 juin 1834, première
ascension de la voie Normale par Jean LIOTARD seul.
L’itinéraire emprunté en 1492 par Antoine De
VILLE et son équipe est fort probablement une combinaison de la voie FREYCHET et
de la voie des TUBULAIRES, secteur plus fracturé et plus favorable à la pose des
échelles décrites dans le récit du Capitaine de Charles VIII.
· Mars 1921, première
hivernale de la voie Normale par MM BERGER, DALLOZ et TETARD.
DIFFICULTES :
· L’ascension du Mont-Aiguille
par la Voie Normale ne présente pas de difficultés particulières ;
l’escalade est le plus souvent facile (III / IV maxi), variée, principalement en
cheminées entrecoupées de vires et ressauts. Avec les nombreux passages, le
rocher est bien ‘’purgé’’, poli même à de nombreux endroits. L’itinéraire est
partiellement équipé de câbles (mis en place dès 1870, rénovés en 1930) qui
facilitent … ou gênent la progression.
(Les
variantes d’ascension sont nombreuses mais le plus souvent exposées, en rocher
friable et généralement non équipées).
· Les câbles et leurs points
d’ancrage doivent être utilisé avec prudence : ils sont à certains endroits
particulièrement exposés aux chutes de pierres et peuvent être fortement
endommagés d’un jour à l’autre, comme on peut le constater dans la première
partie de l’ascension où le câble à été pratiquement sectionné lors d'éboulements fin octobre 2003
puis fin avril 2004. Un travail de sécurisation est en cours.
·
L’ascension de la
Voie Normale n’est en aucun cas comparable à une escalade en falaise (encore
moins à un mur de S.A.E.) mais est à considérer comme une véritable course en
montagne, réel terrain d’aventure avec ses impondérables : marche
d’approche, rocher parfois incertain, chutes de pierres récurrentes
(généralement déclenchées par les grimpeurs), descente longue et exposée et
conditions météo à ne pas négliger à cette altitude (il peut neiger au
Mont-Aiguille même en plein été comme ce fût le cas le 11 juillet 2000 !).
· Le Mont-Aiguille à toujours
été une montagne très fréquentée, particulièrement la voie Normale. De mai à
octobre, il est habituel de compter chaque samedi et chaque dimanche plus d’une
centaine de personnes désirant accéder au sommet. Il sera nécessaire de partir à
l’aube ou s’attendre à patienter de longues heures au pied de la voie ou durant
l’ascension avant de pouvoir accéder à la prairie sommitale.
La présence de cordées
inexpérimentées, de groupes aux effectifs pléthoriques ou de colonnes de
militaires faisant le siège d’une voie équipée de bas en haut, n’est
malheureusement pas rare et constituent un réel danger autant qu’une gène
conséquente et il n’est pas toujours facile ni sans risques de dépasser des
cordées aux comportements imprévisibles.
A la descente, les
même désagréments seront à endurer au niveau des rappels.
DESCENTES :
· La descente par la voie
NORMALE est possible et peut constituer une solution très rapide pour des
grimpeurs évoluant sans corde voire à ‘’corde tendue’’, avec une grande habitude
de progression dans ce type de terrain. Cette option est dans la plupart des cas
à déconseiller car bien moins esthétique et surtout plus dangereuse compte tenu
des chutes de pierres et de la présence de cordées ‘’montantes’’ (à toute heure
de la journée ou presque) qu’il faudra croiser dans des situations pas toujours
confortables.
· La descente intégrale par
la voie des TUBULAIRES , très pratiquée jusque dans les années 1970 est
longue et exposée aux chutes de pierres. Le cheminement est complexe avec un
passage vertigineux et comporte trois rappels de 25 m mal commodes dans des
cheminées étroites.
