La ruée vers... le sang !

Réalisateur : Chris Neil
Acteurs : Ron Bremner, Cecilia Hoskins, Erik Jezek, Elizabeth Berger

La ruée vers... le sang ! Californie, 1848. Un gisement d’or est découvert à Sutter's Mill. En un clin d’œil, cette petite bourgade voit sa population multiplié par 10. Les gens du monde entier espéraient y faire fortune…
C’est ainsi qu’un riche homme d’affaire anglais emménagea en Californie avec Jane (l'ainée) (Elisabeth Berger) & Betty (Cecilia Hoskins), ses 2 filles. Cet homme aigri, depuis la mort de sa femme, s’occupait à peine de l'ainée et choyait la dernière. En quelque mois, cet homme avare devient l’homme le plus riche de la région, détient la moitié de la ville, est à la fois maire & juge…
Durant ces mêmes mois, cette partie de la Californie perdit sa domination mexicaine…
Mais le général Pédro (Erik Jezek), de l’armée mexicaine, ne l’entendit pas de cette oreille… Avec ses hommes, il pillait les fermes isolées, tués sans vergogne hommes, femmes, enfants… La région de Sutter's Mill devint vite un cimetière à ciel ouvert, avec ces cadavres pendus aux poteaux télégraphiques, par les mexicains !!
Dans la population, les moins téméraires prirent la fuite. Vaut mieux être pauvre et vivant, que riche et mort… Les gens de bonne foi demandèrent très vite au près de l’oncle Jack, c’est comme ça que cet anglais se faisait appelé. Car il cachait la noirceur de son cœur par de beaux sourires et des discours éloquents pour amadouer ces concitoyens.
Dans un premier temps, il fit rien, tant que ça ne le touche pas directement… Mais des incursions mexicaines de plus en plus fréquentes se réalisaient sur ces terres. Et il paya de lourds tribus en perte de bétails. Il lança ses hommes de mains à la poursuite des mexicains. Quelques jours plus tard, ces sbires ornaient aux aussi les poteaux télégraphiques…
Le général Pédro n’ayant pas apprécié cette manœuvre, enleva Jane, ce qui ne manqua pas de produire une fusillade, avec des pertes des 2 cotés, dont la p'tite Betty !! Billy (Ron Bremner), un jeune éphèbe d’une vingtaine d’année, demanda à l’oncle Jack de porter secours à la demoiselle. Billy, également homme de main de Jack, ainsi que son protégé (il l’a toujours considéré comme son fils), finit par avoir l’accord de ce dernier. Billy & Jane étaient secrètement amoureux depuis leur première rencontre… C’est ainsi que Billy et plusieurs de ces camarades partent dans l’Ouest sauvage, à la recherche des mexicains…
Après plusieurs jours à suivre les traces macabre du général Pédro, Billy et ses hommes atteignirent le campement du bandit. Attendant la nuit, chaque sentinelles furent égorger d’un geste bref et silencieux. Billy finit par trouver la tente de Jane, qui était dans un état pitoyable, en effet, il entendit quelques paroles d’ivrognes mexicains selon lesquels Jane servit de jouet sexuel à la troupe, depuis son enlèvement.
Les hommes de Billy, n’étant pas tous discrets, l’alerte fut donné, et les fusils commencèrent leur chorale… Le générale Pedro sort da sa tante, abat 2 hommes, et se dirige vers celle de Jane. Il surprend Billy entrain de la détacher. Le barilier du général étant vide, il assène un violent coup sur le crane du jeune homme, qui s’écroule à terre. Billy & Pedro continue de se battre à même le sol !! Jane à moitié libérée, finit par se défaire du reste de ses liens, tandis que l’homme de sa vie se bat avec ce bandit…
Pedro qui à pris le dessus, et qui est dessus, serre fermement ses mains autour du cou dénudé de Billy. Puis d’un coup, arrête son étreinte, et embrasse langoureusement Billy. Ce dernier, estomaqué, se laisse faire, et prend même du plaisir à cette tendresse soudaine… Entre ces 2 hommes, de leur violence passée, ne reste que la violence de leur ébat !! Jane, à la vue de cette représentation cauchemardesque, prend la fuite dans l’aube naissant, tout en enjambant les nombreux cadavres du campement…
Les quelques mexicains survivant de cette nuit ensanglantée entrèrent dans la tante, et tous, poussèrent un énorme éclat de rire. Le général Pedro leur présenta son nouveau compagnon. Billy, ayant eu enfin la révélation de sa vie, fait table rase de son passé. Billy, Pédro, et les quelques mexicains restants sillonnent la Californie, afin de continuer à piller et à tuer.
L’oncle Jack, qui était tombé en dépression, croyant avoir perdu sa fille qu’il délaissait, finit par avoir des nouvelles deux semaines plus tard. Un de ces nombreux chercheurs d’or, n’ayant pas encore quitté la région, l’avait trouvé, soigné, et ramené chez son père…
Jane expliqua les évènements à son père, mais à sa propre sauce. Notamment qu’elle fût violé pendant des jours (ce qui est vrai !), et que Billy mourut sous la torture (ce qui est faux !).
Jack, dans une démence inimaginable, claqua tout son fric afin d’acheter des mercenaires et autres personnes susceptible de punir ces assassins…
C’est ainsi qu’une véritable armée se forma, afin de pourchasser les cavaliers de la terreur (surnom donné par les fermiers)…

Sortie le 07 avril 2012

Ras-le-bol du matchisme des Westers...


Maggie

Réalisatrice : Virginia Kruger
Acteurs : Ron Bremner, Annie Van Handenhove

Maggie Maggie est une femme mariée de 53 ans. C’est une personne gentille, généreuse, intentionnée avec les autres… Mais elle reste avant tout modeste avec elle-même. Sa vie personnelle n’est pas aussi rose que ça ! Depuis quelque temps, Maggie fréquente un psychologue, suite à une légère dépression… En sortant du cabinet de son psy « Roberts Associés », Maggie est tout autre ! D’un air déterminé, elle parcourt la ville à la rencontre de toutes ses connaissances.
C’est ainsi qu’elle va voir sa soi-disant meilleure amie, Mylène. Mylène est une femme comblée vivant dans un grand appartement du centre ville. Ayant réussi professionnellement, elle aime bien exposer ces atouts financiers. Et ça ! Maggie en à ras-le-bol ! Devant une tasse de café, Maggie balance son venin. Maggie ne supporte plus que Mylène lui montre les nombreux bijoux que ces différents amants lui offre, elle lui fait savoir que son lifting n’est pas une réussite, qu’elle peut coucher avec différents mecs, mais elle doit se sentir bien seule… Mylène sous le choc de ces révélations, reste bouche bée…
Sur sa lancé, Maggie fait un saut à son boulot, même si aujourd’hui elle est en pause. C'est ainsi qu'elle se présente dans un supermarché du centre-ville ; et s'enferme dans le bureau du chef de rayon, avec ce dernier... L'homme, la quarantaine grisonnante, ne comprend pas le comportement de cet employée modèle. Son patron se voit passer une soufflante sur ces conditions de travail… Et que même si elle a toujours le sourire, elle en à marre d’être prit pour un chien…
Allez hop !! Maggie fait le tour de ses connaissances, une par une, chaque personne se voit infliger de lourdes remontrances. Maggie en à marre de se faire marcher sur les pieds, et elle ne se laissera plus faire. Mais sa franchise risque d’être lourdes de conséquence, en plus de perdre tous ses amis, elle pourrait y perdre la vie. Car quelqu’un ne pourrait pas forcément apprécier les dires de la dame…

Sortie le 21 avril 2012

Une idée comme ça...


