Nota: Je me suis permis de relooker cette version
du document qui devait être officiel et qui pourtant n'a jamais été
publié dans les sites "Officiels" de publication, pourtant toutes les
conditions étaient réunies. J'ai les versions francisé, non
modifiées pour qui ça intéresse.
Plein accord de l'auteur (qui a eu la première copie), supervision
d'un coordinateur, etc . Alors on va pas ce faire emmerder par des
branleurs. Je vous le sers sur mes pages "officieusement". Ce document
à plusieurs années maintenant et quelques chapitres pourrons vous
paraitre obsolète. Mais même avec les dernières distributions le
démarrage avec startx peut encore sauver d'une carte graphique
spécifiquement capricieuse. Ce documents peut contenir des coquilles,
donc si vous en voyez n'hésitez pas à me le faire savoir. Adelmar
Alain boite mail
Des changements dans la version 1.1 couvrent un plus grand champs d'application de rxvt, élargissent également les champs d'application des Ressources de X, davantage d'historique de X, des références corrigées de SunSite de remarques pour Metalab, et des instructions sur l'utilisation des Polices de Type 1 avec X.
Les changement de la version 1.2 comprennent un champs d'application plus demandé de l'utilisation des polices TrueType dans X, plus de détails au sujet des arrangements de xdm, ainsi qu'une quantité croissante de ressources supplémentaires. Il y a aussi une correction de ma discussion sur les caractéristiques des effacements d'écrans (merci à Heinrich Langos pour la correction!).
Les changements de la version 1.3 comportant quelques stabilisateurs, des infos pour dériver les chemins des polices d'écran dans certaines récentes distributions, et une plus grande quantité d'infos au sujet des bases de la Sécurité sous X. J'ai aussi ajouté quelques trucs et conseils pour l'environnement KDE et une mise à jour des adresses e-mail
Les changements sur la version (1.4) prennent en compte les corrections et les ajouts de Anthony J., et quelques bon très bons trucs au niveau de la sécurité de la part de Tomasz Motylewski
Les changements de cette version (2,0) inclut des corrections de Guus
Bosch, de Brian J. Miller, et de moi-même, aussi bien qu'un bon nombre
de nouvelles mises à jour et informations, et une intervention en
faveur d'un nouveau défenseur!
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Nombre de termes mentionné dans ce document sont des noms commerciaux. Sauf déclaration contraire, toutes les trademarks sont propriétés de leurs propriétaires réceptifs.
Plusieurs des idées qui sont entrées dans X Window sont également
venues de la recherche du centre de recherches de Palo
Alto de Xerox Corporation's (PARC), où elles travaillaient
sur des ordinateurs comme le Parc et le Star vers la fin des années
70'. Aucun de ces ordinateurs ne le fit tourner de façon commerciale,
mais quand Xerox a démontré les possibilités d'un système de fenêtre
sur mesure capable de tourner sur Smalltalk 80, les personnes on
immédiatement étaient accrochés. Cette série de trois ordinateurs a
démontré si bien le WIMP (fenêtres, icônes, menus, pointeur) qu'il
engendra une révolution dans le monde informatique instantanément. En
l'espace de quelques années beaucoup d'utilisateurs d'ordinateur
prirent goût au système de fenêtrage de telle manière, et vous pourriez
dire qu'ils n'ont jamais regardé derrière.
X Window est actuellement développé et distribué par le Consortium X, toutefois, une licence libre autorise l'existence d'applications gratuites ou tout au moins peu chères. La version de X utilisé sur Linux est la XFree86. XFree86 est une collection de serveurs pour (système compatible UNIX) UNIX-like OSs sur plates-formes Intel x86. Le travail est dérivé à partir du X386, et il contribue pour une grande part en travail de fond dans la X11R6. Nous pouvons penser à XFree86, à toutes fins pratiques, qu'il soit la fenêtre de X pour Linux, à moins que vous ayez acheté un autre serveur de X.
X Window est bâtit sur un grand nombres de trousse à outils, et de bibliothèques (groupe de programmes et instructions servant à l'élaboration de programmes en code source en langage de programmation). Elle est construite sur les qualités intrinsèques et la trousse à outils de développement X ( X Tollkit Intrinsics ) de l'Athena Widgets. Bon nombre de programmes utilisent les outils de XView ou ceux de Motif . Plus encore font partie toujours d'un système plus nouveau et unifié de fenêtrage et de communication, comme GNOME ou KDE. Si vous trouvez plusieurs de vos programmes ne compilant pas, ou obtenez des erreurs étranges et inexplicables, vous pouvez commencer par vérifier si X à été correctement installé, parce que la plupart de ces bibliothèques (à l'exception de Motif) sont libre et de plus sont pré installées avec X sur votre système
Ce rappeler, elle est appelée X Window, pas X Windows !
Le screen (l'écran) est votre "desktop entier", et les mots peuvent être employés l'un pour l'autre. Techniquement il signifie l'affichage visuel primaire que vous regardez avec/sur X, et vous pouvez avoir plus d'un écran, en fait vous peut avoir plus d'un ordinateur fonctionnant depuis un simple serveur X. C'est au delà de la portée de cet humble document, mais vous devriez vous rendre compte de la distinction, prendre conscience de cette particularité. (Votre écran est votre desktop et votre desktop est votre écran.)
Le root window ( fenêtre racine ) est le fond de l'écran. Il est attribué à l'intérieur d'une fenêtre d'unique nom, il ne se comporte comme aucune autre fenêtre, mais c'est de là que vous lancerez vos application, poserez une image dessus, ou juste une couleur uniforme, sur la fenêtre racine (root window).
Le window manager est l'interface principale entre le système de fenêtre X et l'utilisateur. Sans le gestionnaire de fenêtre, le système serai plutôt difficile à utiliser, et ne serai certainement pas un outils très productif. Le gestionnaire de fenêtre pourvoit aux fonctionnalités telles qu'aux bordures de fenêtres, aux menus, aux icônes, dessus de bureau virtuels, aux barres de tâche (buttons bars), barre d'outils (tool bars), et permet à l'utilisateur de l'adapter aux besoins du client à volonté, s'ajoutant souvent à sa fonctionnalité dans le processus.
Le pointer est la flèche ou n'importe quel forme donnée qui représente la localisation de la souris (ou autre périphérique de pointage) y correspondant sur l'écran. Le pointeur change souvent pour vous donner par retour de l'information relatif au contexte à quoi vous pouvez vous attendre si vous utilisé la souris à tel point ou à tel autre sur l'écran.
Le window est une fenêtre , un cadre, une armature dans laquelle réside n'importe quelle application donnée laquelle est "dirigé" par le gestionnaire de fenêtre. Ceci inclus plein de jolies choses et n'importe quoi excepté la prétendue fenêtre racine (root window). Même des fenêtres qui ne semblent ne pas avoir d'armatures, cadres, des titres, ou n'importe quel type de bordures de la sorte sont contrôlées par votre gestionnaire de fenêtre. la active window (fenêtre active) La fenêtre active est la fenêtre que vous employez actuellement, la fenêtre qui recevra le texte quand vous tapez, elle est traditionnellement signifier par le fait que votre curseur souris est pointer sur elle, bien que ça ne soit pas toujours le cas. La fenêtre active est dites avoir le focus, le reste des fenêtres sur votre affichage écran sont "unfocused".
Menus et icônes se comportent dans X de la même manière qu'ils se comportent dans d'autres systèmes de fenêtrage, et ont les mêmes principes généraux qui s'y appliquent. Les fenêtres avec seulement du texte sont appelés terminal emulators, xterm pourrai être un exemple, et ceux-ci émulent fondamentalement un affichage de console texte, mais laissez vous séduire par le multiplex et utilisez en plus d'une à la fois, et profitez de plusieurs autres avantages disponibles devant êtres utilisé dans X. Nous débattrons d'eux en profondeur plus loin dans ce document.
La manière la plus fondamentale de commencer X est avec le xinit . Ceci vous mènera à un dessus de bureau blanc par défaut (gris en réalité car le gestionnaire de fenêtre n'est pas chargé). Si aucun programme client n'est indiqué sur la ligne de commande, le xinit recherchera le dossier .xinitrc pour fonctionner comme un script de shell (interpréteur de commande), pour le démarrage des programmes client. Si ce fichier n'existe pas, xinit emploiera la commande suivante par défaut:
Comme vous voyez, ce n'est pas très utile. La manière la plus commune de commencer X est avec la commande startx. C'est la plus civilisée des méthode pour commencer le système de fenêtrage, mais exige que vous ouvriez une session avec un shell en mode textes, et commenciez le système de fenêtrage par vous même. Pour beaucoup d'utilisateurs de Linux c'est la manière la plus commune de commencer X, elle est également la plus flexible. Vous pouvez publier des commandes telles que ce qui suit :xterm -geometry +1+1 -n login -display :0
Les doubles tirets passent les arguments directement au xinit, et de cette façon vous pouvez lancer le démarrage d' X dans la résolution que votre travail exigera, et néanmoins pouvoir toujours l'employer depuis le fichier de configuration que nous couvrirons plus tard dans ce document.startx -- -bpp 8 #start x in 256 color mode
startx -- -bpp 32 #start x in true color mode
xdm peut être configuré avec des fichiers de configuration localisés dans /usr/X11R6/lib/X11/xdm sur votre système Linux. Le fichier xdm-config est là pour configurer la manière dont le login de l'écran apparaîtra à l'utilisateur, et Xsetup_0 est utilisé pour enseigner à xdm quels programmes devrons être lancés au démarrage de X. Une certaine partie de la configuration d'un utilisateur normal peut être mise dans leur fichier .xinitrc, si xdm est sollicité pour une utilisation normale.
