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Introduction
: une révolution copernicienne ?
[le texte complet est en ligne en html mais aussi dans une version pdf mise à jour en 2010]
Ce texte développe les points suivants :
- similitude entre la situation actuelle du savoir et la situation
du savoir avant la révolution copernicienne
- limites de la compréhension de l'univers apportée par
les seules équations
- présentation d'une hypothèse concernant la duplication
des chromosomes de nos cellules : ils n'agiraient pas en exécutant
pas à pas les instructions programmées d'un code génétique,
mais ils ne seraient fondamentalement que des bobines électriques
enlacées se repoussant par simple répulsion magnétique
(aimants enlacés dont les pôles de même nom se repoussent
et s'écartent pour donner naissance à deux cellules filles)
- l'ADN des cellules serait un matériau isolant supraconducteur
- pourquoi il faut seulement changer notre conception mathématique
de ce qu'est une "dimension" pour comprendre simplement le fonctionnement
d'une cellule et de ses chromosmes
1ère
partie - AVANT TOUT
[on peut trouver en ligne un résumé des développements
de cette première partie dans "feu la
gravité universelle"]
avertissement : cette 1ère partie fait l'objet d'une mise à jour dans l'essai "En attendant le Boson de Higgs". Sauf cette 1ère partie, et sauf le chapitre 1 de
la 2ème partie, le chapitre d'introduction et les autres développements de l'Adieu au Big-Bang ne sont pas périmés par ce nouvel essai.
1 - DU RIEN
Le vide ne serait pas "rien" : par nature l'espace serait fait d'ondes
stationnaires qui pulsent à toutes les échelles de l'univers.
Cette hypothèse sur l'existence d'ondes d'espace, accompagnée
d'une hypothèse sur la façon dont ces ondes parviennent à
pulser sans fin sans se désagréger, sont les deux seules
hypothèses qui apparaissent utiles pour expliquer le fonctionnement
de l'univers, puisque :
- tout ce qui existe et que nous appelons "univers" ne serait qu'une
complexité acquise et sans cesse croissante du fonctionnement de
ces ondes d'espace,
- cette complexité progressive de l'univers se construirait
et se consoliderait de la même façon que se sont construites
et consolidées les ondes d'espace.
À grande échelle, la première forme d'organisation
qui se crée dans l'espace serait les quasars ( = deux jets symétriques
sortant d'une source unique et s'allongeant chacun à la vitesse
de la lumière)
À petite échelle ce seraient les photons ( = torsions
locales des ondes d'espace).
2 - DU JET
Une galaxie spirale serait le résultat d'une contrainte contradictoire
subie par chacun des deux jets d'un quasar : contraint de toujours s'évacuer
à la vitesse de la lumière, et contraint en même temps
de ralentir son débit. Soumis à cette double contrainte chaque
jet du quasar se tord et se transforme en spirale. Ainsi le quasar se transforme
d'abord en "galaxie spirale barrée" quand seules les extrémités
des jets sont tordues, puis en galaxie spirale complète.
À petite échelle les photons se groupent eux aussi en
organisations spiralantes, qui sont ce que nous appelons les "neutrinos".
On peut même préciser dans quel sens tourne leur spirale :
vers la gauche.
3 - DE LA SPIRALE
Le mouvement en spirale qui existe donc maintenant à toutes les
échelles (depuis les neutrinos jusqu'à la galaxie spirale)
évolue cette fois en se transformant en circuit fermé.
À grande échelle les galaxies spirales se transforment
très lentement en galaxie "lenticulaire" puis "elliptique". Cela
va beaucoup plus vite à petite échelle où les neutrinos
se groupent à plusieurs en boucles fermées que l'on appelle
des particules de matière. Groupés par 7 (= 3 + 2 +2) ils
forment un neutron. Groupés par 8 (= 3 + 3 + 2) ils forment un proton.
Leurs sous-regroupements par 2 ou par 3 correspondent à ce que nous
nommons les quarks Down et les quarks Up.
La force de stabilité de ces groupements de neutrinos correspond
à la force dite "nucléaire", et leur fonctionnement engendre
des tourbillons dans les ondes d'espace, tourbillons qui font naître
un effet induit que nous appelons "l'effet de gravité".
Une particule de matière ne serait qu'un entortillement local
des ondes d'espace que les ondes d'espace ne parviennent plus à
défaire.
4 - DU CHAOS
L'effet de gravité amène les protons et les neutrons à
s'encastrer l'un dans l'autre, ce que nous appelons "la fusion nucléaire"
et qui génère l'hydrogène et l'hélium.
Plus les particules de matière fusionnent ensemble, plus elles
entortillent les ondes d'espace dont elles sont faites. Arrive un moment
où les ondes d'espace ne peuvent pas supporter le supplément
d'entortillement que cherche à leur imprimer l'auto-organisation
de la matière. Naît alors une pulsation alternée où
chaque particule de matière stable (proton) se renforce dans un
temps de la pulsation, puis se voit affaibli dans son temps complémentaire.