Cannon Fodder

Réalisatrice : Isabel Caine
Acteurs : Alan Tager, Cristina Hemmings

Cannon Fodder De nombreux animaux de toutes sortes s’enfuient du centre de la forêt amazonienne. Le calme dérangeant de cette sombre jungle est brutalement interrompu par divers explosions et armes à feu…
Quatre soldats à l’air benêt, dans leurs treillis verts, courent à vivent allure en direction de leur embarcation, sur L’Amazone. Durant leur fuites, ces quatre soldats mitraillent à tout va les ennemis et indigènes à porté de canon. Car malgré leur apparente gentillesse, ces militaires teigneux sont de parfaites machines à tuer…
Les braves hommes, sains et saufs, remontent l’Amazone pour atteindre leur QG. Il s’agit du colonel black Blake, de l’adjudant Steeve, et des sergents Ludwig & Alex. La mission qu’ils viennent d’effectuer avec succès, avait pour but de détruire des entrepôts de cache d’armes, et d’exterminer tous les mercenaires…
Arrivé au centre de commandement Boot Hill, une nouvelle mission leur ai aussitôt affecté. Les quatre hommes doivent secourir un ingénieur allemand, enfermé quelque part en Antractique, par des terroristes américains…
Débarqué au Pôle Sud, les quatre hommes ne font pas dans le demi-mesure. Ils détruisent tout sur leur passage, les bâtiments explosent, les autochtones et les terroriste gisent (ou agonisent) par centaine sur le sol gelé. Un sol glacé qui finit par devenir rougeoyant…
Arrivé au complexe sous-terrain, les soldats font sauter la porte blindée et s’engouffre dans l’infrastructure. Mais seul 3 militaires ont pus rentrés, le sergent Alex a été abattu par un sniper juste avant de franchir l’entrée. Aussitôt, le colonel Blake appel Boot Hill, afin d’avoir un nouvel homme pour accomplir la mission. C’est ainsi, qu’un jeune troufion sans expérience est expédié au cœur de l’action…
De nouveaux quatre, le combat peut reprendre pour sauver l’otage allemand…

Sortie le 12 mai 2012

Un très bon jeu qui éxistait sur Atari...


L'écologie

Réalisatrice : Cristina Glass
Acteurs : Joshua Kwiat, Laura Whittall

L'écologie Colas est un jeune homme d’une vingtaine d’année, habitant Paris. Si il vit dans cette ville, c’est pas par plaisir, mais uniquement pour poursuivre ces études en droit fiscal. En effet, il déteste cette ville, ces gens stressés, la mentalité, le bruit, la pollution, … Oh oui, la pollution !!
Colas est un écolo dans l’âme ! Refuse de passer son permis, et préfère utiliser son vélo par temps de pluie, que d’utiliser les transports en commun. Utilise le strict minimum en eau et électricité. Ne mange que des produits bio, ou venant directement du producteur. S’habille de façon ringarde…
Sa DVDthèque compte un nombre incalculables d’interventions d’Al Gore et autres personnages sur le réchauffement climatique. Il a créer un site internet sur l’écologie. Il participe à divers forums et blogs à travers le net, toujours sur le même sujet…
Enfin bref, Colas est un jeune écolo pur et dur !!
Ce qui lui vaut des railleries de ces camarades, ou du corps enseignant. Mais heureusement pour lui, il n’est pas le seul à penser ainsi dans son école. P’t’être pas de façon aussi extrême, mais certains étudiants ont rejoint sa cause. Une association sur l’écologie à même vu le jour au sein de leur établissement, par ce petit groupe d’illuminés (terme employé par les autres ne partageant pas leurs opinions).
C’est comme ça qu’il rencontre Jeanne, avec ces idées anarchistes, et plus peace & love qu’écologique. Mais malgré tout, une idylle naît entre eux. Une idylle qui n’aura pas eu le déçu sur l’amertume de Colas…
Mais les différentes actions menés, pour faire prendre conscience à la population que la Terre se meurs sous nos pas, n’ont jamais aboutis. Que ce soit des pétitions, des pseudos conférences, des appels à la manifestations, … Rien de tout cela n’à été, jusqu’à présent, concluant !!
Profitant d’un stage en entreprise à la tour de la Défense, il essaye de réveiller les consciences de ces collègues. Toujours le même constat ! les gens qui l’entourent s’en foute royalement…
Quelques jours après le début de son stage, il décide d’aller au boulot plus tôt et d’arriver avant ces collègues. Aujourd’hui, c’est décidé ! Il va faire un coup d’éclat, afin d’alerter le monde des dangers que la planète encoure…
Colas monte les étages de la Défense, afin d’arriver au dernier étage de l’architecture. S’enferme dans une pièce, et verrouille toutes les issues. A l’aide de chaises sur place, casse les fenêtres. Fouillant dans le sac à dos qu’il avait prit, en sort un immense drap avec des inscriptions pour la sauvegarde de la planète. Il jette le drap par la Défense, pour que ce dernier se déplie et reste accroché à l’immeuble. Comme ça tout le monde peut lire…
De plus, Colas veut commencer à éradiquer l’élément pollueur de la planète. C’est ainsi qu’il sort également un fusil à longue portée (qu’il réussit à remonter grâce à des cours sur internet), afin de se poster au dessus de son drap. L’œil rivé à la lunette de son fusil, il commence à pointer son arme sur les personnes déambulant au sol. Il va enfin pouvoir commencer à exterminer ces microbes qui gangrènent la planète…

Sortie le 19 mai 2012

Une idée comme ça...