Un exemple de fichier Xsetup_0 est placé ici pour voir, lequel peut vous aider pour configurer votre système. Le programme xfstt est le serveur de police TrueType (nous verrons ça plus loin dans ce document). Aussi, notez que nous utilisons un script shell (interpréter de commande interactif) ici, et il essai d'appeler xv pour établir le fond d'écran pour une belle image (à la place de l'ennuyeux modèle blanc et noir), et si sont appel échoue, xsetroot est appelé, pour un dernier essai en vu établir le fond d'écran vers une belle couleur bleu (ou autre à votre convenance, nous verrons plus loin le nom des couleurs afin quelle soient reconnu lorsque vous les appelées sous X).
Beaucoup de distributions de Linux incluent ce service automatiquement. Si vous êtes capable de voir le niveau d'exécution de votre système Linux, vous pouvez voir probablement que le niveau 3 est le niveau normal de démarrage normal (voir /etc/rc.d) à moins que vous n'ayez amorcé en passant par quelque chose comme le xdm. Si vous l'êtes, vous allez commencer dans le niveau d'exécution 5. C'est quelque chose de normal sur des systèmes de Linux (et similaire). Les programmes tels que le linuxconf et ses équivalents fonctionnels devraient pouvoir ajuster cela.#!/bin/sh
xconsole -geometry 480x100-0-0 -daemon -notify -verbose -fn \
'-schumacher-clean-medium-r-*-*-10-*-*-*-*-*-*-*' -exitOnFail
/usr/X11R6/bin/xfstt &
/usr/X11R6/bin/xv -quit -root \
/usr/local/share/WindowMaker/Backgrounds/InDreams.jpg \
|| xsetroot -solid darkblue
xset fp+ unix/:7100
Également sur beaucoup des plus récentes distributions Linux les systèmes ont des équipements tel que le gdm et le kdm, qui sont des équivalents avertis pour GNOME et KDE de ce programme. Ceci donc ne change juste que le look et la sensation pour convenir à votre préférences de bureau, les autres versions contiennent plus de dispositifs, tels que se rappeler pour quel environnement de bureau vous aviez opté la dernière fois, les capacités à l'arrêt et la réinitialisation de la console, et ainsi de suite.
Votre choix sur le gestionnaire de fenêtre peut considérablement influencer ce que sera votre expérience informatique et le plaisir que vous en tirerez. Vous passez beaucoup de temps en face de votre fenêtre lorsque vous êtes sur X, et vous ne voulez pas, dans une certaine mesure et c'est bien naturel, que ce soit par trop rébarbatif. Certains gestionnaires de fenêtres sont personnalisables à volonté, tant qu'à faire d'avoir une nouvelle OS (Operating System) autant être agréablement surpris . Si vous n'aimez pas les icônes, débarrassez vous en ! Si vous manquez de barre d'outils, vous pouvez vous en construire une, elle sera comme vous le souhaiterai et ça, ça vaut la peine occasionnée pour la confectionner.
FVWM ( * ) est l'original, le vieux standard des gestionnaires de fenêtres, favori de Linux ( l'original ). Actuellement c'est la version 2.0 de FVWM qui est devenue stable et d'usage plus général, cette nouvelle version est préférée, en raison de la syntaxe qui y est plus directe et simplifiée, tout en étant beaucoup plus flexible, comme il se doit. Pourtant , beaucoup de monde continue à se servir de l'original de FVWM sur leurs systèmes, la raison est qu'il a été très longtemps le " standard" - le "favori", ainsi la plupart des exemples de ce texte sont également applicables à cette vieille version. Et si ledit " vieux" travaille convenablement pour vous, il peut ne pas avoir nécessairement besoin d'une mise à jour, hélas il peut casser vos fichiers de configuration à certain titres, en raison de quelques syntaxes qui ont en effet été changés, mais il n'ai pas entièrement incompatible. Telle est la nature du progrès.
Personne ne semble tout à fait sûr que le F dans FVWM représente ( pas même l'auteur, de ce que je puis dire!), mais le VWM semblerait (correctement) indiquer le directeur (Manager) de fenêtre (W indow) virtuel (Virtual), et en effet les séries de FVWM sont les Gestionnaires de fenêtre virtuels, et c'est une de leurs forces. Vous pouvez lier des clefs à n'importe quelle fonction, y compris la commutation entre les dessus du bureau virtuels, et le faire facilement et en toute tranquillité.
FVWM2 ( * ) est un nouveau standard, comprenant de nombreuses améliorations et caractéristiques non établies dans la version antérieure. Différant des nombreux nouveaux gestionnaire de fenêtres, il travail aussi bien sur 8-bit, 256 couleurs d'affichages (comme on là vue dans l'exemple "l'ouverture XWindow" de la page précédente), que j'ai utilisé pendant un moment, et qui peu encore être amélioré avec des petits icônes et inclinaisons (gradients), pour paraître pour beaucoup semblable à l'interface de Win98 comme on pourrez ou non vouloir. Cette version est aussi beaucoup plus extensible en général, et permet l'utilisation de menus à thèmes et de menus dynamiques. Techniquement, FVWM2 est encore une version bêta, mais il travaille formidablement bien, et je n'ai pas encore eu un seul problème avec lui.
Le gestionnaire de fenêtres icewm est ajusté à une une réalisation et un look plus conséquent, et peut émuler beaucoup d'autres systèmes de fenêtrages standards, touches spéciales de liaisons (hot key bindings), et autres. Les fonctionnalitées de OS/2 sont particulièrement agréables. AmiWM est un type de gestionnaire de fenêtres Amiga Workbench, mlvwm est un émulateur MacOS. dfm aussi est une agréable adjonction de ces gestionnaire de fenêtres, un bureau et un gestionnaire de fichiers qui ressemble agréablement à l' interpréteur de commande d'un bureau OS/2 (Workplace Shell.)
Démarrage avec X11 Release 5, l'interface graphique d'OpenWindows de Sun Microsystem's été disponible pour les utilisateurs d'X. Celle ci inclue deux versions de l'Open Look Window Manager, olwm et olvwm (avec un bureau virtuel). Ça a été développé par Sun dans l'espoir de faire un environnement standard de fenêtrage, et en effet il été un standard avec Solaris pendant plusieurs années. Si votre distribution de Linux ne vous suffit pas, allez y avec le système de fenêtres installé, rappeler vous que vous devez installer la bibliothèque de Xview avant pour travailler, puis vous aurez aussi à placer le répertoire /usr/openwin/... dans votre chemin de recherche.
Si vous désirez l'actuelle boute à outils OSF/Motif Toolkit pour Linux, vous aurez à payer, le programme et la Boite à Outils ne sont pas Libre de droits. Toutefois, les programmeurs (Hungry Programmers) ont écrient LessTif, lequel permet de compiler des programmes de Motif plus ou moins comme si vous possédiez une boite à outils. LessTif est un clone de la boite à outils (Motif toolkit). Actuellement LessTif est partiellement réalisé avec la plupart des API en fonction. De nombreux programmes déjà travaillent sous cette version libre de la boite à outils, et ils égalent les nouveaux venus avec les gestionnaires de fenêtres, dérivés du code de FVWM , lesquels vous auriez juré auraient été fait depuis le Motif Window Manager.
La caractéristique la plus utile de cette boite à outils, toutefois , consiste en une compilation de programmes dépendant sur votre bibliothèque Motif sur votre système. Le gestionnaire de fenêtre n'a rien de spectaculaire, il n'est principalement utile que dans le cas ou vous émigrez de l'original Motif, il a besoin pour exister de vos fichiers de configuration. Pour toutes intentions et efficacité, vous découvrirez que FVWM est beaucoup plus gorgé de caractéristiques et aussi plus utile, son look et son comportement sont à peu prêt identique, même reconnaissance de la fenêtre conseil fourni par des programmes construit avec la boite à outils Motif (toolkit).
(Une référence à partir de leur Home page:) ``KDE est un bureau complètement nouveau, incorporant une large suite d'applications pour les station de travail UNIX. Pendant que KDE inclut gestionnaire de fenêtre, gestionnaire de fichier, panneaux, centre de contrôles et beaucoup d'autres composants que les uns espèrent pour être une partie de environnement de bureau moderne, la réelle force de cet exceptionnel environnement s'allonge dans l'inter-opérabilité de ces composants .''
L'environnement KDE Desktop est une tentative de construction d'un
environnement de bureau, pas simplement un gestionnaire de fenêtres.
Les outils de KDE fonctionnent ensemble tellement bien, pour illustrer,
celui ci peut être raillé dans la pensée de KDE été un OS entier. Tout
les outils de KDE pour travailler dans un système de fenêtrage sont
inclus, et beaucoup plus ont été portés à l'environnement KDE. KDE a
déjà atteint un niveau considérable de maturité, mais beaucoup sont
réticent pour l'installer sur leur bureau, à cause des conditions
d'autorisation de la boite à outils, sur laquelle KDE est basé. Celui
ci a changé un peu dernièrement, et la licence actuellement se qualifie
comme Open Source par définition, mais n'est pas la même que celle des
logiciels GNU.
