La bouche de l'enfer
Réalisatrice : Morena Feild
Acteurs : Ron Taufen, Cecilia Salmon
Ca y’est je suis prêt ! Tant d’années à la découverte de ce lieu, tant de peine pour venir jusqu’ici.
L’entrée de ce lieu malfaisant est sous mes pieds, j’en tremble encore…
J’enfile ma tenue de spationaute, enfin si je puis dire. Cette tenue à été spécialement conçu pour cet
endroit, pour faire face à toute éventualité, car on ne connaît rien de l’enfer…
Je fais partie d’un agence gouvernementale non-officielle, qui traite de phénomènes paranormaux. Depuis que
cette faille a été découverte, et une longue préparation, j’ai été envoyé en ce lieu désolé pour en savoir
plus sur le ténèbres. Et être sur qu’aucunes âmes damnées ne puisse s’échapper…
Au fur et à mesure que je m’enfonçais dans ce trou, à l’aide d’une corde. Ma respiration se faisait plus
lente et haletante, comme si ma poitrine était compressée. La vision nocturne de mon casque ne me permettait
pas de voir tous les détails de ma descente aux enfers…
Le plus ironique dans tout ça, c’est que je suis non-croyant, j’enquête sur des choses auxquels je n’accorde
aucuns crédits. Mais si je vais pas enfer, où cette entrée peut-elle menée ? Plus j’avance, plus l’atmosphère
se fait étouffant. Ainsi que la chaleur qui arrive à percé ma combinaison…
J’me sens seul, je suis seul ! En cas de pépin, aucune aide ! Mes instruments de communication grésillent.
Cela fait des heures que je me suis enfoncé dans cette pénombre, malgré les kilomètres de cordes mis à ma
disposition, je vais finir par en manquer.
J’commence à sentir les premiers effets de la fatigue, tant sur le plan physiologique que psychologique.
J’aurais pas la force de rebrousser chemin, autant continuer en espérant que ce calvaire prendra bientôt
fin. J’en peu plus, je sens que je vais lâcher prise, et cette chaleur…
Aaaaahhhhhhh
Non ! J’suis pas mort. Malgré ma chute. J’comprend pas, tout est si sombre ici, et cette chaleur qui va
finir par faire fondre ma combinaison. Ma vision nocturne est toujours intact. J’vois des silhouettes
tourbillonnées dans tous les sens. Est-ce ça l’enfer ? Est-ce des âmes déchues ? Ils s’approchent de moi.
J’peux pas m’enfuir. Oh mon dieu…
Sortie le 04 janvier 2014
Une idée comme ça...
Un monde sans travail
Réalisatrice : Jessica Buxton
Acteurs : Tristan Byrne, Lucy Wieczorek
Faut travailler plus pour gagner plus, comme dirait l’autre. Mais si il n’y avait pas besoin de travailler
pour gagner plus, en tout cas pour vivre mieux…
C’est comme ça que le monde à évoluer, dans les années 2300. Un monde sans travail. Où tout est régi par
l’intelligence artificielle, pour combler au moindre désir de l’homme. Des robots qui cultivent les champs,
fabriquent nos rêves, … Des robots qui assemblent d’autres robots. Des robots qui réparent leurs semblables…
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Les hommes ne savent plus vivre en dehors de leurs propres
plaisirs. Ils ne travaillent plus, ne font plus e sport, passent leur temps devant des écrans géants, …
La pauvreté n’existe plus. Le poids moyen d’un humain à cet époque est de 100 kg. Les rares personnes
sveltes sont considérés comme des bêtes de foire…
Il suffit d’un grain de sable, que la machine soit grippée, pour que le monde court à la catastrophe. Car
si à cet époque, tout est fabriqué, il faudra toujours de la matière première. Et de la matière première,
y’en a de moins en moins sur la planète. Surtout pour fabriquer le métal, qui sert aux robots. Ne trouvant
plus de matières premières, les mines d’extraction sont désertés, les chaînes d’assemblage des robots
s’arrêtent, les automates défaillants ne peuvent plus être réparés…
Avec l’arrêt des machines, les hommes sont désemparés. Comment vont-ils survivre à cette catastrophe ?