Les femmes en blanc : La patate enfileuse

Réalisateur : Sebastian Lynch
Actreurs : Jean Dupont, Demetra Hardy

Les femmes en blanc : La patate enfileuse C’est l’histoire d’un mec, un mec banal d’une trentaine d’années. Un mec marié depuis 5 ou 6 ans, d’un amour que lui et sa compagne tente de renouveler chaque jour…
Mais ce soir-là, accompagné de sa femme, il est admis aux urgences. A son arrivée, avec effroi, tous deux constatent que la salle d’attente est pleine a craquer. Outre les fractures et malaises diverses, un certain nombres de personnes étaient là dû a une grave intoxication alimentaire (ils avaient consommés divers produits périmés, encore vendus à Carrefour). Après plusieurs heures à souffrir en silence dans son coin, il est enfin pris en charge par un interne…
Après quelques questions, un bloc opératoire est préparé pour accueillir ce patient qui souffre d’un étrange mal. Sa femme attend dans le couloir d’à coté, fais les 100 pas, et tente de ne pas s’écrouler en se dopant au café. Lorsque le chirurgien sort du bloc pour lui dire que l’opération s’est bien déroulé. Le patient, dans les vaps, est emmené dans une chambre fraîchement préparé. Le chirurgien rajoute que son mari pourra sortir de l’hôpital dans l’après-midi…
Sa femme rentre rassurée chez elle, quand au mari il dors tranquille… Plus tard à son réveil, une infirmière qui passait devant sa chambre, lui esquisse un léger sourire moqueur. Lorsque le déjeuner lui est apporté par cette même infirmière, il lui demande à quoi est dû cet air narquois. Cette dernière lui explique que tout l’hôpital à été mis au courant de sa mésaventure. L’homme s’étonne que le secret médical est aussi bien gardé qu’un secret de polichinelle…
Enfin bref, il réfléchit un peu, et explique à l’infirmière l’origine de cet incident qui l’à emmené ici…
-Flash-back-
La veille, il était entrain de faire du bricolage dans sa cuisine. En effet, sa cuisine est dans un état pitoyable, le papier peint qui se décolle, des taches de graisses au plafond, la chaudière qui déconne, les placards branlants, … Donc, il essaye d’améliorer tout ça !! Mais, pour être plus à l’aise dans ces mouvement, et que ces fringues n’entravent pas ces gestes, il s’est totalement dévêtu, et forcément il bosse nu. Le bricolage n’étant pas son dada, alors qu’il était perché sur un meuble, il perd l’équilibre, et se pète la gueule au sol. Heureusement pour lui, il ne tombe pas la tête la première, mais le cul en premier. Oups, lorsque l’impact a lieu sur le sol, le voilà qui se fait enfiler par une pomme de terre qui s’était égaré sur le carrelage…
-Fin-

Une fois l’histoire conté, l’infirmière tente de garder son calme, et sors de la chambre la plus sobre possible. Mais arrivé à la salle de pause des infirmière, où d’autres se snifent au café, elle se met à pouffer de rire…
Entre deux éclats de rires, l’infirmière dit à ces collègues, que celui de la chambre 424 à de curieux sex-toys…

Sortie le 26 mai 2012

Épisode inédit d'après la série (BDs) Les femmes en blancs. D'après un fait réel...


Généalogie de dingues

Réalisatrice : Rebecca Hoskins
Acteurs : Charles Staite, Annette Myranda

Généalogie de dingues Prologue :
Mathias, 23 ans, n’a qu’une passion dans la vie : La généalogie !
Ce fils de notables, qui était féru des anecdotes de son grand père paternel, concernant les aïeux de sa famille, à décidé d’étudier les racines de son nom, et d’en établir la généalogie. Cela va bientôt faire 10 ans qu’il tente de tracée sa lignée.
Et aujourd’hui, suite à de nombreuses recherches documentaires en bibliothèques et sur internet, il peut rajouter 3 noms. Il pense à ce qu’à bien été leurs vies, d’après ce qu’il sait, en les rajoutant à son arbre généalogique…
Acte 1 : Philibert de Montesquieu
Gentilhomme très catholique du 16è siècle et proche de la couronne, ce personnage à l’air sympathique et courtois, cachait en réalité le visage d’un monstre. Car monsieur était collectionneur, et pas de n’importe quel objet !
En effet, il s’était mis en tête que l’homme n’était pas digne de Dieu, et que son devoir était d’en limiter sa descendance. Par conséquent il castrait (et tuait !) le plus de garçons, et gardait ses trophées à son domicile. Le 24 Août 1572, jour du massacre de la St-Bathelemy à Paris, sa collection accrue de façon gargantuesque. Plusieurs témoins prétendent l’avoir vu émasculer des cadavres le long des quais de la Seine.
Lorsque les troubles religieux s’amoindrissent, une enquête fût diligenté contre ce barbare. Quand les gardes royaux arrivèrent à son domicile, il avait disparu. Par contre des centaines de testicules jonchaient la demeure du sol au plafond, sous les yeux horrifiée des gardes…
C’est à cet époque que fût employé pour la 1ère fois le terme « maison des horreurs ». On conta d’autres cadavres émasculés dans diverses contrées françaises…
Acte 2 : Louis Roge
Louis était un homme d’une carrure assez imposante et impressionnante. Pour cela qu’il fût embaucher au château d’Amboise. Mais par pour n’importe quel métier, celui de bourreau !!
Au début, il à dû mal, avec toutes ces décapitations à la chaîne sur le billot. Mais Louis prend vite le plis, et prend même goût au sang. Ce qui peut être reboutant pour certains, est une joie pour lui. Il à carrément du plaisir à séparer d’un coup net la tête d’un corps tremblant.
Sa soif de sang ne cesse d’accroître, et ironie du sort, les prisonniers, et donc les décapitations, se font plutôt rare…
La nuit du 3 mai 1743, d’en un excès de démence, louis prend sa lourde hache, et sème la terreur au château, les têtes roulent de toutes parts. Tout le monde y passe, prisonniers, domestiques, invités, nobles, animaux…
A cours de personnes vivantes, Louis posa son chef dur le billot ensanglanté, et se décapita lui-même !!
A la lueur des feux de la ville d’Amboise, le sang qui coulait du château dans la Loire, le fleuve prit la couleur pourpre de ce massacre…
Acte 3 : Catherine Boyard
Catherine était infirmière durant la 1ère guerre mondiale. Elle était volontaire pour soigner le bon soldat français, dans les tranchées nauséabondes de la Somme.
Sous les tirs d’obus ennemis, elle tentait aussi bien que possible de faire son boulot. Mais Catherine ramassait plus souvent des cadavre que des personnes vivantes. De temps en temps, une amputation égayait sa journée…
Malgré le peu de personnes à soigner, elle était souvent couverte de sang, ce qui ne manqua pas d’attiser la curiosité du capitaine de régiment. Mais il avait d’autres chats à fouetter que de s’attarder sur une vulgaire infirmière. Pourtant, lorsque l’un de ces hommes, détenant certaines informations stratégiques, est emmené à la tente de l’infirmerie, il s’y rend aussi pour extirper les informations au malheureux.
En franchissant le pas de la tente, avec effroi et écœurement, il découvrit l’infirmière entrain d’extirper les entrailles du malheureux, et de se repaître avec ces viscères.
Le capitaine sortit son arme pour l’abattre, mais Catherine réussie à s’enfuir, blessée à la jambe. Quelques soldats aperçurent sa silhouette disparaître dans les brumes matinales en direction des tranchées allemandes…
Epilogue :
Mathias, avec nostalgie de ces temps passés, ouvre un placard où est accroché son immense arbre généalogique avec des centaines de noms. En bas ce cet arbre, sur les emplacement correspondant à sa famille, trônent les têtes de ces parents et de ces frères et sœurs…

Sortie le 09 juin 2012

Une idée comme ça...