Pour ceux qui ne sont intéressés que par le coté travail, business, KDE est souvent la route à suivre. Il y a un certain temps déjà que ce projet à eu lieu, et a su ce faire remarquer pour sa capacité à obtenir des finalités en soit (le fait de pouvoir être auto indépendant, de ce suffire). Dans beaucoup de circonstances vous pouvez convenir de vous moquer en pensant que l'emploi d'un produit d'allure semblable en bonnes parties à Windows. Ce qui peut être une bonne chose. Mais elle peut également susciter quelque frustration, ceux qui ont attendus après quelque chose de sensiblement différent du paradigme sur lequel KDE est fermement basé.
GNOME: L'Environnement GNU (GNU Object Model Environment)
(En référence à leur Home page:) ``GNOME se dresse pour GNU Network Object Model Environnement. Le projet GNOME à l'intention de bâtir un intégré, bureau user-friendly basé entièrement sur des logiciels libres. GNOME est une partie du projet GNU, et GNOME est une partie du mouvement de l'OpenSource(tm). Le Bureau sera constitué de petit utilitaires et de larges applications qui permettrons aux utilisateurs d'avoir une une réalisation et un look d'enfer. GNOME utilise GTK+ comme la boite à outils GUI pour tout les applications GNOME-compliant.''
Le projet GNOME est une tentative en vue de faire plus que le simple travail comme KDE, mais même un petit peu plus que ça, GNOME est moins attaché à un gestionnaire de fenêtres, pour illustrer, et il est inter opérable pas qu'entre les applications, mais entre ordinateurs et plates-formes, comme il utilise Common Object Resource Broker Architecture (CORBA). Aussi, et pour la plus grande majorité, GNOME est basé sur la trousse à outils GTk+, laquelle est libre et de codes source disponibles, il en va différemment pour les dessous de la boite à outils de KDE, de ce fait groupe les partisans dans la philosophie même de Linux.
Window Maker
(Une citation du home page:) ``Window Maker est le gestionnaire de fenêtre de X11 conçu pour donner le soutien additionnel d'intégration pour les applications de GNUstep. Il tente d'émuler la réalisation et le look élégant du l'interface graphique utilisateur GUI NEXTSTEP(tm) . Il est relativement rapides, caractère riche, et facile à configurer et à utiliser. ' '
La grande force de ce gestionnaire de fenêtre est qu'il supporte le
bureau GNU, , dans le sens qu'il fait un grand et très joli
front end pour GNOME. C'est aussi un des plus facile gestionnaire
de fenêtres à configurer, et peut configuré depuis une interface
graphique, et supporte le glisser (drag) d'OffiX et le
protocole déposer (drop), le changement facile de thèmes du
bureau, et il est maintenant disponible à l'intérieur de la populaire
distribution Red Hat, aussi il est commode de commuter à partir de FVWM
quand l'humeur s'en fait sentir. Comme pour la version 0.50, Window
Maker se conforme aux exigences de KDE, aussi bien.
AfterStep
(Une référence du home page:) ``AfterStep est un Window Manager (gestionnaire de fenêtres) pour X lequel est démarré par émulation émanant du look et réalisme de NEXTSTEP, mais lequel a été significativement modifié selon les requêtes des nombreux utilisateurs. Beaucoup d'adeptes vous dirons que NEXTSTEP n'est pas seulement l'interface la plus plaisant visuellement, mais aussi une des plus fonctionnelle et intuitive. L'idéal de AfterStep est d'incorporer les avantages de l'interface NEXTSTEP, et y ajouter d'utiles fonctionnalités supplémentaires. Les programmeurs d'AfterStep ont aussi travaillé très durs pour assurer la stabilité et un petit programme empreinte ( footprint)..''
Enlightenment
Enlightenment est plus qu'un simple gestionnaire de fenêtres, il est un extrême, dans le détail, et dans la configuration de son environnement, il est également particulièrement attractif en ce qu'il permet aux produits de deuxième zone et des formes de fenêtre complètement personnalisables. Il est accessible en dessin, et au lieu de dicter une police il permet aux utilisateurs de définir leurs propres polices se penchant sur des détails minutieux et infinitésimal; depuis sa réelle fonctionnalité jusqu'aux travers de ses apparences.
Si vous employez GNOME, vous constaterez que Enlightenment est le gestionnaire de fenêtres par défaut, et en fait, il doit être installé pour que GNOME fonctionne. C'est également fondamentalement de fait la réalisation du dispositifs de GNOME pour l'intégration, faisant de lui le choix le plus pratique pour un desktop (bureau) dans cette situation. Beaucoup d'autres gestionnaires de fenêtre travailleront bien avec GNOME, mais vous constaterez qu'Enlightement excelle. Malheureusement, il est toujours à l'étude, et fonctionne lentement et imparfaitement de temps en temps. ( * plus maintenant )
La flexibilité et l'utilité de la ligne de commande est si importante, en fait, que vous n'avez pas un réel besoin de gestionnaire de fenêtre. Il est agréable, et vous le voudrez rapide, mais le fait est que vous pouvez tout obtenir même sans lui, avec simplement une ligne de commande et/ou une souris. Si vous l'esquintez, vous serai surpris en comparant l'exacte différence entre les clients et le gestionnaire de fenêtres. Si vous voulez jouer avec, gardez à l'esprit que la combinaison de touche Ctrl-Alt-Backspace vous permettra de sortir de X Window en un instant.
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-display display | affichage | Cette option spécifie quel server X utiliser. Voir chapitre sur Affichage des Noms pour plus de détail. |
-geometry geometry | géométrie | La
taille initiale et l'emplacement de la fenêtre, dans un format tel que
widthxheight+hoffset+voffset or + hoffset-voffset. Noter que si vous imposez un offset négatif horizontal ou vertical, la fenêtre sera placé et décompté en arrière à partir de la droite ou du bas de l'écran, d'autant. |
-font font | police | La police utilisée pour afficher le texte dans votre fenêtre. |
-bg color | arrière plan | La couleur utilisé pour l'arrière plan de la fenêtre. |
-fg color | façade | La couleur utilisé pour le premier plan de la fenêtre. |
-name resource-name | nom de la ressource | Utile pour spécifier le nom sous lequel les ressources pour cette application seront établies. C'est utile pour discerner entre les invocations d'une simple application, par exemple, deux xterms peuvent être nommés différemment tant qu'elles peuvent hériter de différentes ressources basées sur ces noms dans la base de données des ressources. |
-title string | titre (en tant que chaîne de caractères) | C'est le titre ou capiton pour être utilisé par la fenêtre sur votre affichage, formé avec une chaîne de caractères, généralement utilisé par le gestionnaire de fenêtre pour mettre un titre signalétique dans le haut de la fenêtre. Ne pas confondre avec le -name option |
-iconic | en forme d'icône | Invoquer la fenêtre comme un icône. |
-xrm resource-string | ID de ressource (string) | Cette option spécifie un nom de ressource et une
valeur pour dépasser n'importe quel défaut qui pourrai déjà être
établis. Également utile pour des dispositions de ressources X qui
n'ont pas eu des options de lignes de commandes explicite.
Ex la ligne de commande: xterm -xrm "xterm*background: blue" est fonctionnellement identique que de taper: xterm -bg blue . |
hostname:displaynumber.screennumber
L' hostname (nom d'hôte) désigne le nom de la machine
vers lequel l'affichage est actuellement et physiquement connecté. L'
hostname peut être omit, alors, dans ce cas, le serveur sera choisi
sur la même machine. En fait, si vous êtes le seul à employer X sur
votre ordinateur, vous préférerez laisser ceci hors fonction de vos
spécifications d'affichage et dans ce cas il prendra le nom de la
machine (c'est à dire le nom qui est derrière l'arobas [root@toto /]
c'est à dire toto).
Le displaynumber (numéro d'affichage) doit
probablement être zéro, ceci par contre est nécessaire si le Server X
contrôle plus d'une unité clavier et moniteur, c'est à dire, un réseaux
de terminaux X.
Le screennumber (nombre écran) spécifie lequel des
moniteurs dans un dispositif d'écran d'affichage multiple sera utilisé.
Suivant cette spécificité, vous ouvrirez une fenêtre xterm sur
votre machine locale avec l'option -display :0.0. Vous pouvez
voir que nous avons omis le hostname (nom d'hôte) à partir de
l'option, de cette façon la machine actuelle est supposée n'avoir qu'un
seul et même client écran. (N.D.T.: Prendre quand même l'habitude de le
définir, ça coûte rien et c'est une bonne habitude
-display:lucarne.0.0 ).
Sur systèmes Linux, votre variable DISPLAY possède votre nom d'affichage, lequel sur mon système est :0.0. C'est généralement réglé par xterm, ou un des scripts qui démarre X Window pour vous, bien que vous pouvez l'établir vous-même, comme défini au-dessus, utilisez l'option de ligne de commande -display en invoquant votre application.
Si vous avez ouvert une fenêtre xterm ou rxvt, et ensuite optez pour travaillé en super utilisateur via la commande su, vous trouverez que si vous essayez de lancer une application X vous n'aurez pas d'affichage pour le faire. Cela parait stupide, parce que vous siégé juste en face de votre écran, mais le truc pour l'obtenir est de passer une option à la ligne de commande pour le programme comme ceci -display:0.0, et il travaillera bien.