Eux qui n’ont jamais fait travailler leurs mains, et encore moins leurs neurones…
Sortie le 11 janvier 2014
Idée en voyant Wall E.
Promenons-nous dans les bois...
Réalisatrice : Heather Van Handenhove
Acteurs : Tristan Glass, Joanna Camacho
Paul et Lydia sont heureux. Cela fait quelques jours qu’ils papillonnent ensemble, mais une telle harmonie
entre eux…
Paul a inviter sa bien aimée à faire un pique nique dans un bois. Au creux d’une clairière, les deux
tourtereaux déjeune en paix avec des bulles de champagne plein la tête. Au dessert, Lydia dévore langoureusement
son mille-feuille, lorsque ses dents se heurtent à un objet métallique. Il s’agit d’une bague de fiançailles,
que Paul à trouvé original de planquer dans le dessert préféré de sa douce…
Lydia sous le charme, lui saute au coup. Les câlins se transforment en baisers voluptueux. Les fringues de
chacun virevoltent dans tous les sens. Paul repusse délicatement le corps de son autre moitié. Lui disant
qu’il préfère utiliser le préservatif, tant qu’il n’a pas reçu les résultats. Fouillant dans ces poches,
et n’en trouvant pas un seul. Il se voit obliger de remettre son caleçon pour aller en chercher dans la
boite à gants de sa voiture…
Dans la tenue d’Eve, Lydia attend. Les minutes lui paraissent une éternité. A bout de patience de ne plus
revoir Paul, elle se revêtit, et part en direction de l’auto. Elle se dit, qu’il s’est bien foutu de lui.
La caisse est toujours là, elle ne comprend pas…
Paniquée, elle repart dans le sens inverse, elle crie, elle hurle, mais Paul est toujours aux abonnées absents.
Elle repart vers la clairière pour récupérer le reste des vêtements et les clés de l’auto, mais n’y arrive pas.
Elle est perdue…
Recroquevillée sur elle même, une main la saisit par l’épaule. Elle n’est plus toute seule dans cette forêt.
Cet autre personne est également une femme de même age, qui a également perdu son conjoint. Toutes deux
cherchent leur homme respectif, mais sans résultat. Quand soudain, Lydia s’arrête net devant une souche en
piteux état…
A l’une des branches figure la chevalière de Paul, à ces racines, le caleçon. Interloquée, Lydia se retourne
vers sa nouvelle amie dont le visage se difforme. En même temps, des racines surgissent du sol et agrippent
les pieds de la malheureuse…
Cette amie mystérieuse se présente comme l’âme de la forêt, une âme à la recherche de nourriture. Car la forêt
à faim, à faim de sang humain. Paul s’est fait piégé et transformé en arbre, sons sang est pompé par la forêt
toute entière…
Lydia repousse cette garce de la forêt et tente de se libérer de ses attaches végétaux. Mais où coure t-elle
donc ? Elle ne peut pas s’échapper de ces bois. A chaque brindille, un piège se refermera sur elle…
Sortie le 18 janvier 2014
Une idée comme ça...