Chroniques funebres : Le dernier jour du masque de fer

Réalisateur : Barry Lassek
Acteurs : Weston Byrne, Francesca Vrana

Chroniques funebres : Le dernier jour du masque de fer Vers 23h, une ombre furtive apparaît aux infortunés croisant sa route. Plusieurs touristes sont retrouvés mort avec le visage tuméfié, les yeux sortant de leur orbite, des brulures, … Ce massacre à lieu le 19 novembre 2003, Place de la Bastille à Paris. A la bibliothèque de Paris, d’anciens livres font références aux mêmes évènements le 19 novembre des années 1803 et 1903, toujours Place de la Bastille. Les écrits y parlent d’un fantôme vengeur…
Voici son histoire :
300 ans auparavant, l’aube se lève dans des hurlements provenant de la prison de la Bastille. Cette prison fortifié, construite au 14ème siècle, est devenu au fil du temps une prison politique, où les pires atrocités se commettait chaque jour…
C’est dans ce lieu sordide, qu’un individu est torturé depuis 34 ans. Personne ne connais son nom, sa provenance, et pour quel motif il est incarcéré ici. Mais chaque jour qu’il respire, les pires souffrances lui sont infligées…
Son visage avait tellement été défiguré par d’innommables sévices, qu’un masque de velours renouvelait constamment sa tête afin que les autres prisonniers et les gardes ne puissent voir l’ampleur des dégâts. Ces rares séjours à l’extérieur, comme ces transferts de prison à prison, il était affublé d’un masque de fer qui était impossible à retirer sans les outils adéquats…
C’est dans ces conditions, qu’au petit matin, le malheureux est réveillé et retiré de ces entraves, afin d’être emmené dans une petite pièce à l’étage supérieur. Le prisonnier connaît bien cette salle, depuis tant d’année qu’il y souffre…
Les gardes qui l’avaient accompagné sortes de cette pièce et le laisse en tête à tête avec le bourreau. Ce dernier était un expert en la matière, faire souffrir ces victimes sans les tuer, il connaissait tout de l’anatomie humaine, et s’essayait à de nouvelles pratiques venues de l’étranger…
Le bourreau commença la séance par quelques coups de massues cloutés dans sur les avants bras, le malheureux poussa des gloussements à peine inaudible, vu que ça langue avait été arraché depuis fort longtemps. Ensuite, le bourreau enleva le capuchon de velours, et perça les innombrables verrues parcourant le visage apparues durant la nuit. Mais même expert qu’il soit, ça ne l’empêche pas de faire des erreurs, et d’un geste maladroit, lui perce l’œil. Retirant l’aiguille de l’orbite, le globe oculaire resta accroché à l’embout métallique…
Ainsi, pendant plusieurs heures, cet homme malade, chétif, défiguré, brulé, dépecé, … est torturé toute la journée…
Pendant la nuit hivernale, le prisonnier finit par succomber enfin à toutes ces tortures, au grand dam du bourreau !! C’est ainsi que le 19 novembre 1703 est mort à la Bastille un prisonnier inconnu, que le lieutenant Etienne de Junca l’inscrira sur le registre d’Ecrou de la Bastille…

Sortie le 07 juillet 2012

Nouvelle saga des studios.


Le syndrôme de Peter Pan

Réalisateur : Laurent Geffroi
Acteurs : Alex Blakstad, Demetra Torkildsen

Le syndrôme de Peter Pan Bastien est un jeune homme qui vient d’obtenir son bac, et qui vient d’emménager dans un studio en banlieue parisienne. Avec sa maigre paye de McDo, il peut quand même se payer son 10m². Mais Bastien s’en fout, le principal est d’avoir pris son indépendance, et ce n’est que le début dans la vie active…
Malgré les nombreuses réprimandes de ces parents, Bastien ne cherche pas d’autres boulots. Il se laisse même vivre par ce job médiocre. Tant que ça paye le loyer, la bouf, et ses quelques loisirs…
Justement, les loisirs !! Il n’y a que ça qui motive Bastien à vivre. A vivre dans un monde d’insouciance et d’enfance. Il ne se préoccupe jamais du lendemain, et se laisse bercer par les vents de l’inconscience…
Ces petits plaisirs personnels ont pris le pas sur sa vie en société, seul son boulot maintient un semblant de relationnel avec le monde extérieur. Il n’a pas de copine et ne sort pratiquement jamais. De plus, dans son mini studio, il reste nostalgique de son enfance envolé…
Ce n’est pas un mauvais bougre, c’est au contraire un gai luron, il s’amuse de tout et de tous. Il entretient un très bon rapport avec les autres, enfin ceux qu’ils fréquentent...
Malgré ces tendances casanières, il a gardé les mêmes plaisirs infantiles : collections de jouets, dessins animés, …
Bastien est un homme qui a refusé de grandir !
Voici l’histoire d’un jeune homme à l’orée de l’age adulte, avec ses rêves d’enfants, qui vit dans un monde qu’il ne comprend pas et qui ne le comprend pas…

Sortie le 14 juillet 2012

Une idée comma ça...


Chroniques funèbres : Affreusement Goules !

Réalisatrice : Carrie Vrana
Acteurs : Raoul Salmon, Carrie Mirren, Logan Erotas, Kerrilyn Whittall

