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s1 1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 1 le centre / à la périphérie : la stabilité n'est obtenue que lorsque l'on a atteint l'extrémité du trajet, donc son point le plus périphérique. L'obstacle final joue ainsi le rôle de butée, de centre d'équilibre sur lequel notre attention peut rester fixée, contrairement à ce qu'il en va sur le reste de la forme qui nous entraîne et qui est donc instable pour notre regard 2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe entraîné / retenu : il est lui-même en cause dans l'appui, ce qui implique que cela retient et que cela entraîne en des endroits séparés (cela entraîne sur le parcours que l'on suit rapidement des yeux, et cela retient sur l'obstacle contre lequel on bute) 3 - il s'organise au moyen du paradoxe effet d'ensemble / autonomie : le parcours qui nous entraîne et l'obstacle contre lequel on bute,jouent un rôle complémentaire l'un de l'autre 4 - il est noué par le paradoxe clef ouvert / fermé : le parcours de notre regard est ouvert, ce qui l'entraîne, puis il se ferme brutalement en se butant contre un obstacle Justification du caractère synthétique de type identification : c'est parce que nous sommes entraînés à parcourir la forme rapidement que nous ressentons finalement l'effet de butée sur un obstacle auquel conduit l'effet d'entraînement |
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liste des effets propres à ce paradoxe |