Garden party
Réalisatrice : Amanda Fillion
Acteurs : Charles Reviglio, Francesca Vrana
Stéphane et Adeline étaient un jeune couple marié. Ils firent construire une petite maison en banlieue de la
région parisienne. Adeline ne pourrait jamais connaître le bonheur d’avoir des enfants. Elle dût se consoler
dans d’autres centres d’intérêts, pendant que son mari travaillait…
Adeline qui a naturellement la main verte, se prit de passion pour l’horticulture, et orna sa maisonnette de
magnifiques jardins, que le voisinage jalousait. Mais voilà, Adeline s’occupait merveilleusement de ses
plantes au détriment de Stéphane…
Cela faisait quelques moi que ça durait. Stéphane ne pouvait même plus passer sur la gazon, sans se faire
houspiller par sa femme. Pour sortir de son domicile, il devait sortir par son garage, au cas ou que mal
réveillé, il égratigne quelques girofles plantés au seuil de la porte d’entrée…
Stéphane qui n’osait pas se rebeller, finit par éclater. Il en avait ras-le-bol de ces foutus fleurs. A
part les passants dans la rue, personne ne pouvait les contempler de plus prés. Adeline, pour le calmer,
lui disait qu’il pourrait inviter quelques-uns de ces collègues pour admirer ses merveilleux parterres…
Quelle mauvaise surprise eut Adeline, lorsqu’elle vit, le jour J, plus d’une dizaine de personnes dans son
jardin. Les collègues de Stéphane, plus leurs conjoints, sans compter ces chérubins qui courent partout en
piétinant impunément les fleurs. Stéphane avait préparé un barbecue pour ces convives. La graisse dégoulinait
sur l’herbe verte. Les canettes de bière vides volaient un peu partout. Les enfants jouaient au foot, dont un
des but était un parterre de primevères.
Folle de rage, les yeux exorbités de haine, Adeline frappa son mari devant tous les invités. Un silence de
mort se mis en place aussitôt. Quelques minutes plus tard, tout ce petit monde se mit à courir et à crier dans
tous les sens. Les végétaux devenus vivants, attaquèrent les humains en les déchiquetant…
Il n’était plus possible de sortir de cet enfer au doux parfum. Stéphane et les rares survivants devaient
trouver un moyen de s’en sortir…
Sortie le 25 janvier 2014
Une idée comme ça...
Sombre forêt
Réalisatrice : Joan Bremner
Acteurs : Yvan Ohé, Rose Henriksen, Scotty Paulson, Shannon Colloff
A l’époque j’avais 13 ans. Mon enfance fut marquée par des faits troublants dont j’étais l’instigateur, mais
dont j’en ignorais les causes. Jusqu’à cette fameuse nuit, on me croyait fou, car j’avais accomplis des actes
que le commun des mortels ne pouvaient comprendre...
Les villageois disaient que ma naissance était un blasphème aux yeux de dieu. Que mes pupilles avaient
emprisonnées les esprits tourmentés de la forêt. Quelques jours après ma venue au monde, ma mère se rendit
dans cette noire forêt qui entoure notre village. Paraît-il pour rejoindre mon père qu’aucun n’avait vu.
Lorsque la silhouette de ma mère s’évanouit sous les branchages, son cri déchira les cieux. Cette nuit là,
la lune blafarde vira à la couleur sang…
Jusqu’à mes 13 ans, j’étais à la fois craint et refoulé par les autres villageois. Tous les châtiments que j’ai
pu recevoir ont forgés ma personnalité. Le temps de la punition et de la rédemption était arrivé. Même les
étoiles se sont éteintes pour ne pas éclairer ce que je m’apprêtais à accomplir…
Allumant une torche, je l’a jeta sur une chaumière. Très rapidement, le brasier s’étendit à tout le village.
En pleine nuit, les villageois sentirent la fumée et entendirent le bois craqué sous l’effet des flammes. Dans
un premier temps, tous ces pauvres diables tentèrent d’éteindre le feu, mais c’était sans espoir. Très vite,
ils se rendirent compte que la fuite était la seul issue possible…
Le feu s’est propagé si vite, que certains n’ont pu quitter leur lit. D’autres moururent avant même d’avoir
pu quitter l’enclos du village. Je me demande ce que ça fait d’avoir ses chairs consumées par les flammes…
J’étais en tête de cortège, les villageois survivants de ce brasier me suivait. Mais ces bougres ont été attaqués
par une horde d’animaux sauvages. Des loups affamés déchiquetaient une gamine. Des bras volaient, des têtes
tombaient. Des ours laissaient s’échapper des entrailles de leurs gueules béante. Leur carnage ne faisait
que de commencer…
Sans me retourner, sans ralentir ma cadence, je continuais mon chemin dans cette forêt ténébreuse. Les quelques
uns qui avaient échapper au carnage, furent retenus pars des arbres qui enlaçaient leurs branches autours
des membres des infortunés. Au bout de quelques minutes d’écartèlement, le calme redevint dans la forêt…
A cette époque j’avais 13 ans, et étais le seul survivant d’une nuit ensanglantée. Comment tout cela avait
été possible ? Pourquoi en étais-je la cause ? Le ciel s’assombrit par une nuée de corbeaux. Mon lourd
fardeau me terrassa au sol, mes paupières se fermèrent…
Aujourd’hui, je me souviens…
Sortie le 01 février 2014
Une idée comme ça...