Chroniques funèbres : Affreusement Goules ! Dans les brumes matinales d’un hivers sans fin, une silhouette surgit sur une route déserte. Cet ombre perçant le brouillard, est une vieille femme au visage atrophie qui déambule sur l’asphalte, vêtue de guenilles, et traînant les pieds comme si elle portait le poids du monde…
Voici son histoire :
2 ans auparavant, sur cette même route isolée, une voiture ralentit et s’arrête prêt d’un bosquet. Deux individus y sortent et commence à s’engueuler. Il s’agit d’un couple fraîchement marié, perdu dans la campagne vallonné et boisé du Morvan. L’origine de cette dispute est la panne du GPS, ce dernier n’ayant plus de batteries. L’homme reprochant à son épouse d’avoir enlever l’allume-cigare de la boite à gant du véhicule, pour y avoir mis ses effets personnels (comme du maquillage !).
Leur gamin, commençant à brailler, le couple remonte dans l’auto, et essaye de retrouver leur chemin. Plusieurs heures après, le véhicule repasse par cette même route, et s’arrête près du même bosquet. Le constat est la ! Ils sont totalement perdus, et incapable de retrouver leur chemin…
Le réservoir d’essence, commençant également à crier famine, comme les passagers, la voiture repart de plus bel afin de trouver la moindre habitation. Toute aide serait la bienvenue…
La nuit commençant à poindre, les lumières d’une bourgade éloignée vainc heurter leur désespoir. La voiture prend la direction de cette providence, et emprunte un chemin caillouteux. Les passagers de l’auto, roulant à faible allure, constatent que la lumière ne provient pas de lampadaires, mais de quelques lanternes suspendues à des poteaux. Avec ces maisons pittoresques et délabrés, et un manque total de la moindre technologie. Comme si le village est resté figé dans le temps, du début du 19ème siècle…
La voiture finit sa course dans un cul de sac, car le chemin emprunté qui traversait le village se termine devant le parvis de la mairie. Un vielle homme mal fagoté y sort, une bougie à la main. Le couple expliquant leur mésaventure, se voit offrir le gîte et le couvert par cet inconnu. L’homme, pour rassurer sa jeune femme qui est inquiète, lui certifie que demain ils seront partis de cet endroit désolé…
Dans la pénombre de la salle à manger de cet inconnu qui leur offre l’hospitalité, le repas leur est servi. Les plats à l’air ragotant sont appréciés avec de fortes grimaces, mais quand même terminés pour ne pas froisser l’hôte. Cette maisonnée éclairée que par quelques bougies, manque cruellement de luminosité, pour cette raison que le repas se passa dans de bonnes conditions. Aucun ne pouvaient distinguer les grimaces des autres…
Le vieil homme souhaitant se coucher de bonheur, leur assigne une chambre, et rejoint la sienne. Quelques heures plus tard, la tranquillité des lieux est dérangé par un cri strident. La provenance de se bruit vient de la gorge de la jeune femme, qui reste figé debout devant la fenêtre, comme tétanisé par une force inconnu. Son compagnon se lève automatiquement du lit pour la rejoindre, et par la fenêtre, il constate une centaine de personnes brandissant des torches, et restant silencieux et immobiles devant la mairie…
Le marmot commence à chialler, et son père voulant le prendre dans ses bras, quand il se retourne, il voit plusieurs hommes ayant saisi le gamin. Dans une rage intense, il désarçonne un mec, et lui prend sa torche. Il essaye de repousser ses agresseurs avec la torche. Quand le bâtonnet enflammé passe près des visages de hommes, il constate avec horreur et effroi, les têtes défigurées et cauchemardesques des habitants de ce bourg. Le temps qu’il ce remette de cette vision cauchemardesque, les agresseurs avaient pris la fuite avec le mouflet, tandis que sa femme n’avait pas réagi d’un iota…
L’homme sors de la chambre à la poursuite de ces inconnus. Arrivé à l’extérieur, il se retrouve bloqué par la foule, puis acculé. Pour finir, la foule se jette dessus, déchire ses fringues, et le dépèce vivant… Cette scène se déroule devant les yeux de la jeune femme qui se trouve toujours à l’étage…
Cette dernière, toujours dans un état second, est empoigné par deux hommes de gabarit imposant, et emmené à l’autre bout du village, dans une autre maison. Enfermé à double tour dans une pièce, elle est réveillé de sa torpeur par les hurlements de son gamin. Désespéré, en larmes, elle essaye de s’enfuir. Retournant la pièce sans dessus dessous, elle tombe sur un vieux bouquin manuscrit. Ce livre avait été écrit par un autre infortuné, avant qu’il ne périsses sous les coups de ces créatures…
Car il est bien question de créatures ! Elle survole le livre, et il est question de cannibalisme, de malédiction, et de goules ! Ces créatures seraient des goules !! De nouveaux cris de son fils la rappelle à sa triste réalité, faut filer… Elle finit par réussir à fracturer la porte en bois moisi, et se retrouve dans la rue. Elle cour, elle cour, et vlan ! au détour d’une maison, elle reçoit un coup de pelle dans la gueule…
A son réveille, ficelé sur une chaise, un jeune garçon hideux l’oblige à manger dans la cuillère à soupe qu’il lui tend. Après plusieurs morceaux de viandes ingérés, le garçon retire avec ces doigts crasseux un pendentif de la cuillère. Son sang ne fait qu’un tour, elle reconnaît ce pendentif, c’est celui qui était autour du cou de son fils. Elle vient de réaliser qu’elle a manger son propre fils…
Hébétée, de nouveau les yeux dans les ténèbres, elle devint une poupée malléable par ces ignobles hôtes. La parfaite esclave…
Durant deux longues années qui lui sembleront un éternité, elle sera le jouet des goules, jusqu’à son évasion. Encore que ? Le cauchemar ne fait que de commencer…

Sortie le 21 juillet 2012

Une idée comme ça...


Le libraire

Réalisateur : Carsten Feldman
Acteurs : Raphael Kinworthy, Kerrilyn Winstone

Le libraire Laëty est inquiète, elle n’a pas revu son homme depuis deux jours. Elle a beau appelé les amis, la famille, aucunes nouvelles ! Damien ne donne plus de signes de vie…
Y’avait bien son ex, cette garce de Cassandra, qui lui tournait après… Autant avoir le cœur net, Laëty se rend à son domicile, et elle surprend Cassandra en pleine partie de jambes en l’air avec deux beaux étalons. Cassandra lui explique qu’elle a laissé tombé, Damien l’a toujours repoussée depuis qu’ils se sont séparés…
Laëty, passablement agacé et énervé, va voir les flics, les hôpitaux, mais rien ! (et tout le monde s’en fout !)
Elle essaye de retracer les activités de son fiancé le jour de sa disparition…
C’est ainsi qu’elle se retrouve dans une petite librairie de quartier, proposant principalement des livres anciens.
Laëty s’est souvenu, que son tendre disparu cherchait des vieux livres sur l’empereur Napoléon Bonaparte. Et qu’il avait chopper l’adresse de la boutique sur le net.
En effet, Damien, étudiant en histoire, devait faire un exposé sur l’empereur d échu.
Laëty, rentrant dans la magasin, fait sonné une petite cloche au-dessus de la porte. Le propriétaire des lieux, n’étant pas pressé de renseigner une potentielle cliente, tarde à venir. Laëty en profite un peu pour fouiner…
Plusieurs bouquins attirent ces yeux, et elle commence à les feuilleter. Avec une certaine incompréhension, elle remarque que le livre ancien qu’elle tient entre ses mains, est composé uniquement de personnes habillés de façon actuelle. Elle jette un œil aux autres, et même constat…
Soudain prit d’une frénésie emprunt de curiosité, elle regarde tous les bouquins à sa porté. Avec stupeur, elle s’arrête sur une page précise d’un des bouquins, et reste figé pendant cinq bonnes minutes. Lorsqu’elle reprend ces émotions, elle ne comprend pas comment Damien peut être en photo dans ce vieux livre. Continuant à parcourir le livre, elle arrive sur des pages blanches, et là, une étrange force, l’attire dans le bouquin. Comme un aspirateur avalant de la poussière. Laëty essaye de résister de toutes ces forces. Mais héla, le libraire qui regardait la scène non loin de la, intervient et lui assène un coup à la base du crane. La pauvre femme se retrouve enfermé, de façon photographique, à jamais dans le livre…
Le libraire referme le livre, et le repose sur le tas…
Laëty & Damien pourront-ils s’en sortir ? Ainsi que les centaines d’autres victimes…

Sortie le 28 juillet 2012

Une idée comme ça...


U.S.A.

Réalisateur : Laurent Geffroi
Acteurs : Tristan Glass, Francesca Feldman, Charles Reviglio, Amy Hemmings