Cette pulsation alternée correspond à ce que nous connaissons
comme la force électrique, et son aspect alterné est à
l'origine des deux signes + et - de l'électricité.
5 - DE L'HÉLICE
La situation des ondes électriques qui pulsent sur place autour
de chaque atome, ne fait que reproduire à un nouveau niveau de complexité
la pulsation initiale des ondes d'espace stationnaires. On a ainsi bouclé
un tour d'hélice de la complexité, et tout est prêt
pour engendrer de la même façon un tour suivant, puis un autre,
etc.
L'électron serait une organisation similaire au proton, située
de façon privilégiée au centre de celui-ci. On propose
donc une conception de l'électron qui est tout à fait l'inverse
de la conception habituelle qui elle fait tourner l'électron sur
des orbites autour du proton. Notre conception est cependant en accord
avec les calculs de la théorie quantique qui veulent que l'électron
soit statistiquement le plus souvent présent au centre même
de l'atome.
L'antimatière ne serait pas l'inverse de la matière, mais
un sous-produit engendré par la matière lors de sa création.
Ce sous-produit se désagrégerait tout seul, il n'est donc
pas utile d'imaginer un grand crash initial d'annihilation matière-antimatière
ni de se demander pourquoi toute la matière n'a pas alors disparue.
On teste l'ensemble de nos hypothèses à l'occasion de
la mutation spontanée du proton en neutron.
Le naissance des étoiles serait similaire à celle des
galaxies : elle résulterait de l'allumage d'un mini-quasar dans
les endroits où la concentration de matière est trop importante.
On expose comment la notion de "dimension" peut se comprendre pour s'accorder
au mode d'évolution de l'univers tel qu'il a été exposé
précédemment.
La conception mathématique habituelle "aplatit" les dimensions
en les réduisant toutes à des axes de coordonnées.
Certaines dimensions des phénomènes naturels seraient par
nature "surfaciques" et d'autres par nature "volumique", et pour cette
raison ne pourraient se réduire à une seule coordonnée
sur un axe. En particulier, "la masse" d'un corps serait une donnée
par essence surfacique, impossible donc à mesurer par un seul nombre
mais seulement par un couple de nombres. Ce serait pour cette seule raison
que l'on doit courber l'espace autour des masses pour calculer l'effet
de gravité ainsi que l'a montré Einstein. Einstein en déduisait
que les masses courbent réellement l'espace/temps par leur présence,
alors que nous suggérons qu'il ne s'agit que d'une courbure conventionnelle
nécessaire pour le calcul, nécessaire parce qu'elle compense
l'aplatissement de notre conception linéaire des dimension, inappropriée
pour rendre compte de grandeurs surfaciques.
2ème
partie - TOUT S'ENCHAÎNE
avertissement : le chapitre 1 de cette 2ème partie (que l'univers soit) se trouve maintenant périmé du fait des développements de l'essai "En attendant le Boson de Higgs". Sauf ce chapitre 1,
les autres chapitres de cette 2ème partie ne sont pas concernés par cette mise à jour, pas plus que les développements du chapitre d'introduction.
1 - QUE L'UNIVERS SOIT
Dans ce chapitre on inventorie les propriétés du fonctionnement
du monde matériel qui résultent de la 1ère partie
: on étudie notamment les notions d'atomes, de molécules,
d'ions, de bases et acides, la façon dont l'électricité
qui tourne en rond devient du magnétisme.
On confronte nos hypothèses aux résultats des calculs
quantiques.
On montre que nos hypothèses permettent logiquement de retrouver
dans le fonctionnement de l'univers les propriétés décrites
par Einstein dans sa relativité restreinte et dans sa relativité
générale. On est seulement amené à inverser
ses propositions pour arriver au même résultat. Ainsi, la
vitesse de la lumière ne serait pas constante, et ce serait précisément
son "dérapage" au voisinage de la matière qui expliquerait
les effets étonnants de la relativité. Egalement, la formule
E = mc² devrait se lire dans le sens inverse de la théorie
habituelle, et signifierait E = c² en quantité m et non pas
E = m en quantité c². Ce qu'on appelle l'énergie aurait
donc à voir avec quelque chose qui va c fois plus vite que c (d'où
son résumé dans "c²"), et la masse m d'un corps n'existerait
pas et ne serait qu'un nombre indiquant combien d'effet c² est rassemblé
dans ce corps.
[ce dernier point est développé dans le texte en ligne
"tout est relatif . . . même la relativité"]
Puisqu'une particule ou un rayonnement n'est rien d'autre qu'un entortillement
local d'ondes d'espace, une particule a nécessairement des
propriétés simultanément ondulatoires et corpusculaires.
On explique pourquoi cela donne nécessairement naissance à
l'allongement progressif dans le temps de la longueur d'onde de la lumière,
et de ce fait à une illusion d'optique dans l'espace-temps, celle
de l'expansion de l'univers.