Si vous avez une carte vidéo lente, la première chose que vous devrez considérer faire est le changement pour rxvt. L'emploi de xterm est un bon point de départ, principalement parce qu'il est livré en standard dans toutes les distributions d'X, mais il n'ai pas toujours le meilleur choix. Il contient un tas de code hérités, ce qui explique qu'il soit plutôt assez chargé pour un simple émulateur de terminal. C'est partiellement dû au fait qu'il n'est pas juste un émulateur de terminal de texte ordinaire (plain text), mais aussi émulateur de modes graphiques que vous n'utiliserez jamais. A cause de ça, votre choix peu ce porter sur rxvt, et aussi parce que xterm peut être extrêmement lent. Je ne suis pas sûr du pourquoi de sa lenteur, mais si vous avez un carte vidéo lente vous comprendrez ce que je tente d'expliquer, et vous serai étonné de la différence quand vous abandonnerez xterm.
Certains des autres avantages de rxvt comprennent des arrières plans pixmap, et un très beau scrollbar (ascenseur). Si vous spécifiez l'option -pixmap sur la ligne de commande (en ayant un support compilé sur votre version!) vous pourrai obtenir n'importe quel image .xpm-type dans votre fond d'écran. Une caractéristique très cool, et qui étonnamment ne ralenti pas vos sortie pour n'importe quoi, pourtant il restera plus rapidement que votre xterm window. Donner lui une chance, je ne l'ai pas essayé depuis un moment mais je pense qu'il a sa place sur Metalab.
Premièrement permettre dans votre répertoire la création d'un fichier appelé .xinitrc. Ouvrez votre éditeur de texte "favori'', et coller ce qui suit, ou quelque chose comme ça, dans ce fichier:
#!/bin/shIl y a une abondance des choses à apprendre de cet exemple. Tout d'abord, ce dossier sera un script shell, comme indiqué par
# si vous êtes français ( * ) ne considérer la ligne suivante qu'au
# point de vue purement théorique est laissé la en commentaire.
# xmodmap -e "keysym BackSpace=Delete" -e "keysym Delete-BackSpace"
xsetroot -solid darkslateblue
# démarrer quelques applications basiques
xclock -geometry 96x96+2+2 -bg grey40 -fg black -hl white &
xload -geometry 120x96+2+147 -bg grey40 -fg white -hl darkred -update 4 &
xterm -sb -ls -geom 80x25-2+2 -title "shell" &
xterm -sb -ls -geom 80x25-2-2 &
# demarrer le window manager
/usr/X11R6/bin/fvwm2
La troisième et quatrième ligne appellent quelques programmes que j'aime laisser tourner pendant quand je travaille dur. Vous remarquerez que certaines des options faites pour rendre plus agréable le setup, par exemple, en déterminant les couleurs et la géométrie (localisation de l'écran). Je vous donnerai quelques trucs pour évaluer cette tâche plus loin dans un coin. Les cinquième et sixième ligne suivantes également appellent l'ouverture de deux utiles fenêtres xterm pour nous, lesquelles nous seront sans aucun doute utiles par la suite.
La dernière ligne est très importante, c'est cette ligne qui démarre votre gestionnaire de fenêtres (window manager!) Noter que les seules commandes qui ne sont pas démarrer en tant que procédures d'arrière plan background processes (en mettant le signe & à la fin) sont xsetroot, xmodmap, fvwm2. Avec ces deux premières c'est sans importance, car le programme sort immédiatement. Mais tout le reste des programmes ont à être activés dans l'arrière plan, sinon quand vous en fermez un, il ce pourrai qu'il tue votre session X Window. Ça ne serai pas très plaisant, ni souhaitable. Comme vu plus haut, lorsque vous fermez fvwm2, vous sortez de X.
Ceci vérifiera si vous êtes bien l'utilisateur nommé root, et si vous l'êtes il vous avertira, en réglant le fond de l'écran sur un rouge dur, plutôt que le bleu amical et usuel. Ce prochain morceau de code est aussi destiné à votre fichier .xinitrc , il fusionnera dans vos ressources utilisateur spécifique (user-specific resources) et ressources vaste système (system-wide resources), première vérification pour être sûr de l'existence des fichiers.# change de couleur d'arrière plan pour root
if [ "$USER" = "root" ];
then
xsetroot -solid DarkRed
else xsetroot -solid DarkSlateBlue
fi
userresources=$HOME/.Xresources
usermodmap=$HOME/.Xmodmap
sysresources=/usr/X11R6/lib/X11/xinit/.Xresources
sysmodmap=/usr/X11R6/lib/X11/xinit/.Xmodmap
# Merge in defaults and keymaps
if [ -f $sysresources ]; then
xrdb -merge $sysresources; fi
if [ -f $sysmodmap ]; then
xmodmap $sysmodmap; fi
if [ -f $userresources ]; then
xrdb -merge $userresources; fi
if [ -f $usermodmap ]; then
xmodmap $usermodmap; fi
Ceci apporte une fonctionnalité très agréable aux gestionnaires de fenêtres FVWM. Par défaut, quand vous bouger une fenêtre tout autour de l'écran, vous voyez la spécification de géométrie apparaître sur votre écran dans un petit cadre gris (style bouton). Activez le à l'avance, essayez le déplacement de la fenêtre avec le bouton gauche. Maintenant essayez de la retailler (+ ou - grand). Comme vous pouvez le voir, vous pouvez vous procurer déjà quelques spécifications primitives avec cette méthode. Toutefois, même cette méthode peut être quelque peut difficile, et il serai cool d'avoir tout les détails au sujet de votre fenêtre dans une liste concise.
C'est à ce moment que vous introduirez le programme xwininfo. Pour utiliser ce programme, aller dans une fenêtre xterm et tapez dans celle là le nom du programme (xwininfo). Il vous demandera de cliquer sur une autre fenêtre celle au sujet de quoi vous voulez des informations, et après avoir cliquer dessus elle vous déversera d'utiles renseignements qu'elle dispose sur cette fenêtre. C'est utile pour la publication d'informations au sujet des fenêtres dés que vous les avez arranger comme vous les vouliez sur votre écran - exécuté ce programme, puis cliquer sur la fenêtre, dés lors mettez ces paramètres dans votre fichier de démarrage, et votre système de fenêtre sera dorénavant gelé dans un état vierge, d'une immaculée précision.
Maintenant que vous avez obtenu une mise en marche, personnalisé la copie du fichier de ressources de votre gestionnaire de fenêtre dans votre répertoire home, ouvrez le dans votre éditeur de texte préféré, et jetez y un coup d'oeil. Si vous êtes dans X à ce moment, vous pouvez voir la corrélation entre le fichier et ce que vous voyez sur votre bureau. Très utile n'est-ce pas ?. Laissons nous tenter par le changement de quelques choses et regardons si nous pouvons le faire paraître un peut plus à notre goût. Probablement la première entrée dans votre fichier (qui n'ai pas suivi par le singe dièse # caractère de commentaire) est l'entrée de police de fenêtre ( WindowFont ),suivi d'un très bizarre nom de police. Si vous voulez faire vous faire une idée de comment choisir les variétés de polices et les couleurs dans leur ensemble, sautez à l'avance au prochain chapitre sur les Police et les Couleurs sous X.
C'est un exemple d'une méthode pour lire à l'intérieur d'autres configurations. De cette manière vous pouvez moduler votre .fvwm2rc -- pas mauvaise idée, considérant comment peu être brouillé un immense fichier de configuration. Ceci peut faciliter le changement et le débuggage, et aussi qu'il est plus facile de configurer un si nommé themes, sur lequel nous nous attarderons plus tard.# import config files Echo -Styles- Read .fvwm2gnome/config/styles/app.styles Read .fvwm2gnome/config/styles/window.styles Echo -Buttons & Keys- Read .fvwm2gnome/config/buttons.config
Soyez prévenu, toutefois, je conseille l'étude de la mise en place de votre configuration par vous même! Non seulement parce que c'est la méthode Unix (pour quoi que ce soit, ça vaut le coup) mais aussi parce que il est plus facile de faire, de petits changements et de manière incrémentale de votre fichier .fvwm2rc, de cette manière, et obtenir des choses exactement comment vous les voulez. Aussi, créer un programme Tcl/Tk, est un peu plus long. Néanmoins, si vous voulez une méthode moins fatigante pour démarrer avec une configuration décente, Ça vaut nettement le coup.
Dans l'ordre pour générer un thème, vous devez remonter vos manches et modifier votre fichier .fvwm2rc d'un petit morceau de code. Ici se trouve quelque chose que j'ai ajouté à coté du début de mon fichier, essayez de le mettre après les définitions de Style:
C'est une quantité à avaler, je sais. A la base nous sommes à la première place définissant un thème appelé ``Blue ,'' et vous pouvez utiliser ce premier moitié comme un modèle pour désigner d'autres thèmes. Des thèmes peuvent décrire beaucoup plus de caractéristiques que ça, en fait, et peuvent être tout à fait remarquablement différents, depuis un autre. Alors nous sommes entrain de définir une fonction pour changer toute la fenêtre pour un nouveau style. Noter dans les deux sections au-dessus que nous détruisons l'objet avant de le créer. C'est une bonne idée puisque vous pouvez bien être redémarrant FVWM2 un paquet de fois pour essayer vos différents styles, et ceci le fait travailler un peu plus doucement.# Blue Theme DestroyDecor Blue AddToDecor Blue + WindowFont -b&h-lucida-bold-r-*-*-*-140-*-*-*-*-*-* + TitleStyle ActiveDown (Solid DarkSteelBlue)\ ActiveUp (Solid SteelBlue) Inactive (Solid Grey) + HilightColor white blue + ButtonStyle 1 -- UseBorderStyle Style Blue UseDecor Blue, BorderWidth 5, HandleWidth 5,\ MWMborder, MWMbuttons # Fonction pour changer toutes les fenetres pour un style nouveau. DestroyFunc ChangeStyle AddToFunc ChangeStyle + "I" Style $0 $1 + "I" Recapture
La fonction appelé est nécessaire comme une interface générique pour appeler les définitions des styles que nous avons défini. Maintenant nous créerons les éléments du menu pour les appeler.