U.S.A. Miami, Floride, Etats-Unis. La ville est brutalement réveillée de sa torpeur par une lumière aveuglante, comme si le soleil venait d’exploser. Cette lueur étincelante est vite rattrapée par un bruit sourd, suivi d’un souffle nucléaire ravageur. La ville a été victime d’une attaque nucléaire…
Plus précisément, la centrale nucléaire de Miami à subi une attaque terroriste, et les 5 réacteurs de ce centre ont explosés, ravageant tous sur un périmètre de plusieurs dizaines de kilomètres… Miami a disparu de la carte !
Déjà une semaine, que l’Amérique du Nord est victime de ce genre d’actes terroristes aux quatre coins du pays. Le gouvernent est dans une totale impuissance, et toutes les agences gouvernementales officielles et officieuses n’ont aucunes pistes, malgré les nombreuses interpellations de suspects…
D’autres villes comme Dallas, Boston ou Kansas City ont été rayés, auparavant, de la carte. Des milliers de morts périssent dans des zones contaminés, que même leur Dieu américain ne s’y aventure plus… Les autres milliers survivants, par peur de périr sous le feu nucléaire d’actes terroristes à venir, choisissent de s’exiler vers l’Amérique du sud. Mais le Mexique a fermé ses frontières, et avec le soutien des cartels de l’Amérique du Sud, repoussent les réfugiés, armes aux poings…
Même le siège d’une des prestigieuse agences, est balayé comme un fétu de paille, une nouvelle fois par une arme nucléaire. Il s’agit de la CIA à Langley…
La psychose prend tout le pays et ces concitoyens. On pend les noirs, torturent les arabes, … C’est forcément la faute d’étrangers !!
Washington détient enfin la preuve de l’implication avéré d’un groupuscule intégriste islamique, méconnu jusqu’à ce jour. Cette preuve, est une vidéo circulant sur le net, montrant des arabes posant les dites bombes dans les villes détruites. La revendication de cet entité est la libération, sans conditions, de tous les prisonniers de Guantanamo. Ainsi, le sang arrêterais de couler sur cette terre impure…
Deux avions cargos sont ainsi affrétés pour emporter les prisonniers en Somalie, où ils seront relâchés dans la nature. Les Transals, quittant le sol américain, une nouvelle attaque nucléaire est quand même à déploré dans l’Ouest. Le présidant, sans pitié, ordonne que les pilotes sautent en parachute des avions, Laissant les oiseaux de fer dérivés dans les airs, sans pilotes, et se scratchant en mer…
Un agent de terrain, qui suivait plusieurs pistes, découvrit les arabes poseurs de bombes, montrés dans la vidéo, avec une balle dans la tête dans un entrepôt, ainsi que leurs familles. Il en déduisit, que les soi-disant poseurs de bombes n’étaient que des victimes, et que leurs familles servaient de pressions… Mais tous ce petit monde avait été exécuté.
Poussant ses investigations encore plus loin, avec des cadavres en cours de route, il s’était fait une opinion sur les vrais responsables. De purs américains intégristes, aussi blanc que les neiges de l’Alaska. Ces derniers voulaient embraser le Moyen-Orient, un conflit ouvert avec les pays arabes. Tous ça pour provoquer une 3ème guerre mondiale !!
Mais pourquoi ??

Sortie le 18 août 2012

Une idée comme ça...


Chroniques funèbres : Tout feux, tout flamme...

Réalisateur : Logan Berger
Acteurs : Scotty Paulson, Anya Van Handenhove, David Keith, Julia Tilford

Chroniques funèbres : Tout feux, tout flamme... Dans la campagne strasbourgeoise, un vent glacial souffle de par et là. La cime des arbres se font ballottés de droite à gauche comme de vulgaire brindilles. De mêmes les champs de blés se font aplatir par des mouvements de vents écrasant…
Dans ce climat automnale, les airs transportent une nuée de cendres, que les vents ont balayés quelques mètres plus loin…
Voici son histoire :
Trois jours auparavant, un bus transportant une équipe de jeunes footballeurs, allant de 14 ans à 16 ans, avec leurs accompagnateurs, se dirige vers Strasbourg pour un match amical. A 30 km de la préfecture de l’Alsace, une déviation oblige le bus à prendre une direction différente…
Pour une raison inexpliqué, le chauffeur perd le contrôle de son véhicule et se prend un platane sur le bas-côté. Malgré le choc de l’accident, l’ensemble de l’équipage s’en sort commotionné, mais indemne. Seul le conducteur à la tête explosé contre le volant…
Les survivants se mettent en marche vers un petit village non loin de là, espérant y trouver du secours. Arrivés au bourg, les accompagnateurs demande d’utiliser un téléphone au premier pecnot interpellé. Ce dernier les invite à son domicile, et les gamins ne les reverront plus jamais...
Plusieurs personne du village, viennent à la rencontrent des ados, et leurs expliquent que les deux adultes sont partis chercher du secours. Et qu’en attendant chaque enfant sera placé dans un famille différente, genre famille d’accueil. Les jeunes gens, insouciants et confiant, mettent leurs destins dans les mains de ces étrangers…
C’est ainsi que Luc, jeune éphèbe blondinet, gardien remplaçant de son équipe, atterrit dans la famille de la petite Lucie, une fille de son age au teint pâle.
Ludo, quant à lui, est le plus fort de son équipe, c’est un attaquant hors-pair. Il ira avec les jumeaux Alexis & Alexandre qui ont une vingtaine d’années.
Chaque enfant est placé dans une famille comprenant au moins un enfant, pour faciliter l’intégration des jeunes fouteux…
Luc et Lucie s’entendent très bien, à tel point qu’ils s’échangent des baisés. Lucie plus dévergondé que son ami, l’emmène discrètement dans le hangar familial. Luc qui est totalement inexpérimenté avec les filles, voit son enthousiasme gonflé dans les mains de Lucie. Cette dernière le déshabille, et Luc se retrouve nu comme un ver. Délicatement Lucie l’allonge dans la paille et commence à lui masser le dos avec de l’huile essentiel. Luc est aux anges, et sa peau juvénile est imprégné de cet huile aux milles arômes. Lucie repose le flacon de l’huile avec ce symbole « produit inflammable », s’éloigne un peu de Luc qui se languit sur la paille, et craque une allumette. Elle jette le bâtonnet enflammé sur le pauvre garçon qui se met à sortir de la grange en hurlant. Luc tombe à terre au bout de deux mètres, les flammes léchant tout son corps…
Ludo est parti à l’exploration du village avec ces deux nouveaux amis, qui sont les jumeaux. Dans la cour d’une des maisons du village, Alexis propose de jouer au jeu du chalumeau. Ludo est vite rassurer sur ce jeu par ces deux compères. Ludo se retrouve attaché à un poteau, et ça ne le fait plus vraiment rire. L’un des jumeaux se pointe avec un chalumeau et commence à se rapprocher de l’infortuné. Il applique les milles degrés de cet instrument sur les jambes de Ludo qui hurle de douleur. Aussitôt, le pantalon prend feu puis toutes ces fringues. La victime de ce jeu morbide gesticule dans tous les sens, sous les rires des jumeaux…
C’est ainsi, que durant deux jours, plusieurs enfants périssent par les flammes par une population étrange et malfaisante. Ceux dont la vie n’a pas encore été menacés, se retrouvent discrètement le troisième jour, s’étonnant de ne plus voir le camarades. Leur petite réunion n’est pas aussi discrètes que ça, car des regards inquisiteurs les observent…
Les cinq jeunes garçons fouillent de fond en comble le bourg pour trouver les autres, mais en vain pour les retrouver. Cependant ils firent une trouvaille inquiétante : un manuscrit. Dans les entrailles de ce vieux bouquin, il est écrit que ce village fût détruit à la fin de le seconde guerre mondiale. Que les Nazis en déroute, brûlèrent ce village, et que dans chaque maison où résidait une famille, tous les occupants était enfermés avant la mise à feu de leur demeure. C’est ainsi que chaque villageois, sans exception, périrent par le feu. Durant trois jours, le village brûlait sans discontinuer…
Les jeunes gens comprirent qu’ils étaient dans un village fantôme, et que leurs hôtes étaient donc… morts !!! Essayant de s’enfuir du village maudit, ils sont vites encerclés par les villageois qui les dévisagent comme des zombis. Un par un, les gamins sont saisis, et mis au bûcher comme de vulgaires hérésies…
Au soir du troisième jour, l’enfer rappela le village qui disparut dans la brume. Seuls des cendres d’origines humaines, sur le sol, attestent que des faits étranges se sont déroulés ici…

Sortie le 25 août 2012

Idée inspirée du film "2000 Maniacs !".