[ce dernier point est développé dans le texte en ligne
"l'expansion de l'univers : la grande illusion"]
2 - QUE LA VIE SOIT
Les mouvements de la vie ne seraient pas différents des mouvements
de la matière inerte, et la vie ne serait qu'une forme de recyclage
incessant en "boucle vivante" de forces électromagnétiques
ordinaires. Notamment, la duplication des cellules pourrait se comprendre
par un simple effet de répulsion des 2 hélices de l'ADN des
chromosomes, chacune se comportant comme un aimant qui s'écarte
de l'autre.
On expose dans cette optique l'ensemble d'une division cellulaire type.
On propose un schéma de l'apparition et de l'évolution
de la vie, commençant par la prolifération d'hélices
de chromosomes, et se poursuivant par l'organisation d'une cellule autour
de chaque paquet de chromosomes.
On explique pourquoi le code génétique se décompose
en séquences de 3 bases, et comment l'expérience d'un organisme
vivant peut se transmettre à sa descendance par l'intermédiaire
de ses gènes.
[des éléments de ce chapitre sont en ligne dans l'introduction - ou sa version pdf -
et on en trouve un résumé dans "tout
est dans les gènes . . . sauf l'essentiel !" - ou sa version pdf mise à jour en 2010 -.
On peut aussi accéder en ligne au texte intégral de ce chapitre - ou à sa version pdf mise à jour en 2010 -]
3 - QUE L'HUMAIN SOIT
On suppose que les animaux sont conscients et qu'ils pensent tout autant
que les humains, mais la pensée des animaux ne saurait traiter facilement
de ce qui est "similaire", c'est-à-dire à fois identique
par un aspect et différent par un autre.
On propose une cause à l'évolution du cerveau des humains,
de telle sorte qu'il leur permette de traiter commodément des similitudes :
La station debout permet de lancer des armes à distance (par
exemple des pierres), ce qui permet de tuer à distance, et donc
sans risquer systématiquement sa propre vie. À l'intérieur
d'une même espèce les animaux ne peuvent affronter leurs semblables
qu'au corps à corps en prenant chaque fois un risque vital, et le
peu de différence dans leurs capacités physiques amène
chacun à considérer ses semblables comme des égaux
potentiels, des "fondamentalement pareils" donc, alors que les membres
des autres espèces animales sont ressenties comme des "complètement
différents". Les humains peuvent eux commodément tuer leurs
semblables. Pour cette raison, ils sont tentés de voir une différence
essentielle entre certains "semblables" qu'ils décréteront
"différents" afin de pouvoir librement les tuer ou traiter en esclaves,
et d'autres semblables qu'ils décréteront cette fois par
essence "égaux" à eux-mêmes.
Le développement de la capacité intellectuelle des humains
à discerner des différences subtiles, là où
la pensée animale se contente de considérer du "pareil",
proviendrait donc de l'impérieux besoin pour les humains de distinguer
parmi tous les humains, pourtant semblables au premier abord, les nuances
qui feront que certains seront bon à tuer tandis qu'il sera un crime
de tuer les autres. Le point décisif pour le développement
de la pensée, est que cette exigence développe la capacité
à supporter intellectuellement qu'une personne (ou une chose) soit
identique à une autre par un aspect, et en même temps différente
de cette autre par un autre aspect. La pensée animale se suffit
de séparer d'un côté ce qui est tout à fait
pareil, et de l'autre ce qui est complètement différent.
Le cerveau ne fonctionnant pas de la même façon pour traiter
ce qui est "pareil" et ce qui est "différent", il aurait donc dû
subir une évolution majeure dans sa complexité de fonctionnement,
pour être maintenant capable de traiter aisément de ce qui
est en même temps pareil et différent.
Par ailleurs, la limite de la force physique des animaux induit une
régulation "naturelle" des rapports à l'intérieur
d'une même espèce, tandis que le pouvoir sans limite que l'arme
qui tue à distance donne aux humains, les oblige à réguler
leur société par une loi ou une morale volontaire "artificielle".
Pour cette raison, les sociétés animales feraient intervenir
"trois dimensions" distinctes dans leur fonctionnement (celle de l'intérêt
particulier, celle de la cohésion avec les semblables, et celle
de la filiation des générations qui se renouvellent), alors
que les sociétés humaines feraient intervenir une
quatrième dimension, celle de la régulation par une
loi volontairement décidée.
L'existence d'une quatrième dimension rendrait le fonctionnement
des sociétés humaines inaccessible à la seule pensée
logique, car la pensée logique permet seulement la confrontation
simultanée de trois dimensions. Il en serait résulté
la naissance du langage, de la religion et de l'art, qui sont autant de
moyens de traiter la réalité en quatre dimensions simultanées.
[On peut accéder en ligne au texte intégral de ce chapitre dans une version pdf mise à jour en 2010]
4 - QUE LE NOMBRE SOIT
[le texte complet est en ligne, et constitue la section "mathématique" du site, également disponible en version pdf mise à jour en 2010]
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