X-Men : Rehabilitation
Réalisateur : Barry Hunter
Acteurs : Ron Taufen, Eva M'Gonfler
Depuis que Magnéto a été désintégré par les X-Men, et qu’il sert de combustible à la centrale nucléaire du
New-Jersey, les X-Men n’ont plus de raisons d’exister. Chaque membres de cet escouade assez spéciale, ont
pris des chemins bien différents…
Wolverine est devenu ébéniste dans la forêt canadienne. A l’aide de ces griffes en démentium, il sculpte
différents mobiliers pour différents commanditaires à travers le monde.
Cyclope à ouvert une petite société de désinsectisation et de dératisation à New-York. Grâce à sa vue
meurtrière et ses lunettes réglables, il peut désintégrer une mouche à 15 mètres.
Tornade, dans la logique des choses, est tout simplement devenue une miss météo pour une petite chaîne
locale du Tennessee.
Jean Gray à repris la Fondation, l’école de surdoués de mutants, depuis la mort tragique de son mentor
Charles Xavier. Mais les murs de l’établissement sont encore hantés des pensées de Charles, et Gray à
tendance à croire qu’elle est Charles.
Malicia s’est engagée dans les forces spéciales américaines, elle est partie combattre le terrorisme au
Moyen-Orient. Elle s’est particulièrement bien utiliser son pouvoir lors des séances de torture.
Mystique, cette femme caméléon, gagne sa croûte dans un cirque. Enfermée dans une cage, elle divertie les
badauds en changeant de forme.
La vie de tout ce petit monde est vite chamboulée par l’apparition du Pharaon. Un mutant sortit de l’antiquité,
et dont il serait le 1er de sa race. Le réchauffement climatique l’aurait fait sortir de sa torpeur. Enfermé
depuis des ages immémoriaux au fin fond de l’Egypte, il a décidé d’anéantire la race humaine…
D’attentats en carnages, le monde libre vire vite dans un bains de sang qui ne connaît pas de frontières.
Malicia est la première des mutantes à périr face aux nombreux pouvoirs du Pharaon. Et quand celle-ci
trépasse, le Pharaon pompe son pouvoir…
L’ex bande de X-Men se regroupe pour combattre à nouveau le mal, malgré les divergences d’opinions de chacun,
et l’état mental pitoyable de Jean Gray. D’autant plus que Tornade n’acceptera jamais la tentative de viol
commis par Wolverine…
Sortie le 08 février 2014
Une idée comme ça...
Koweït
Réalisatrice : Amanda Fillion
Acteurs : Charles Reviglio, Whitney Salmon, Joshua Glau, Eva M'Gonfler
Ah ! La fameuse guerre du Golf, premier du nom… Quand les Américains voulaient empêcher Saddam d’exploiter
son peuple, et surtout de récupérer son pétrole…
C’est dans ce contexte du début des années 90, que le lieutenant Miller avait été envoyé en mission, avec
ces hommes, pour sécuriser des puits pétrolifères. Cette fameuse or noir, que tout pays industrialisé
disparaîtrait sans cet énergie fossile…
C’est ainsi que le convoi militaire de Miller part au cœur du Koweït. Les jeeps, aidés de deux hélicoptères
Apache, partirent pour une mission, qui ne devait être que routine. Au cœur du désert maghrébin, les soldats
ne tombèrent sur aucuns ennemis irakiens. Malgré la tranquillité de leur voyage, il ne devaient pas baisser
leurs vigilances…
Outre des véhicules civiles et militaires calcinés un peu partout sur leur route, le convoi américain stoppa
devant un autre convoi qui avait subi de lourds dégâts. Mais curieusement, pas d’impacts de balles ou autres
armes militaires. Parc contre les cadavres de ces malheureux jonchaient le sol aride de cette partie du monde.