Ici, nous allons être un petit peu succincts, concis avec la définition de menu , mais il sera beaucoup plus évoqué dans le fichier exemple de votre système. Quoi que nous sommes entrain de faire la fonction ChangeStyle est appelée que nous avons défini au-dessus pour changer le style pour toutes les fenêtres sur l'écran pour un des pré réglage que nous avons défini au-dessus. Remarquez, encore, notre bonne pratique en détruisant le menu avant de le créer. Maintenant si vous redémarrez FVWM2 (vous aurez également un menu option pour ça, si tout va bien!) vous verrez une nouvelle sélection de menus Thèmes, et vous serez capable d'essayer seuls les différents thèmes.DestroyMenu "Themes" AddToMenu "Themes" + "Choose a theme..." Title + "" Nop + "Blue" ChangeStyle "*" "UseStyle Blue" + "Mwm" ChangeStyle "*" "UseStyle Mwm" + "Flat" ChangeStyle "*" "UseStyle Flat"
Pour plus d'exemples de Thèmes sur FVWM2 , visitez http://www.vis.colostate.edu/~scriven/Linux/fvwm/index.html.
Quand vous en serez à choisir à partir de la sélection fmly, vous verrez la plupart de options se griser en dehors, et seulement trois demeurerons. Cela signifie que ces trois sont la seule famille de fonte faites par cette même fonderie (créateur ou société propriétaire de la fonte). Certaine familles apparaissent sous plus d'une fonderie, par exemple, les deux Adobe et Bitstream font une variation de la fonte Courrier. Maintenant vous pouvez sélectionner le wght, et so forth. Après avoir acquis un certain recul vous pourrez adapter la fonte que vous voulez. Vous n'avez pas nécessairement à remplir toutes les options pour choisir une simple police de caractères, il n'y à pas que ces nombreuses polices sur votre système! Les options que vous n'avez pas choisi seront représentées par une * indiquant que n'importe quelle option agira dans ce spot.
Quand vous serez content de votre sélection de polices, vous pourrez atteindre le bouton de sélection, et votre sélection sera placé dans le presse papiers X, prêt à être collé dans votre document ou tout ce sur quoi vous travaillé. Par exemple, aller sur votre fenêtre xterm et tapez dans quelque chose comme xterm -font poursuivant par l'ouverture d'une marque de citation. A ce moment sélectionnez cet endroit sur votre écran, et cliquez sur le bouton central de votre souris (ou cliquez sur les deux le gauche et droit, si vous avez middle-button impaired). Cela collera la sélection à partir du presse-papiers, lequel sera la police que vous venez de choisir. Alors entrer le guillemet fermant, et taper Enter. Par exemple, un agréable gros xterm avec une fonte Courrier spécifié pourra paraître comme ça: xterm -font "-adobe-courier-medium-r-*-*-14-*-*-*-*-*-*-*" Un xterm frais sera le pop up utilisant la police que vous avez choisi.
L'utilitaire xfd est très utile pour examiner une police. Si vous le lancer avec une ligne de commande tel que xfd -fn fixed , il vous montrera le jeu de caractère pour la police, avec une grande similitude avec les keycaps sur Macintosh. Noter que vous pouvez aussi limiter le nombre de polices que vous voulez, xfontsel les affiche avec l'option de ligne de commande -pattern, suivi par un référence de spécification de fonte, comme nous l'avons vu au-dessus.
Si vous regardez dans le répertoire /usr/X11R6/lib/fonts/misc/fonts.alias, vous trouverez des noms de raccourcis pour de nombreuses fontes. Par exemple, 8x16 est listé comme un raccourcis pour - sony-fixed-medium-r-normal--16-120-100-100-c-80-iso8859-1, et n'importe ou vous entrez 8x16 en tant que ressource de fonte d'X ou vers une ligne de commande pour un nom de police de caractères, la version longue de la fonte pourra être substitué. Les répertoires 75dpi et 100dpi ont des aliases similaire pour tirer avantage de, sur la plupart des systèmes la fonte Lucida Sans a un agréable raccourcis.
Si vous ajoutez des polices ou des aliases à votre système, vous devrez publier quelques commandes (probablement comme root). Si vous ajoutez des polices, vous devrez publier les deux commandes suivantes (ce sont des exemples, vous devrez mettre dans le bon répertoire, ou peut-être les laisser en dehors, pour faire relire vos polices correctement.
Si pour une police vous changez le fichier alias, vous n'aurai seulement qu'à publier la dernière commande ci-dessus, maismkfontdir /usr/lib/X11/fonts/misc xset fp rehash
Un autre problème commun est que quelques distributions (notamment
Red Hat 5.2, pour l'instant) arrivent avec les polices
configurées dans un faux ordre. Si vous jetez un coup d'oeil aux
votre /etc/XF86Config (il peut être quelque part ailleurs dans
quelques autres distributions, malheureusement, et je ne suis pas sûr
où il est sur Red Hat à l'heure actuelle, le localiser avec locate
peut-être...) Jeter un coup d'oeil à ce dossier si vos polices vous
semblent trop laides dans X (très difficile à lire même à de grandes
tailles). Vous verrez un groupe d'entrées qui ressemblent à quelque
chose comme ceci:
FontPath "/usr/X11R6/lib/X11/fonts/misc/"La chose importante à noter ici est que nous avons démonté les polices bitmaped (polices graphique établies avec une correspondance de bits) (les répertoires divers, 75dpi, 100dpi) avant les polices mesurées (telles que Type1 et
FontPath "/usr/X11R6/lib/X11/fonts/75dpi/:unscaled"
FontPath "/usr/X11R6/lib/X11/fonts/100dpi/:unscaled"
FontPath "/usr/X11R6/lib/X11/fonts/Type1/"
FontPath "/usr/X11R6/lib/X11/fonts/Speedo/"
Se servir de ces polices n'est pas aussi difficile, et graphiques que des programmes comme GIMP qui tireront profit d'elles énormément, et le meilleur de tous, les serveurs X de Linux comprennent les polices de Type 1 "out of the box". Pour les employer, déballer d'abord les archives en utilisant les commandes appropriées, et mettez les polices avec une extension .pfb dans /usr/X11R6/lib/X11/fonts/type1/ sur votre système. Puis, ajouter la référence de ces fontes dans le fichier fonts.scale dans cet répertoire, en utilisant le format pour les autres polices, déjà présentes. Puis sauvez le fichier.
Maintenant, vous devriez être capable envers mkfontdir de
discerner le serveur X au sujet des mises à jour, et puis exécutez
xset fp rehash pour relire le chemin de police. Si ceci
ne fonctionne pas pour vous, vous pourriez devoir remettre en marche X
pour voir les changements.
Si vous vous trouvez à employer de nombreuses polices de Type 1, et
pour des choses autres que X (GhostScript, par exemple, peut manipuler
ce format de police aussi bien), vous voudrez vérifier l'utilitaire
type1inst par James Macnicol. Ce programme peut configurer des
polices de Type 1 pour GhostScript et X, et il peut également produire
des feuilles témoin pour vos polices, et effectue la majeure partie du
travail de la configuration pour vous. Ce programme peut
habituellement être trouvé à :
ftp://metalab.unc.edu/pub/Linux/X11/xutils/.
X ne comprend pas des polices de TrueType, et n'a aucune possibilité innée (actuellement) à faire ainsi, et donc il a besoin d'un programme séparé pour faire le font rendering (le re-dessinage des polices) pour lui. Il y a une bibliothèque de Free Type pour faire ça, mais si vous voulez juste les employer sur votre ordinateur, tout ce donc vous aurez besoin est un programme appelé le xfstt, le serveur de police de X pour TrueType. Ce programme devrait être disponible à ftp://metalab.unc.edu/pub/Linux/X11/fonts /.
L'installation est assez franche. Extraire les archives, et make
le fichier, et puis make install. Vous pouvez obtenir
quelques erreurs qui ne semblent pas prêter à conséquences après la
deuxième commande; les ignorer. Ce que vous devez faire après est de
créer un répertoire assignable appelé /usr/ttfonts et y mettre
certaines de vos polices .ttf là, pour s'assurer juste qu'il
va fonctionner. Synchroniser alors le serveur de police avec xfstt la
commande xfstt --sync.
Si vous n'obtenez pas d'erreurs ici, exécutez le serveur de police
dans l'arrière plan fond avec la commande xfstt & et
renseignez votre serveur X11 au sujet du service de police avec la
commande xset fp+ unix/:7100 . Si vous n'obteniez aucune
erreur, vous devriez pouvoir exécuter Netscape, le GIMP, même le
xfontsel, et avoir ces polices disponibles
pour vous. Votre plus grand problème peut être de trouver la
police que vous voulez, mais ce n'est pas vraiment une mauvaise chose.