· La descente par les
rappels des SAUCISSES est réservée à des cordées expérimentées. Elle est en
partie commune avec la descente par la voie des TUBULAIRES puis évite les
rappels classiques souvent encombrés et aboutit à droite de la ‘’Tour du
Taureau’’, directement sur le sentier qui longe le pied de la face ouest, à
l’aplomb du col de l’Aupet : quatre rappels sont équipés depuis 1999 (chaînes et
goujons) ; ils sont longs et aériens (le deuxième de 50 m en fil d’araignée),
les relais sont exigus. Le premier rappel est évitable par la désescalade de la
dernière cheminée de la voie des Tubulaires dont l’accès est caractérisé par une
brèche située à 50m du bas de l’éboulis.
· La descente la plus
classique emprunte la dernière partie de la voie des TUBULAIRES. Elle est assez
délicate, dans un éboulis raide et se termine par deux rappels ; le premier, de
30 m (évitable dans les mêmes conditions que précédemment) et le deuxième de 45
m en fil d’araignée (description détaillée ci-dessous).
ACCES ROUTIER
:
·
De Grenoble,
autoroute A51 ou RN75 direction Sisteron, passage à Monestier de Clermont.
-
Par le NORD : 6 km
après Monestier, prendre à droite la D247 direction
‘’Saint-Michel-les-Portes’’
– ‘’Gresse’’, puis D8b jusqu’au hameau des Pellas - (50 km / 50’).
-
Par le SUD : 15 km
après Monestier, prendre à droite la D7 direction ‘’Col de Menée’’ –
‘’Chichilianne’’,
puis D7b direction ‘’Pas de l’Aiguille’’ – ‘’La Richardière’’ - (55 km /
1H).
·
Côté
Saint-Michel-les-Portes, parking au niveau du Pont des Pellas impérativement
avant la barrière (Alt. 1100m).
·
Côté
Chichilianne, parking 200m après l’Hôtel ‘’Au Gai Soleil du Mt-Aiguille’’ (Alt.
1060m).
·
Dans les
deux cas, respecter scrupuleusement la signalisation concernant les
interdictions de circulation sur les routes et pistes communales et concernant
le camping ou bivouac sauvage (terrains agricoles privés, zones de captage
d’eau potable au-dessus de La Richardière) ; les amendes sont régulières et
particulièrement dissuasives.
APPROCHES PEDESTRES :
·
De La Richardière,
au Sud, gagner le col de L’Aupet (Alt. 1627m) par un excellent sentier
entretenu (Tour du Mont-Aiguille), balisé par un trait Jaune, au
départ de La Richardière (présence d’anciennes maques Jaunes/Vertes et de plus
anciennes Bleues/Jaunes/Bleues). Remonter jusqu’aux prairies des Serres
(Alt. 1200m), (accès en voiture actuellement toléré sur une mauvaise piste
carrossable) puis obliquer à droite à l’entrée de la forêt ; le sentier amène
sans risque d’erreurs au col de L’Aupet. Du col, remonter l’arête boisée
en direction du Mont-Aiguille (Nord-Est) pour atteindre la base du grand
pierrier sous la face Nord-Ouest.
Deux autres sentiers particulièrement
intéressants, un peu plus longs et rarement parcourus permettent d’accéder au
col de L’Aupet ou à la base du Mont-Aiguille :
Le premier
sentier, commun avec la première partie de l’itinéraire du Tour du
Mont-Aiguille jusqu’aux Serres, remonte au Nord (ne pas prendre le
sentier à droite à l’entrée de la forêt) le vallon issu de la gorge des
Rochers du Parquet et rejoint le sentier en balcon qui relie le col de
L’Aupet aux Fourchaux (accès au Pas de l’Aiguille). On atteint
le col de L’Aupet après avoir traversé la gorge profonde (passage raide
et exposé). Ce sentier non balisé est resté sauvage ; la vue sur le
Mont-Aiguille est magnifique.