De chaque orifices des corps inanimés coulait un liquide visqueux noir, comme du pétrole. Miller comprenait
pourquoi le lieutenant Ford ne donnait plus de signes de vie…
Miller, ne pouvant rien faire, à part le consigner dans son rapport, continua sa route. Lorsque ces deux
Apaches anges gardien furent subitement abattus par des Mirages irakiens, Mirages donnés généreusement
par la France. Des débris enflammés tombèrent tout autour du convoi. Avant même que les Mirages aient
totalement disparus du champ de vision des américains, qu’une masse opaque se mêlèrent à la poussière
du désert, que les avions disparurent dans un fracas et une déflagration assourdissante…
Malgré les pertes humaines, Miller et ses hommes arrivèrent enfin à destination. Au milieu de ces puits
enflammés, un poste de garde ennemi était encore intact. Discrètement, mais sûrement, ils entrèrent dans
cet abris pour en faire déloger les irakiens. Personne, à part un cadavre. Un infortuné irakien, qui a le
même liquide visqueux sortant de ces orbites et de ces narines…
Leurs stupeurs fut de courte durée, quand il entendirent les amis restés à l’extérieur pousser des cris
d’agonie. Sortant, ils découvrirent une masse gélatineuse, dont le corps ne contient que du pétrole. Cette
forme compacte, dont ce précieux liquide noir dégouline, haut de plusieurs étages, fonce sur les militaires
rescapés…
Sortie le 15 février 2014
Une idée comme ça...
Pour vendre, il faut donner de sa personne...
Réalisatrice : Jenny Feldman
Acteurs : Jean Dupont, Demetra Torkildsen
Par une nuit sans lune, sur les routes beauceronnes, une voiture broute le goudron, avant de s’arrêter en
pleine campagne. Le conducteur sort de son véhicule, furibond, et ouvre son capot. Une fumée s’échappe de
son moteur, et de rage claque le capot, et donne un violent coup de pied dans la portière. Il scrute les
environs, et distingue une petite ferme isolée, au beau milieu des champs céréaliers…
Laissant sa voiture fumante à l’abandon, sur cette route déserte, il part vers la bâtisse. Sonnant à la
porte d’entrée, un vieux couple de fermiers, fusil à la main ; l’accueil dans leur humble demeure. Malgré
leurs apparences, ces quinquagénaires sont équipés d’appareils électroniques dernier cri…
Quant à l’homme malchanceux dont l’infortune à fait atterrir dans ce coin de Beauce, se présente, et leur
demande l’hospitalité. Ou tout au moins le téléphone pour pouvoir appeler une dépanneuse. Il s’avère que
c’est un commercial, et que ses vente de la journée n’ont pas été très fameuse. A croire qu’il a la poisse
avec lui…
La vieille, les yeux exorbités, charge sa carabine et la pointe vers le malheureux. « Voyez-vous monsieur
le représentant de « je ne sais quoi » ? Un jour, un commercial est venu, et nous à vendu une télé. Il
s’avère qu’on s’est fait roulé, car la dite télé n’a jamais fonctionné. On sais juré de ne plus jamais se
faire avoir… »
La vieille bique invite le commercial, avec la pointe du canon de son arme ; à entrer dans une pièce. « Un
commercial à voulu nous vendre ce congélateur, on a voulu vérifier qu’il marche. Ouvrez le !! » L’homme
l’ouvre, et se recule aussitôt poussant un cri d’horreur. A l’intérieur se trouve un cadavre congelé…
Le vieux saisi le commercial pétrifié de terreur par le colback, et l’emmène dans une autre pièce, où se
trouves d’autres appareils. Toujours le même discours ! Des commerciaux ! Etre sûr que les appareils
fonctionnent ! L’homme est contraint d’ouvrir la gazinière, un macchabée calciné en sort. Dans le sèche-linge,
un autre cadavre au teint bleuâtre…
Les vieux fous en viennent au fait avec le pauvre homme tétanisé par de telles visions d’horreurs. « Alors,
monsieur le représentant ? Que vendez-vous au juste ? » Le commercial blêmit et commence à bafouiller
quelques mots. Le mari sort da sa bicoque, et cour chercher le produit vendu par le commercial, que ce
dernier vient de citer. Au bout d’une dizaine de minutes, il revient à son domicile avec un hachoir
électrique…
Sortie le 22 février 2014
Une idée comme ça...