Painkiller : Battle out of hell

Réalisatrice : Rebecca Tasz
Acteurs : Raoul Yusef, Whitney Salmon

Painkiller : Battle out of hell Daniel Garner qui avait atterrit au purgatoire, suite à un accident de voiture, devait combattre les hordes de Lucifer pour arriver au Paradis. Il dû combattre des légions démoniaques entières, et abattre les démons qui les commandait. Lucifer, et tous ces lieutenants succombèrent aux armes dévastatrices de Daniel.
C’est ce que Daniel pensait ! Allant retrouver Eve, cette femme mystérieuse qui l’avait guider durant tout son périple, il retrouva son corps ensanglanté, et atrocement mutilé, au pied du démon Alastor. Alasator était en réalité le démon qui tirait les ficelles à l'instar de son maitre. Il avait survécu au combat avec Daniel, et avide de pouvoir, avait prit la place de Lucifer…
Daniel comprit qu’il ne pouvait plus quitter ce monde, sans l’aide précieuse d’Eve, c’est ainsi qu’il part à la chasse d’Alastor, et de ses nouveaux acolytes. Mais ce dernier envoya toutes les hordes restantes de l’Enfer à l’encontre de Daniel…
De lieu en lieu, de monde en monde, Daniel laissa derrière lui d’indescriptibles carnages, même les nouveaux généraux du royaume des morts périrent face à la fureur de Daniel…
Retrouver le dernier face à face opposant Daniel et Alastor, pour que l’un sauve son âme, et que l’autre assouvit sa soif de sang…

Sortie le 01 septembre 2012

Vidéo Youtube"

Suite de l'un des meilleur jeux...


Day of the tentacle

Réalisateur : Morena Feild
Acteurs : Klaus Krumholtz, Stephanie Jones

Day of the tentacle Lors d’une belle journée d’été, de curieux bruits se propagent au travers d’un quartier résidentiel. Les sons viennent plus précisément de la maison du Dr Fred, en particulier de sa cave…
Ce savant fou totalement mégalomane gesticule dans toute la pièce, à actionner diverses machines plus bizarre les unes que les autres. Au milieu de se carphaneum électronique, une cuve métallique branché de toute part par des diodes, commence à vibrer. Les vibrations s’intensifiant, en même temps que les bourdonnements l’accompagnant, une forme à l’apparence humaine sauta de la cuve. Lorsque les vapeurs se dissipaient de la pièce, l’être nouvellement né, n’avait rien d’humain, malgré sa taille humaine. Il s’agissait d’une tentacule géante, de couleur pourpre…
La tentacule, douée d’intelligence se sent plus forte que l’espèce humaine, et est déterminé à conquérir le monde. Le Dr Fred dans un sursaut de lucidité tente d’arrêter sa créature. En vain, la tentacule est parti à la découverte du monde pour mieux la conquérir….
Désemparé, le Dr Fred demande à ses voisins de l’aider à résoudre ce petit problème. C’est ainsi qu’il envoie un messager, qui n’est qu’un hamster portant un petit mot. Les destinataires sont Laverne (une gonzesse tarée), Hoagie (un rockeur ringard et obèse) et Bernard (p’tit intello genre premier de la classe).
Les trois compères se rendent chez le savant fou, pour réparer ces erreurs. La mission est très simple, il suffit d’embarquer dans des machines à remonter le temps, jusqu’à hier. Afin de stopper le Dr Fred avant qu’il ne donne vie à la tentacule pourpre…
Les 3 camarades embarquent dans les machines, et « zou » disparaissent de la cave, sauf Bernard. Malencontreusement, la destination prévue n’est pas au rendez-vous. Hoagie se retrouve 200 ans dans le passé, Laverne 200 ans dans le futur, et Bernard dans le présent… Et au même endroit !
Retrouvez trois improbables héros, dans trois époques différentes, pour empêcher l’assouvissement du monde par une catastrophe tentaculaire pourpre...

Sortie le 15 septembre 2012

Adaptation du jeux sur Atari.


Enfants des villes

Réalisateur : Diane Paulson
Acteurs : Raoul Glau, Elaine Keith

Enfants des villes Dans un immeuble résidentiel d’une grande ville, un drame effroyable vient de se produire. Adam, 8 ans, enjambe les cadavres (encore chaud) de ces parents. Le petit garçon, ensanglanté du sang de ces vieux, tient un grand couteau de cuisine fermement entre ces mains. Adam est responsable de ce double meurtre. Ce soir là, Adam avait reçu une remontrance de trop, et dans un accès de colère, prit l’arme blanche et planta les adultes par traîtrise…
Le jeune meurtrier descends au bas de son immeuble pour se rendre dans le parc attenant. Dans cet endroit boisé, avec de nombreux jeux pour petits, il y retrouve d’autres enfants. Tout en jouant et en riant, Adam expliques aux autres enfants ce qu’il a fait. Son auditoire, très attentif, trouvait que c’était une bonne idée . Tout ce petit monde en avait marre de la persécution des adultes…
C’est ainsi que le massacre commença dans ce petit parc. Les gamins provoquèrent des accidents, et quand leurs parents furent à terre, ils les achevèrent. Après les parents, c’était au tour des grands-parents, grands frères, grandes sœurs, oncles, tantes, …
Comme pour une traînée de poudre, tous les enfants avaient la même rage face aux adultes. D’innombrables carnages furent perpétrés à travers toute la ville. Puis les villes avoisinantes connurent le même destin. Tout être humain, à partir de 13-14 ans était impitoyablement massacré…
Beaucoup d’adultes tentèrent de résister, mais comment combattre des bambins, au premier abord, si adorable ??

Sortie le 22 septembre 2012

Idée inspirée des livres/films de Stephen King : Les enfants du maïs.


Enfants des champs

Réalisatrice : Diane Paulson
Acteurs : Tristan Byrne, Rebecca Yusef

Enfants des champs Cela fait déjà quelques années que l’holocauste s’est produit. Un drame humain provoqué par des gamins. Une épuration qui consistait à supprimer tous les adultes…
Pendant toutes ces années, les enfants ont fêtés leur victoire. Ils ont joués, se sont amusés, ont terminés les dernières ressources qui restait. Ils vivaient sans se soucier de l’avenir. Car même si les enfants ont grandis, se sont restés des enfants, en tout cas dans leurs têtes…
Il n’y avait plus d’adultes pour les éduquer…
Les cris de joies ont fait place à des larmes, les jeunes adultes errent dans les campagnes à la recherche de la moindre nourriture. C’est sur l’une de ces petites routes de campagne, que Fabio erre en titubant, à la recherche du moindre lézard à se mettre sous la dent. Ce jeune homme de 14 ans, maigrichon, portait des guenilles, et le vide émanait de son regard…
A bout de force, Fabio atteint une petit bourgade sans un bruit, même les oiseaux se sont tût. Néanmoins, il sent des regards l’épier. Il s’assoit sur le perron d’une maisonnette, et s’écroule de fatigue…
Fabio, n’avait jamais eu conscience de la gravité de son acte, quelques années plus tôt, en allumant le gaz toute une nuit. Son père en se levant, alluma la lumière, et la maison explosa, tuant toute sa famille. Sauf lui, qui regardait la scène à bonne distance….
Fabio faisait toujours le même cauchemar, et se réveillait en sursautant. C’est ainsi qu’il se réveilla dans une chambre, où une étrange assemblée le contempla. Tel des zombis, d’autres enfants regardait cet étranger, et commencèrent à le saisir. Fabio, sans force, ne put se débattre très longtemps…
Fabio est emmené dans une pièce qui ressemble à une cuisine, d’étrange ustensiles sanguinolents sont éparpillés un peu partout. L’ado comprend très rapidement, mais trop tard, qu’il servira de dîner à ces hôtes…
Parviendra-t-il à s’échapper ??