Le second,
sentier des Charances, en cours d’aménagement touristique (lecture du
paysage, découverte botanique, etc.), au départ du hameau de La Richardière
(à côté de l’hôtel), remonte par de longs lacets jusqu’au pied de la face Sud du
Mont-Aiguille puis traverse à gauche sous les falaises (Nord-Ouest) pour
rejoindre le départ de la voie Normale. Cet accès est apprécié au printemps
lorsque le sentier habituel est trop boueux mais le risque de chute de pierre
lors de la traversée sous les voies des faces Sud et Ouest n’est pas à négliger.
·
Des Pellas
au Nord, par le sentier du Tour du Mont-Aiguille, atteindre la base du
grand pierrier sous la face Nord-Ouest. Du parking au niveau du Pont des
Pellas ; le sentier emprunte une bonne piste carrossable interdite à la
circulation puis remonte dans la forêt jusqu’à la base du pierrier issu de la
face Ouest du Mont-Aiguille.
Un autre sentier empruntant des pistes
forestières non balisées et mal marquées (utilisé en hiver pour l’accès aux
cascades de glace) permet de rejoindre la face Ouest du Mont-Aiguille.
Après 650m de marche sur l’itinéraire du Tour
du Mont-Aiguille, prendre à gauche (Est) après un pont, une piste non
balisée qui remonte dans la forêt. Après une traversée horizontale vers le Sud,
se perd dans un immense pierrier, vestige des éboulements survenus entre 1948 et
1957. Rejoindre à vue la base de la paroi en évitant les ressauts rocheux par la
crête dominant le ‘’Bois de la Draye’’ (cheminement pénible hors sentier dans le
pierrier).
ATTEINDRE L’ATTAQUE
:
· Après un lacet sur l’arête
de l’Aupet, le sentier traverse le pierrier jusqu’à la crête dominant le ‘’Bois
de la Draye’’. Remonter cette crête jusqu’au pied de la paroi (bon emplacement
protégé des chutes de pierres pour s’équiper et s’encorder).
· Par une courte traversée
ascendante à gauche dans des gradins instables (exposée aux chutes de pierres),
on atteint une petite terrasse marquée par un gros anneau de fer scellé (Alt.
1780m), début de l’escalade.
MATERIEL TECHNIQUE
NECESSAIRE POUR UNE CORDEE :
· Pour chaque grimpeur :
casque, baudrier, longe avec mousqueton de sécurité, descendeur, système
d’auto-assurage en rappel.
· Pour la cordée : une corde
de 15 à 20m est suffisante pour l’ascension mais une corde de 2 X 45m sera
nécessaire pour la descente par les rappels classiques (détaillée plus loin), 3
ou 4 dégaines, 3 anneaux de sangle.
Compte tenu de la nature du rocher, de la
fréquentation et de la configuration des itinéraires d’ascension et de descente,
le port du casque est absolument indispensable.
ITINERAIRE :
Attention :
Anneaux scellés et câbles, bien que rénovés et contrôlés ont été posés dès
1877 !
La vérification de ces équipements ne peut être que superficielle, il convient
de les utiliser avec la prudence qui s’impose.
· Au niveau de l’anneau
scellé, escalader tout de suite à gauche sur 10m une rampe aux prises usées par
les passages puis franchir à droite une courte cheminée surplombante (piton
scellé) pour atteindre une vire (anneau scellé).
Possibilité d’éviter la cheminée surplombante par
une traversée à droite de quelques mètres et rejoindre la vire du relais par une
cheminée parallèle.
· Descendre légèrement sur la
gauche et contourner un petit éperon pour atteindre la base d’une cheminée
barrée par un ressaut étroit (piton scellé).
Une variante
de départ plus au nord permet d’atteindre ce point directement en une longueur.
S’engager dans cette
cheminée, d’abord large puis très étroite (piton scellé), qui donne accès à une
vaste zone de gradins (relais sur pitons, coinceurs ou béquets).
Un des gros
anneaux scellé qui marquait le relais à cet endroit s’est récemment cassé à sa
base, ce qui démontre le vieillissement de ces équipements.
· Longer la paroi
horizontalement sur la droite pour atteindre la base de trois cheminées
parallèles (piton scellé), donnant accès à une longue vire.