Henri 1er
Réalisatrice : Joan Bremner
Acteurs : Scotty Paulson, Carrie Mirren, Charles Reviglio, Rebecca Yusef
Au Ixème siècle, Charlemagne envahit une partie de l’Europe, et y introduit l’évangélisation, détruisant
toutes religions traditionnelles, dites païennes. C’est dans ce contexte de chaos total, qu’en 918 av JC,
Henri 1er, roi de Germanie réintroduit les rites païens et détruit le christianisme dans son royaume. C’est
ainsi qu’il passe un pacte démoniaque avec ces divinités païennes afin de lever une armée de mort-vivants…
Désireux de conquérir l’Europe, il octroie à ces trois fidèles compagnons, les mêmes pouvoirs maléfiques que lui.
C’est ainsi que les trois chevaliers noirs partent à travers l’Europe semant mort et désolation…
Au cœur du royaume de France, nouvellement constitué par Charlemagne, les chevaliers noirs s’heurte à un
obstacle en la personne d’un moine bénédictin. Ce dernier qui à longtemps parcouru le monde et a étudié les
connaissances ésotériques, se persuade d’avoir la mission divine de tuer Henri 1er…
Le moine qui possède également des forces surnaturelles, se retrouve submergé par l’assaut des chevaliers.
D’autant plus que ces derniers invoquent d’innombrables démons. Le combat est rude, et le moine ne perd pas
espoir. Tout au tour du champ de bataille, la terre s’envole dans les airs, des cratères dus aux explosions
se forment, et des démons terrassés tombent à terre…
Le moine tient le coup, et il finit par détruire les chevaliers un par un. Les pouvoirs du moines se
renforcent à chaque démon tué, comme si il pompait l’énergie restante de ses adversaires…
Henri 1er, qui n’en croit pas ses oreilles, quand on lui rapporte la mort de ses fidèles chevaliers, décide
de réunir son armée de mort-vivants. La rencontre fatidique entre le moine et les forces démoniaques se fera
à la frontière séparant la Germanie et le royaume de France. Dans un lieu qui servira à l’édification d’une
ville, qui devra panser les plaies d’une terre meurtrie par un carnage à venir, et qui en verra d’autres…
Le moine bénédictin fera appel à toutes ces forces, et demandera l’aide des anges guerriers du Paradis pour
venir à bout des forces de l’enfer. Le combat va être rude, et pas encore gagné…
Sortie le 01 mars 2014
1er film d'une saga. Sa suite : Necrovision.
Necrovision
Réalisateur : Logan Berger
Acteurs : Tristan Glass, Rose Henriksen, Yvan Ohé, Shannon Colloff
16 novembre 1916, la première guerre mondiale donne un visage à l’horreur, dans les tranchées françaises.
Un détachement américain est envoyé près de Verdun pour aider les soldats britanniques et français à repousser
les assauts allemands…
Durant plusieurs jours sans interruption, les militaires se dégommes à coups de balles, d’obus, ou de gaz.
