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a1 b - ou bien éclatent de luminosité, c - ou bien sont creuses, largement ouvertes 1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° le centre / à la périphérie : certaines formes restent à tourner autour d'un centre, tandis que d'autres se prolongent imaginairement vers la lointaine périphérie (a) ou s'ouvrent vers le lointain (c). Les premières tournent en circuit fermé, tandis que le trajet ou la forme des autres s'ouvrent vers le lointain. Dans le cas de formes lumineuses (b), la lumière qui en jaillit de tous côtés joue le même rôle que des formes qui se dirigent de tous côtés vers le lointain 2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe entraîné / retenu : notre regard hésite entre deux alternatives, soit se poser sur les formes qui évoluent autour d'un centre ou qui restent fermées, soit se laisser aller à suivre celles qui vont ou s'ouvrent vers le lointain, ou bien encore se laisser éblouir par celles qui éclatent de luminosité 3 - il s'organise au moyen du paradoxe effet d'ensemble / autonomie : les formes qui restent à tourner autour d'un centre et les autres jouent un rôle complémentaire pour produire ensemble cet effet 4 - il est noué par le paradoxe clef ouvert / fermé : il est lui-même en cause dans l'appui, ce qui implique que l'ouverture et la fermeture sont réalisées par des formes distinctes les unes des autres Justification du caractère analytique de type identification : il n'y a pas de rapport visuel obligé entre les formes qui font un effet de fermeture et celles qui font un effet d'ouverture |
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liste des effets propres à ce paradoxe |