Une variante
directe depuis R1 permet d’atteindre ce point directement en escaladant
au-dessus du relais, une cheminée puis une traversée à gauche exposée.
La cheminée de droite, peu
marquée est la plus facile mais très exposée (mauvais rocher, graviers, herbe) ;
celle de gauche, étroite et athlétique est en bon rocher et permet d’accéder
directement à la vire (anneau scellé).
D’anciennes variantes rarement pratiquées partent de
ce point pour rejoindre l’Aiguille Thorant ; rocher médiocre, aucun équipement).
· Par une courte marche de
flanc sur la droite puis une descente délicate de quelques mètres, on atteint le
premier câble (anneau scellé).
· L’itinéraire câblé et
jalonné d’anneaux scellés emprunte sur une centaine de mètres, une rampe oblique
vers la droite, très aérienne (succession de gradins sans difficultés), en
direction d’une énorme tour décollée (la Vierge), jusqu’au pied d’un ressaut
raide.
Attention,
le deuxième câble de cette partie est pratiquement sectionné.
· Escalader ce mur (prises
usées) puis descendre la face opposée (délicat et très exposé) vers une
plate-forme spacieuse qui marque le point de séparation de la ‘’Vierge’’ avec la
paroi du Mont-Aiguille (fin de la première section câblée).
Ce point
peut être atteint en deux longueurs directement du bas (attaque 20m à droite du
départ classique), par un système de ressauts et de rampes parallèles à
l’itinéraire classique, peu difficiles, en rocher douteux souvent humide
(présence de quelques anciens pitons). Variantes très exposées aux chutes de
pierres provenant des grimpeurs évoluant au-dessus.
· Ne pas descendre dans la
dépression (l’’’Entonnoir’’), réceptacle des chutes de pierres provenant des
cheminées sommitales. Escalader directement sur 2m le ressaut sur lequel est
scellé le câble puis le contourner par la droite (piton scellé derrière
l’éperon) pour rejoindre l’’’Entonnoir’’ que l’on remonte (courte escalade puis
gradins) jusqu’à la base d’un mur raide.
·
N.B.
L’itinéraire original descend dans la dépression puis traverse le couloir pour
gravir sur la face opposée, un mur (anneau scellé qui portait un morceau de
câble supprimé en 1983) puis une rampe qui ramène sur l’itinéraire.
A cet
endroit trois variantes sont possibles : à gauche, escalader jusqu’à sa base
l’Aiguille Thorant puis traverser vers la droite (sud) pour rejoindre la vire
qui longe la grande muraille décrite ci-dessous. On peut atteindre cette vire en
escaladant les ressauts situés de part et d’autre de l’itinéraire décrit (raide
mais assez bon rocher, pas d’équipement en place).
· Escalader ce mur (piton
scellé) sur le coté droit (légèrement déversant, peu de prises) puis remonter
soit vers la droite soit directement des gradins faciles, en mauvais rochers,
jusqu’au pied d’une grande muraille (piton scellé).
· Suivre une bonne vire
(sentier !) qui longe cette paroi vers la droite jusqu’à un pin puis quelques
mètres plus loin, au pied d’un ressaut.
De ce point, une traversée à droite (Sud) très
exposée, partiellement équipée, mais en mauvais rocher, permet de rejoindre la
partie finale de la voie de la Tour des Gémeaux.
· Escalader ce ressaut sur une
dizaine de mètres (il existait à cet endroit, deux
embryons de câble supprimé en 1983), jusqu’à ce qu’il bute sur un
surplomb (anneau scellé, câble) puis traverser à gauche et passer sous un toit
très bas (passage des ‘’Meules’’) pour atteindre une vire (anneau scellé, fin de
la deuxième section câblée).
· Suivre cette vire étroite et
aérienne jusqu’à la base de la grande cheminée dans laquelle se déroule la fin
de l’itinéraire (piton scellé).