On a porté à ma connaissance que des versions plus récentes de xset exigent une version légèrement modifiée de cette commande, en raison des changements du code du xset. Si vous lancer une distribution basée sur le Red Hat 6,0 ou postérieure, ou quelque chose d'équivalent, vous voudrez d'abord essayer le xset fp+ unix/:7101.
Si tout semble fonctionner très bien, à ce moment vous voudrez
sûrement configurer votre système de sorte que les polices fonctionnent
quand vous commencez X. Si vous êtes justement en train de démarrer X
de la ligne de commande, c'est facile. Tout ce que vous devrez faire
c'est d'ajouter les deux commandes du paragraphe précédent à votre
fichier .xinitrc, dans cet ordre. Lors du prochain démarrage
d'X, il devrait travailler finement. Si vous commencez X via xdm
, vous aurez besoin d'ajouter /usr/X11R6/bin/xfstt & à
/usr/X11R6/lib/X11/xdm/Xsetup_0. Obtenu cela?
Ajouter alors le xset vp+ unix/:7100 comme il se doit.
Considérer que l'installation d'un serveur de police de TrueType peut être une affaire de ruses. Se rappeler que l'ordre que vous publiez les commandes ci-dessus est important. Le serveur de police doit être commencé avant que X soit commencé, autrement vous courrez au devant des problèmes. Être sûr d'avoir lu le dossier de FAQ qui est arrivé avec la distribution, et le home page de xfstt aussi.
xterm -fg darkslateblue -bg red3 &
Tant que cette fenêtre n'est pas totalement à votre goût, vous ne pourrez pas donner le meilleur de votre travail dedans, cela fait la démonstration d'un thème intéressant de X, les noms des couleurs. Tant que tout n'est pas très précis, les couleurs sont une agréable méthode pour se rappeler plus facilement qu'une série de nombres hexadécimaux. Noter que les noms de couleur ne sont jamais des case sensibles.
Si vous êtes intéressé par les détails sanglants, ou voulez voir les
exemples, ou même vouloir remplacer ces noms idiots de
couleur par les vôtres propres pour quelle obscure raison que ce
soit, vous pouvez trouver le fichier d'enregistrement qui énumère
toutes les couleurs avec leur représentation hexadécimale dans
/usr/X11R6/lib/X11/rgb.txt sur votre
système. Il y a également quelques utilitaires extrêmement
secourables avec des noms comme le xcolorsel et tels.
Ils peuvent être trouvés dans les endroits habituels, sur
http://metalab.unc.edu/pub/Linux/ et ailleurs.
Une manière plus précise d'indiquer des couleurs est par la
définition numérique. Ceci se compose d'un nom de l'espace de
couleur et d'un ensemble de valeurs dans la syntaxe suivante:
<colorspace-name>:<value>/.../<value>
Un Driver RGB, que vous utiliserez très probablement, est spécifié avec le préfixe " rgb: " et a la syntaxe suivante:
rgb:<red>/<green>/<blue>, où <color> est un nombre d'hexadécimal de 1 à 4 chiffres.
Comme exemple, vous pourriez représenter le rouge de couleur avec rgb:ffff/0/0. Pour la compatibilité en arrière, vous pouvez également indiquer le rouge avec une syntaxe telle que #ff0000 ou #ffff00000000, et vous verrez probablement cela une syntaxe (plus ancienne) beaucoup.
Les ressources d'X fournissent un mécanisme pour stocker des valeurs
par défaut pour des ressources de programme et pour une adaptation en
fonction votre environnement de fenêtrage de vos aspects et sensations
préférés. Les ressources sont spécifiées comme texte de chaîne
de caractères qui sont lues à l'intérieur de divers endroits quand
une application est exécutée.
Des composants de programme sont appelés de manière
hiérarchique, avec chaque objet dans la hiérarchie identifiée par
une classe aussi bien qu'un nom d'instance. Au top niveau de la
hiérarchie ce trouve le nom de la classe et celui de l'instance de
l'application elle-même. Par convention, le nom de la classe de
l'application est identique au nom du programme, mais avec la première
lettre capitalisé (par exemple Bitmap ou Emacs) bien que quelques
programmes qui commencent par la lettre ``X ' ' doivent également
faire profiter la deuxième lettre pour des raisons logiques (par
exemple XTerm ou XConfigurator).
xterm -background blue &
Cette commande devrait avoir eu comme conséquence une autre fenêtre de xterm sautant vers le haut sur votre écran, mais cette fois avec un fond bleu. "Wow," vous dites laconiquement "C'est stupéfiant!" Oui, en effet ça l'est.
Nous aurons besoin de plus de fond d'écran pour notre prochain
exemple. Tapez exit dans cet xterm (qui fermera la fenêtre
) et retourner de nouveau à la fenêtre originale dans laquelle vous
avez tapez cette commande.
Essayer ceci: maintenez la touche Ctrl et puis maintenez le
bouton de souris gauche.
Essayer maintenant cela avec le bouton central de la souris.
Maintenant la droite. Toutes les fenêtres de xterm vous donnent des
options à l'essai tandis qu'elles fonctionnent. Avec le bouton droits,
par exemple, vous pouvez changer la police de la fenêtre. Noter la
couleur de ces menus. Essayer maintenant cet exemple:
xterm -xrm 'xterm*fontMenu*background: green' &
Cette fois, elle apparaît comme une fenêtre normale de xterm. Mais si vous essayez de maintenir Ctrl et le bouton droit de la souris dans cette fenêtre, vous verra que ce menu (le ``fontMenu ' ' mentionné dans l'exemple ci-dessus) est vert. Que s'est il produit au juste? Si vous regardez les pages du man pour xterm, vous verrez beaucoup d'options de ligne de commande, telles que -background ou -font, que vous pouvez placer quand vous lancez n'importe quelle fenêtre donnée dans X, énumérée après les options juste pour des fenêtres xterm. Ces options particulières sont appelées X Toolkit Options (les options de la boite à outils de X), et elles s'appliquent pour et au sujet de n'importe quoi dans X.
Vous verrez probablement une horloge simple, et l'apparence plutôt innocente de la fenêtre d' editres, blanche la plupart du temps. La fenêtre principale nous montre l'arbre de ressource de n'importe quelle fenêtre donnée sur notre bureau, et par dessus le lancement de programme, il n'y a rien. Ainsi donnons lui en un. Maintenir le bouton gauche sur le menu de commandes, et choisir Get Tree. Dans le haut de la fenêtre apparaîtraxclock &
editres &
Pour cet exemple, cliquons d'abord dessus le xclock. Vous verrez un couple de choses apparaître dans la fenêtre d'editres. Ce sont les branches configurables que la trousse à outils voit. Cliquer sur le bas droit d'une (clock). Elle devrait intervertir. Choisir maintenant "Show Resource Box" à partir des "Commands" menu. Vous verrez une autre fenêtre sauter vers le haut, avec le titre " xclock.clock.unknown". Bingo!
D'ici vous pouvez jouet avec les options de configuration de la fenêtre principale de xclock. D'abord, cliquer dessus "Set Save File" au fond, et mettre dedans un nom de fichier /home/votrenom/resources, pour indiquer que vous examinez certaines des ressources ici. Cliqueter maintenant dessus le "foreground" et mettez dans "blue" ensuite pour le prompt "Enter Resource Value:". Frapper alors "Apply" au fond. Les petites entailles des minutes autour de l'horloge devraient tourner au bleu. Aller au "background" et entrez "navajowhite" (ou quelque couleur que vous préfériez). Appliquer alors cela. Comme vous pouvez voir, nous pouvons configurer la fenêtre entière juste de cette façon. Mais si vous deviez essayer de lancer un autre xclock, elle apparaîtrait juste comme celle-ci apparu avant tous les changements. Nous devons sauver ces changements.
Cliqueter "Save" et puis "Popdown Resource Box" (un nom fantaisiste en effet pour la fonction "Close"!). Si vous regardez le fichier vous avez juste créé (cat /home/yourname/resources peut-être) verrez toutes ces ressources définies, dans le format correct du toolkit de X, pour votre convenance. Mais cela nous fait peu bon, pour si vous essayez de lancer un autre xclock, il s'immobilisera sur l'apparence Plain Jane. Aussi voici la dernière et finale étape dans le chargement dans vos ressources:
Cette commande fusionne les ressources que nous avons juste écrites dans la base de données de ressource de X ( xrdb) pour votre session de X Window. Cela signifie que pour toutes les futures invocations des applications de X que nous avons modifiées, nos changements aurons lieu, et resterons liants. Ainsi si vous lancez un autre xclock, il regardera aussi agréable que vous l'avez établi en ce moment, chaque fois que vous le lancez. Faire attention à vous, le xrdb est un programme complexe, et vous pouvez vouloir avoir un regard sur les pages du man avant d'y aller, ou jouer encore plus avec lui. Si vous ajoutiez la modification au .xinitrc énuméré plus tôt dans ce document, pour charger les ressources automatiquement sur lexrdb -merge /home/yourname/resources
Si vous lisez la page du manuel pour X, vous trouverez une définition plutôt obscure de la syntaxe exacte pour définir des ressources qu'elle comprend. Nous pouvons simplifier un bout de ceci tout à fait et le détruire dans cette définition essentielle de syntaxe:
<program><binding><widget><binding><widget><...><resource>:<value>
Cela ne semble pas vraiment si simple, réellement. Bien,
définissons quelques choses au sujet de ce qui a juste été dit, et
tout commencera à sembler raisonnable après tous. Vous pouvez
jeter un coup d'oeil devant aux exemples dans la prochaine section
comme vous lisez le long, si vous voulez.