Les rats se régalant des cadavres en décomposition des camps adverses. Pris sous le feu ennemi, le détachement
américain est littéralement décimé par le gaz moutarde. Seul un soldat est sauvé in-extrémis par un allié
anglais, tous deux se cachant dans un abri. Dans la planque, l’anglais commence à déliré, il parle de monstres,
de morts ressuscités, d’esprits malfaisants, …
Le rescapé américain, Simon Bunker, ne comprend rien au charabia du soldat pétant un fusible. N’ayant pas le
temps de calmer le rosebeef, qu’il se tranche la gorge avec sa baïonnette. Simon veut fuir cet enfer, mais va
se retrouver au cœur d’un enfer qu’il ne s’attendait pas…
Dégommant les allemands au détours des tranchées, il s’avèrent que ces derniers se relèvent de leurs blessures.
Les armes conventionnelles n’ont pas l’air d’empêcher les allemands revenus d’outre-tombe de l’assaillir.
A force de tirer dans le tas, il remarque que seuls les balles en pleine tête, les tues définitivement.
C’est ainsi que Simon arpente les tranchées, enjambant des cadavres, faisant exploser des têtes, et en
cherchant la solution à ce mystère… des plus démoniaques !!
Au fil de sa tuerie, il découvre que cette guerre, la plus monstrueuse que la terre est connue, est réveillé
une force surnaturel, qui sévissait au IXème siècle. Dans un champs de ruine, Simon doit combattre une forme
aérienne et voluptueuse, que sa blancheur contrastait à la noirceur de la nuit, et qu’il prenait au premier
abord par un ange. Cette forme a l’aspect angélique n’était rien d’autre qu’un démon, qui se trouvait sur le
passage de Simon. Un combat à mort venait de commencer…
Le spectre terrassé, Simon récupère un artefact en ses entrailles. Au fil de ses péripéties et de ses rencontres
pas très amicale, il découvre que les ténèbres ont été réveillées par un scientifique allemand : Zimmerman. Ce
dernier, féru d’histoires occultes, souhaite découvrir l’arme absolue pour assurer la suprématie de la race
allemande. Mais en pratiquant ses recherches dans une Europe dévastée à la terre meurtrie, Zimmerman a
déchaîner la fureur des ténèbres et réveillé d’innombrables monstres…
Simon Bunker n’est pas au bout de ses peines, étant le seul espoir de l’humanité, il va tenter de déjouer
les plans de Zimmerman, tout en empêchant les zombies ou autres hordes de démons d’envahir la planète…
Sortie le 08 mars 2014
Suite d'Henri 1er. Adaptation du jeux du même nom. Sa suite Wolfenstein.
Wolfenstein
Réalisatrice : Alexandra De La Boulaye
Acteurs : Klaus Krumholtz, Carrie Mirren, Joel Mendel, Rebecca Yusef
B.J. Blazkowitz est un Marines est un Ranger décoré et recruté dans le cadre d’une mission secrète et
peu orthodoxe. En effet, le Bureau des secrets américain à décidé de l’envoyer en Allemagne, au château
de Wolfenstein, pour contrecarrer les plans démoniaques d’Himmler. En effet, ses soldats de la mort ont
découvert un mystérieux manuscrit, du coté de Verdun, relatant des fait étranges durant l’année 1916.
Dès lors, se dernier qui se prenait pour un prince des ténèbres, à l’intention d’utiliser cette découverte
à la gloire du Nazisme…
Le Marines, parachuté dans les montagnes de Harz, en Allemagne centrale, se fait repéré et capturé par la
ravissante mais sadique Helga Von Bulow. C’est elle qui mène les travaux sur le grimoire, au château de
Wolfenstein. En effet, elle a étudiée l’ésotérisme sous toutes ses coutures, du plus ancien au plus moderne…
C’est ainsi, que dans les entrailles du château, par diverses incantations, qu’elle libère les forces démoniaques
qui ont autrefois dévasté les tranchées de Verdun. Pendant ce temps, B.J. réussi à se libérer de ses entraves,
et à trucider son geôlier, qui s’apprêtait à le torturer…
B.J., toujours prompt à accomplir sa mission jusqu’au bout, devra non-seulement combattre des allemands lancés
à ses trousses, mais en plus une horde de zombis et autres créatures démoniaques qui ont totalement échappés
au contrôle d’Helga…
De plus, Himmler à promis à Hitler, que ses recherches serviront à la création du Super-Soldat, un mélange
de mécaniques et de chairs humaines. Ce curieux mélange, au parfum des ténèbres, se fera sous l’égide de
l’officier Nazi Wilhelm Strasse.