Ce
point peut-être atteint directement depuis le pied de la grande muraille décrite
plus haut en escaladant une vaste dépression située à l’aplomb de la cheminée
sommitale : c’est le Passage Godefroy : escalade surplombante, en rocher terreux
et délité, quelques vieux pitons en place.
· Par des gradins caillouteux
puis un ressaut raide (piton scellé), on atteint le troisième câble qui équipe
une partie verticale de la cheminée sur 10m, que l’on escalade jusqu’à une vire
(anneau scellé, fin du câble).
· Franchir un court ressaut
puis remonter des gradins faciles pour rejoindre la base d’un surplomb (anneau
scellé, câble). Eviter le surplomb en escaladant le mur à droite et progresser
dans la cheminée qui devient très étroite (piton scellé) puis s’élargit à
nouveau, à la base du cône sommital (anneau scellé, fin de la quatrième et
dernière section câblée).
· Remonter des gradins faciles
sur 60m, dans l’axe de la cheminée, pour déboucher sur la prairie sommitale. De
la fin du câble au sommet, 60m (3 pitons scellés).
De la sortie de la cheminée, l’accès au sommet est
possible par des variantes à droite ou à gauche de l’axe central (rocher
douteux, plaques d’herbe, pas d’équipement en place).
· Après quelques minutes de
marche, direction Nord, par un sentier en pente douce dans la prairie, on
atteint la sommet proprement dit (Alt. 2086,7m).
DESCENTE :
· Le départ de la descente par
une partie de la voie des Tubulaires est situé 100m à droite (Sud), de la sortie
de la voie Normale. Repérer un Cairn et la Plaque Commémorative du 500°
Anniversaire de la Première Ascension (plaque scellée le 4 juillet 1997).
· Descendre une courte
cheminée, puis traverser à droite (Nord) pour rejoindre une trace qui parcours
l’axe principal de l’éboulis en franchissant trois courts ressauts raides
entrecoupés par des gradins instables.
· Ne pas s’engager sur de
vagues traces, sentiers ou brèches qui s’éloignent à droite ou à gauche mais
toujours rester dans l’axe de l’éboulis jusqu’à son terme.
· Tout au bas de l’éboulis,
repérer sur la droite un relais qui permet si besoin est, de s’assurer pour
atteindre le véritable emplacement du rappel, 5m en contre-bas à gauche. (Rappel
de 30m sur trois points, rénové en juillet 2000).
Ce premier rappel est évitable par la désescalade de
la dernière cheminée de la voie des Tubulaires dont l’accès est caractérisé par
une brèche située à 50m à gauche (Nord) du bas de l’éboulis. Désescalade de
quatre ressauts en bon rocher (III / IV) équipés pour la progression, séparés
par des traversées de gauche à droite (Nord) ; la première traversée est exposée
(point d’ancrage au début et à la fin). Après avoir descendu le dernier ressaut
qui débute au pied d’un gros pin, on aboutit sur la vire menant au rappel de
45m.
· Du bas du rappel de 30m,
descendre quelques mètres puis remonter sur la droite un petit ressaut pour
rejoindre une vire que l’on suit (exposé) et atteindre une vaste plate-forme
protégée d’où se fait le deuxième rappel. (Rappel de 45m ; trois emplacements
possibles rénovés en 1992).
· Au bas du rappel, franchir
un bloc surplombant de cinq mètres (en désescalade, IVsup) ou avec un petit
rappel (deux emplacements équipés de chaque côté) ou en passant par une ‘’boîte
aux lettres’’, lorsqu’elle n’est pas bouchée, en se glissant derrière les blocs.
· Traverser vers le Nord en
passant au pied des cheminées de la voie des Tubulaires puis descendre au bas de
la paroi en désescaladant une cheminée (Plaque Commémorative de 1933) ou en
suivant le sentier qui remonte vers une brèche (départ de la voie de la Tour des
Gémeaux) et aboutit au sommet de la crête où l’on s’équipe au départ de
l’ascension.© Bernard
ANGELIN (Juin 2004)
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