Sortie le 29 septembre 2012

Suite d'"Enfants des villes".


L'Atlantis

Réalisateur : José Kstazy
Acteurs : Adrian Noyes, Bineta Koula Diop, Raoul Sagnier, Amy Sbrizzi

L'Atlantis Un luxueux hôtel doit prochainement ouvrir ses portes sur l’île artificiel de Dubaï. Il s’agit de l’Atlantis. Dans ce complexe hôtelier, tout est démesure. Pensé comme une plongée sous-marine, pour reconstituer la fameuse cité perdue, cet hôtel a la particularité d’être construit avec un aquarium géant avec plus de 65000 poissons. Chaque touriste pourra admirer la faune marine depuis n’importe quelle pièce de ce palace, même de sa chambre…
En ce jour d’inauguration de l’Atlantis, la fête bat son plein. L’extérieur est illuminés de 1000 feux par des feux d’artifices. Les convives s’amusent au dépend du personnel qui ont du pain sur la planche…
Mais dans les cuisines, une autre genre de fête va commencer. Des centaines de militaires encagoulés s’introduis en cuisine et mitraillent tout le personnel sur place. Ces treillis avaient déjà fait du ménage aux alentours du palace, en supprimant tout le service de sécurité…
Ces militaires à l’attitude sanguinaire, parcours l’hôtel de long en large pour ramener chaque personne dans le grand hall du rez-de-chaussée. Toutes personnes exprimant le moindre refus est implacablement abattu. Le bruit des feux d’artifices peinent à couvrir les cris et les intonations provenant de l’hôtel...
Toutes les personnes, devenues otages, sont à présent dans le grand hall, et encerclé par les militaires à l’air menaçant. Il y a autant de cadavres jonchant les couloirs du palace, que d’otages. Les militaires ôtent leurs cagoules, et font apparaître des visages féminins. Leur chef s’exprime, et leur dit qu’elles en ont marre du machisme et de la misogynie de cette partie du monde. Et qu’elle vont remettre les hommes à leur place…
Ces femmes armées n’avaient pas tout prévu, le saccage du palace à fortement endommagé l’aquarium qui longe tout l’infrastructure. Et les vitres légèrement fêlés commencèrent à se craqueler face à la pression de l’eau. Quand finalement, toutes les parois éclatent, laissant déverser des milliers de litres d’eau. Eau s’engouffrant dans toutes les parties du palaces, jusqu’à venir au grand hall…
Les militaires féminins ayant bloqués toutes les issues, il n’était pas possible de s’enfuir. Les femmes et les otages doivent s’allier pour rester vivant, afin de ne pas périr noyer, ou broyer contre un mur face à la pression de l’eau…

Sortie le 06 octobre 2012

Idée venue suite à un reportage sur l'hôtel Atlantis.


Chroniques funèbres : Les 9 vies du chat

Réalisatrice : Joan Bremner
Acteurs : Grant Maher, Pamela Reyes, Raoul Sagnier, Elaine Keith

Chroniques funèbres : Les 9 vies du chat Une nuit automnale, une étrange créature vient d’achever une tombe. C’est étrange bestiole, une pelle à la main, vient d’y enfuir un cadavre. Les nuages se dissipant, la lune blafarde éclaire la scène, laissant entrevoir un matou à l’air démoniaque…
Voici son histoire :
Quinze jours auparavant. Un 4X4 sort d’un garage d’une rue résidentielle, le conducteur ne faisant pas attention lors de sa marche arrière, écrase un chat. Entrain de lécher le cadavre de sa mère, un jeune chaton pleurant d’être orphelin. Le chauffard furieux d’avoir taché l’entrée de son garage, prend une pelle, assène de grands coups au chaton, puis ramasse les cadavres afin de les jeter dans une benne non loin de là…
Plus tard dans la journée, le chaton, prit de convulsions, reprend vie. Péniblement, il sort de la benne. Son poil à foncé, et ses yeux ont la couleur du sang. Le chaton ressuscité se dirige ver la maison de son meurtrier…
Il fait le tour de la maison, et voit dans le jardin deux gamins jouer. Il s’agit de deux frères et soeurs de 3 et 8 ans. Le chaton fait son beau devant eux afin d’être adopté. Ce qui fait mouche !! Les deux bambins accourent pour lui faire pleins de caresses. Le matou ronronne, car sa vengeance pourra être accomplie…
Les enfants appellent leur mère pour qu’elle accepte de le garder, devant un tel enthousiasme de ces fils, elle ne put dire non. Et elle en fera la surprise à son mari quand il rentrera du boulot…
Le soir même, le patère n’apprécia pas trop l’ironie de la situation, sachant ce qu’il avait fait se matin là. Enfin ! Si ça fait plaisir aux gosses…
Les jours se passèrent sans le moindre incident…
Le chaton qui dormait dans les bras du plus jeunes, se réveilla en pleine nuit. Après un long étirement de ces membres, il se rapprocha de la tête du petit ange. Il se mit à s’allonger de tout son corps sur le visage, de façon à obstruer la bouche et le nez…
Au petit matin, un cri effroyable déchire la tranquillité de la maison. La mère vient de trouver le corps sans vie de son jeune fils. Affolée, elle descend l’escalier pour appeler les secours. Mais c’est sans compter le matou qui se met à faire le dos rond sur les marches, faisant basculer la pauvre femme par-dessus l’escalier…
La cadette de 8 ans ayant vu la scène, va dans la cuisine. Prend tous les ustensiles tranchant qu’elle peut attraper, et les jettes sur le chaton. L’animal arrive à éviter tous les projectiles, sauf un qui le transperce. La gamine en pleure et recroqueviller, savoure néanmoins sa victoire d’avoir tué ce maudit chat…
Pourtant, quelques minutes plus tard, le félin se lève sur ce deux pattes, saisit le couteau de son corps, et se jette sur la gamine qui n’a pas pu réagir…
Le soir, lorsque le mari rentre à la maison, il s’étonne de ne pas entendre un bruit. Enclenchant la lumière du couloir, il voit sa femme décontorsionné au pied de l’escalier, et sa fille de 8 ans baignant dans une marre de sang. Voulant s’enfuir de sa demeure, la porte d’entrée se referme à clefs derrière lui. Le félin jetant les clefs par la chatière qui avait été installé pour lui…
Ne comprenant pas tout à fait ce qui se passe, il va devoir affronter un chat démoniaque brandissant un couteau. La nuit risque d’être longue, et très sanglante…

Sortie le 03 novembre 2012

Une idée comme ça...