Le programme dans cette définition est l'invocation d'une application dans la base de données de ressource. Ce serait XTerm pour une invocation de xterm, des Emacs pour une invocation de l'éditeur de texte d'emacs, ou un nom défini pour l'utilisateur qui a été donné quand les applications ont été lancées avec le -name d'option de ligne de commande. De cette façon vous pouvez définir les ressources séparées pour les xterms lesquelles seront employés dans différentes méthodes. Ce qui est assez cool, vraiment.
L'attache peut être un de deux caractères pour séparer les
widgets et tels. Si vous employez un . (point), vous
obtenez une attache serrée, qui signifie qu'un widget est
directement au-dessus ou au-dessous de l'autre dans la hiérarchie de
widget. Ceci a également la priorité la plus élevée des méthodes
de spécifications. Si vous employez une * (astérisque), vous
obtenez une
prétendue attache lâche, et vous sauterez tout nombre de
widgets dans la hiérarchie, et elle essayera d'assortir le prochain
widget possible défini.
Les entrées de widget sont des articles dans l'arbre de widget, par
ordre de plus spécifique à moins spécifique, qu'elles
apparaissent dans l'arbre de widget, évident avec des editres
. N'importe quelle entrée de simple widget peut également être
remplacée par un ? (point d'interrogation) pour sauter
une définition simple de widget, et assortir tout article possible de
widget.
L'article de ressource doit être spécifié, et ne peut pas
être remplacé par le caractère ? . C'est l'article plus
spécifique dans la
hiérarchie, et contient habituellement des articles comme la
couleur réelle pour définir, police réelle à définir, et ainsi de
suite. En fait, tout autrement avant que la ressource dans cette
définition puisse être omise et remplacée par un astérisque
simple, mais la ressource réelle à définir doit être présente.
Si vous mettiez juste un astérisque et le nom plus spécifique de
ressource, tel que le *background: blue, X essayera de
définir cette ressource globalement, pour tous ses clients, si
possible.
Après les deux points est l'entrée de valeur. Cette entrée
définit ce que la ressource sera placée pour, tel qu'un nom de police
ou une valeur de couleur. La valeur peut être indiquée (selon le
contexte) comme des données booléennes, numériques, ou des type de
données textes (chaînes de caractères). L'entrée de valeur,
également, ne peut pas être omise dans une définition valide de
ressource.
Dans le répértoire /var/X11R6/lib/app-defaults vous trouverez un grand nombre de fichiers, tous baptisés du nom d'un programme de la trousse à outils de X. Si vous examinez ces fichiers vous constaterez qu'ils contiennent un grand nombre d'options de configuration pour chacun, et je veux dire un grand nombre! Vous ne voudriez pas toutes les options de tous les fichiers dans votre fichier Xdefaults, ce serait assomant et tout à fait ennuyeux à traiter. Ce sont les défaults, et il est de ces derniers que vous pouvez décider ce que vous voudriez voir changé pour votre configuration particulière.
Ce qui suit sont quelques échantillons provenant de mon fichier
.Xdefaults. Noter quelques choses que nous n'avons pas encore
mentionnées au sujet des dossiers de définition de ressource. Si une
ligne commence par! (point d'exclamation), on le considère un
commentaire, et le reste de la ligne est ignoré. Si la ligne commence
par le nom de fichier de #include filename, cette ligne
est une directive d'inclusion, et à ce point dans les ressources un
autre dossier sera fusionné, quand il est chargé. Ceci peut
préserver vos dossiers de ressource d'enflé aussi. Et voici quelques
exemples:
Un mot d'avertissement en ce qui concerne des ressources de X, pour les utilisateurs de KDE. Il y a un arrangement dans le panneau de contrôle qui provoquera, la réécriture de toutes vos ressources X, dans vos applications. Ceci peut être un dispositif vraiment agréable, mais ce peut également être un ennui si vous avez soigneusement configuré vos ressources. Ouvrir le panneau de commande et trouver la section "Fonts etc.". Il y a une option au modèle de "Apply du style des application non-KDE APP". Si vous tournez ceci, tous vos programmes adopteront le look et l'ergonomie configuré par KDE (vous pouvez devoir remettre en marche X pour noter ceci). Si vous laissez cette option arrêtée, vos ressources demeureront comme vous les avez configurées.! Default resources for me@localhost xterms
! start with the generic, move to the specific...
*Dialog*Text*font: -b&h-lucida-medium-r-*-*-12-*-*-*-*-*-*-*
*dialog*value*background: white
*Dialog*Label*font: -adobe-helvetica-bold-r-*-*-12-*-*-*-*-*-*-*
*MenuButton*font: -adobe-helvetica-medium-r-*-*-12-*-*-*-*-*-*-*
*MenuButton*background: grey80
*MenuButton*foreground: black
*Label.font: -adobe-helvetica-medium-r-*-*-10-*-*-*-*-*-*-*
*Label*shadowWidth: 1
*SmeBSB.font: -adobe-helvetica-bold-r-*-*-12-*-*-*-*-*-*-*
*SimpleMenu*font: -adobe-helvetica-medium-r-*-*-10-*-*-*-*-*-*-*
*OptionMenu*font: -adobe-helvetica-medium-r-*-*-10-*-*-*-*-*-*-*
*Command.font: -linotype-helvetica-bold-r-narrow-*-12-*-*-*-*-*-*-*
*commandBox*font: -b&h-lucida-bold-r-*-*-12-*-*-*-*-*-*-*
*Toggle.font: -adobe-helvetica-bold-o-*-*-12-*-*-*-*-*-*-*
*Form.background: grey70
*TransientShell*Dialog.background: grey70
*Scrollbar.Foreground: grey80
*Scrollbar.Background: grey50
*Scrollbar*cursorName: top_left_arrow
*Scrollbar*width: 16
*shapeStyle: Rectangle
*XlwMenu.shadowThickness: 1
*shadowWidth: 1
! xterm stuff
xterm*scrollbar.background: grey40
xterm*foreground: grey90
xterm*background: grey25
xterm*cursorColor: white
xterm*visualbell: on
! rxvt stuff (a quicker, better xterm)
rxvt*color12: steelblue
rxvt*color15: white
rxvt*color9: rgb:ff/7f/5f
rxvt*foreground: grey90
rxvt*background: grey10
rxvt*cursorColor: white
rxvt*font: lucidasanstypewriter-12
rxvt*loginShell: false
rxvt*saveLines: 1024
rxvt*title: shell
rxvt*geometry: 80x25
! Make Xman just a little bit more sane
xman*topBox: false
xman*background: lightsteelblue
xman*foreground: black
! xcalc is too bland by default...
xcalc*Command.font: -adobe-helvetica-bold-r-*-*-10-*-*-*-*-*-*-*
xcalc*customization: -color
! Disallow the <blink> tag in Netscape
Netscape*blinkingEnabled: False
! Merge other resources (example)
# include $HOME/.otherXresources
Maintenant, toutes les fois que vous commencez un programme X, ce répertoire sera recherché par un fichier avec le même nom que le nom de ressource du programme, exactement comme répertoire de système étendu. C'est le nom de client que vous avez utilisé dans des fichiers Xdefaults.
Par exemple, un fichier appelé XTerm peut contenir la ligne
*background: gold, et tous vos xterms pourront, par défaut,
se manifester avec un arrière fond couleur or. C'est une alternative
agréable pour un simple fichier .Xdefaults, et le faire plus
clairement lorsque essayant de décider quels arrangements Ã
configurer plus tard, et pour trouver ceux pour un certain programme.
Il restent des utilisations pour les .Xdefaults, cependant.
Il est utile pour placer des ressources non liées à un
simple programme, comme les modifications que vous feriez pour
tourner tout le certain genre de bleu de bouton, sans se soucier de
l'application.
La manière la plus fondamentale pour employer ce dispositif est en mettant une commande dans votre fichier de démarrage de .xinitrc tel que xset dpms 2400 3600 4800. Le programme de xset peut configurer les dispositifs d'économie d'écran du serveur X, pour ne pas être confondu avec l'écran masquant que le kernel alloue quand vous êtes sur la console de texte. Avec l'option de dpms, X peut employer les dispositifs d'économie de puissance de votre moniteur aussi bien. La première option configure combien de secondes sont allouées avant que l'écran ne se masque, la deuxième option est combien seconde avant que le dispositif d'économie de puissance commence, et la troisième option est pour le mode de "OFF". La rotation en une option permet implicitement le dispositif, en plaçant le dispositif à zéro il ce neutralise explicitement.
Beaucoup de distributions de Linux arrivent avec le xlock pré
installé, ou comme option. C'est un joli économiseur basique et
assez agréable sauveur d'écran. Si vous l'exécutez avec l'option
-nolock, vous pouvez voir certains des modes qu'elle offre, et si
vous laissez cette option désactivé, elle vous demandera un mot de
passe quand vous déplacez la souris ou appuyez sur une touche, comme
dispositif de sécurité. Noter que ce n'est pas une vraie sécurité,
parce que à une console de Linux un utilisateur pourrait remettre en
marche l'ordinateur ou sortir hors de X avec une combinaison des
frappes. La dernière méthode peut être handicapée, cependant, et si
vous employez le xdm, elle offrira autant sécurité que votre
ouverture, ainsi il se peut que seulement le fait de rebooter laisse
quelqu'un dedans.
Un plus récent et meilleur programme est xscreensaver par Jamie Zawinski. Ce programme offre une grande finesses et précision, exemple, il peut exécuter ses processus à un niveau de propriété plus agréable, diminuant la charge au système pendant qu'il fonctionne, il détecte automatiquement quand l'écran a été mis hors tension par le xset et ne fait pas perdre de temps au processeur. En outre, toutes les routines graphiques qu'il appelle sont des demos modulaires, et vous pouvez ajouter des routines sans mettre à jour le paquet entier, et il peut également appeler d'autres programmes, tels que xearth ou xdaliclock, comme modules.
La dernière version du xscreensaver peut être trouvée à http://www.jwz.org/xscreensaver/. une fois que vous l'obtiendrez, installez le et préparez le pour y aller, voici quelques ajouts sympas que vous pourriez souhaiter ajouter à votre dossier de Xdefaults:
xscreensaver est aussi agréable à avoir sous la main car il est utilisé par le bureau de Gnome desktop comme sauveur d'ecran par défaut, et il s'intègre au panneau de contrôle de Gnome.!!! quelques exemples de XScreenSaver par defauts ! Time out apres 3 minutes, apres mode cycle chaque 2 xscreensaver.timeout: 3 xscreensaver.cycle: 2 ! Executer en tres basse priorite, et eteint entre modes xscreensaver.nice: 12 xscreensaver.fadeSeconds: 2
A noter que ce langage parenthése pour personnaliser son Xemacs, fonctionne pour toutes ses fonctions (définir un autre dictionnaire, changer la couleur des caractères et à peu prés tout ce qu'il peu faire... Y a t'il des choses qu'il ne sais pas faire?)(global-font-lock-mode t) (setq font-lock-maximum-decoration t)
D'abord, quelques indicateurs sur la compilation des programmes X. De nombreuses nouvelles applications, les applications de GNU en particulier, viennent avec un scripte dans le répertoire racine appelé configure. Ceci suppose naturellement que vous avez extrait le fichier et êtes dans le répertoire. Ce programme devra être exécuté comme ./configure, et détectera automatiquement beaucoup de choses au sujet de votre système. Ensuite, en exécutant simplement make et peut-être en devenant root et exécutant make install vous obtiendrez la mise à jours du programme sur votre système.
Vous pouvez devoir faire peu un bricolage si vous n'avez pas un script configure disponible. Beaucoup de programmes de X exigent de vous d'exécuter un programme pour faire le Makefile, appelé le xmkmf. Si vous ne voyez pas un Makefile dans votre répertoire, ceci fonctionnera parfois, et générera une configuration appropriée pour vous, et vous serez prêt pour make à partir de là.
Parfois vous aurez exécutez le script de configure, et avez
été avertis que vous manquez d'une bibliothèque qui serait utile ou
nécessaire pour employer correctement cette application. Par
exemple, j'ai récemment installé l'application de xscreensaver,
et ai constaté qu'elle soutiendrait plusieurs modes 3d si la
bibliothèque Mesa était installée. Si vous exécutez dans cette
situation et voulez cette bibliothèque installée, la première chose que
vous devriez faire est d'examiner le CD ou de mettre en fonction de
moyens pour voir dans votre distribution Linux si vous avez la
bibliothèque dessus. Cela peut vous éviter un bon nombre d'ennuis en
essayant de compiler la bibliothèque.
Une fois que vous obtenez une bibliothèque compilée et installé et prête pour l'emploi, vous pouvez retourner au répertoire à partir d'ou été installé votre programme X, enlevez le fichier config.cache , et exécutez le script de configure encore. Si tout va bien il trouvera la bibliothèque que vous avez installée. Parfois non , et vous devez bricoler pour faire en sorte qu'il fonctionne. Ceci se produit de temps en temps avec des bibliothèques que vous téléchargé hors du net, celles-ci ne soutiennent pas en juste proportion la norme de système de fichiers de Linux ( la plupart fonctionne, cependant).
Tout d'abord, vous devriez essayer et suivre quelques règles simples quand vous compilez des programmes pour X (ou pour toute raison, vraiment). Essayer de ne pas devenir root plus que nécessaire. Configurer vos programmes en tant qu'utilisateur normal avec le ./configure & & faire (ou simplement make s' il y a aucun script de configuration), et puis publier la commande simple de l'installer comme root par saisie su - c "make install", et alors taper dedans le mot de passe de root au prompt. Cette méthode vous ne devrai pas être entrée comme root, vous pouvez juste publier une simple commande , et vous êtes de nouveau sous votre normal d'utilisateur au prompt. C'est une manière futée et sûre d'installer le logiciel.
La prochaine chose à penser est l'exécution du logiciel X comme root. Se rendre compte que X est plus ou moins en soi peu sûr, et si votre souci primaire pour une boîte particulière Linux est la sécurité, vous ne voudrez vraiment ne pas installer X du tout! Après avoir dit cela, quelques gens veulent exécuter des programmes de fantaisie agréables de configuration ou les outils de gestion de package en X. Je ne recommande pas de commencer X comme root. C'est pas une bonne idée. Il y a beaucoup, des manières bien meilleures de faire ces choses!
Si vous voulez exécuter une application X comme root, l'ouverture
juste sous votre compte normal d'utilisateur, et le lancent de là.
Comme j'ai mentionné ci-dessus, vous ne voulez pas être entrés comme
root plus qu'absolument nécessaire. L'utilisateur root a la capacité
de tout faire au sujet de n'importe quoi sur le système, incluant
environ un million de manières de le détruire
complètement. Aller simplement à votre xterm ou à une telle
application et tapez dedans une commande telle que
su -c "glint -display :0.0" pour lancer la fenêtre sur
votre bureau. Maintenant vous avez un fonctionnement simple de fenêtre
comme root, et pas le dessus de bureau entier. Vous pourriez également
vouloir considérer d'utiliser le nom complet au programme que vous
exécutez comme root, pour la sécurité supplémentaire.
Tomasz Motylewski offre également le bout suivant pour des amoureux de ssh et d'ssh-agent. Si vous mettiez le suivant dans vos fichier /usr/X11R6/lib/xinit/Xclients file:
C'est-à-dire, remplacer votre commande standard de commande fvwm${FVWMVER} ${FVWMOPTIONS} par le précéder. Ce doit démarrer votre gestionnaire de fenêtre en tant qu'enfant d' ssh-agent. Alors vous devriez essayer ssh-add < /dev/null à partir d'une session xterm (si vous avait votre identité clé RSA key dans le fichier /.ssh/identity). Si sa travail pour vous alors vous devrez rechercher que vous êtes bien authentifié dans toutes vos fenêtre X.eval "exec ssh-agent fvwm${FVWMVER} ${FVWMOPTIONS}" > "$HOME"/.FVWM${FVWMVER}-errors 2>&
Il convient noter que c'est une suggestion du lecteur, et l'auteur
n'a aucune expérience avec le ssh présentement, ainsi procéder à vos
propres risques!
le ``... dans une session par défaut la configuration de X par
XFree86 doit commencé par le ``startx ' ' accepte des commandes à
partir de chacun se reliant à partir du localhost. Si vous démarrez X
comme utilisateur 1 et vous avez utilisateur 2 loggé à distance,
utilisateur 2 a plein accès à votre clavier et au dessus du bureau (une
fois que mon ami jouait une plaisanterie sur moi et mettait dans sa
commande cron vidant mon image de bureau de X et lui envoyant chaque
heure). Je ne l'ai pas noté
pendant 2 semaines! ' '
D'accord ce n'est pas exactement une bonne chose, mais
malheureusement beaucoup de lecteurs ont ce problème exact. Tomasz
continue pour préciser que si vous employez le xdm pour ouvrir
une session (comme détaillé plus tôt dans ce HOWTO), plutôt que le
startx courant, ce ne sera pas un problème parce que l'accès est
commandé par le programme de xauth. En publiant la commande de
xhost, vous pouvez voir qui est autorisé à l'accès à votre session
de X. N'importe
quel utilisateur des centres serveurs qui sont énumérés dans le
rendement de la commande de xhost est autorisé à plein accès
pour votre écran et clavier.
Si vous voulez commencer votre serveur de X dans un mode bloquée de la ligne de commande, vous devrez faire les modifications suivantes à votre configuration. D'abord, modifier le startx (probablement à /usr/X11R6/bin/startx) par changement de la dernière ligne xinit $clientargs -- $serverargs to lire exec xinit $clientargs -- $serverargs -auth ~/.Xauthority.
Alors aurai besoin aussi d'éditer votre .xinitrc ou votre système étendu /usr/X11R6/lib/xinit/xinitrc (peut importe lequel vous êtes actuellement entrain d'utiliser, probablement le premier dans votre répertoire home), par l'ajout de ça au début du fichier:
# si Xserver a ete lancer avec option "-auth ~/.Xauthority" celaToujours être sur et exécuter xhost pour contrôler la sécurité que vous avez configuré, pour être sûr que tout travaille correctement.
# empechera les autres utilisateurs sur votre machine de se connecter
# a votre X server à moins que vous le permettiez explicitement en
# utilisant xhost +host ou donner leurs votre fichier ~/.Xauthority.
xauth generate $DISPLAY . trusted