Le soldat américain, qui s’échappera du château par des catacombes infestés de revenants et d’allemands n’en
revenant pas, devra trouver le laboratoire secret du mystérieux Strasse. La survie de la démocratie en dépend…
Sortie le 15 mars 2014
Suite de Nécrovision. Adapté du jeux "Return to castle Wolfenstein. Sa suite : Painkiller, le commencement.
Painkiller, le commencement
Réalisatrice : Alexandra De La Boulaye
Acteurs : Robert Jones, Rose Henriksen, Raoul Sagnier, Whitney Salmon
Que Diable !! Oui, c’est le cas de le dire ! Lucifer est fou de rage, malgré ses implications et ses
influences sur la terre, ses noirs desseins n’ont jamais aboutis. Il avait nourri tant d’espoirs en la
personne d’Henri 1er, roi de Germanie, avec qui il avait fait un pacte, et qui s’ensuivit de sombres
évènements à travers l’histoire…
Hélas pour le maître des enfers, il n’eut jamais gain de cause sur l’humanité. Sa soif de pouvoir le conduit
à prendre des mesures extrêmes. Il soulève lui-même une armée qu’il a l’intention d’envoyer sur le Paradis…
Pendant ce temps, il confie à l’un de ces fidèles lieutenant, Allistor, la tâche de recruter des humains prompts
à servir le mal. La moisson sur terre se fait dans la plus totale indifférences des cieux. Enfin presque !
Les anges contemplent le travail du démon Allistor, mais ne décide pas d’intervenir dans l’immédiat. Tous ceux
qui tentent d’échapper à son destin, est impitoyablement pulvérisé par la force herculéenne d’Allistor…
Le Paradis décide finalement d’agir et d’envoyer l’ange guerrier le plus redoutable. C’est ainsi que Gabriel
descend sur terre et se voit confier la difficile tâche de combattre Allistor et ses âmes damnés. Allistor,
connaissant la valeur de son ennemi préfère quitter le champs de bataille, et laisser ses subalternes déchus
périr à sa place. Gabriel décime le mal avec son épée flamboyante…
Allistor, qui à fuit devant l’ennemi, est relégué en démon de seconde zone par Lucifer. Ce dernier fait
finalement le travail lui-même. Il réuni des milliers d’âmes déchues. L’ange Gabriel se dresse devant lui
comme une fière statue étincelante. Le combat fait rage entre les deux valeureux adversaires. Gabriel qui
était le guerrier le plus aguerri du Paradis, se voit mettre en difficulté par son pire ennemi. L’affrontement
dure des jours, aucun des deux ne cède. Finalement au bout du septième jour, temps qu’il a fallu à Dieu pour
concevoir la Terre, Gabriel commence à avoir des signes de faiblesse. A bout de force, Gabriel est finalement
terrassé par Lucifer, qui brandit la crinière blonde de l’infortunée Gabriel en signe de victoire. Le démon,
arborant fièrement la tête de l’ange comme un trophée à sa poitrine, réunit toutes ces forces démoniaques
disponibles…
Lucifer part à l’assaut du Paradis avec ses hordes de démons. Le Paradis tremblant devant la tournure des
évènements, espère un miracle…
Sortie le 22 mars 2014
Suite de Wolfenstein. Idée original inspirée des jeux Painkiller. Prologue à la trilogie Painkiller, déja sortie par les studios.
Chroniques funèbres : Les dents de la sagesse...
Réalisateur : Sergiot
Acteurs : Joel Mendel, Rebecca Yusef, Yvan Ohé, Eva M'Gonfler
Dans les bas-fonds de New-York, au croisement de deux ruelles lugubres, s’étendent sur le sol des cadavres
baignant dans leur sang. Il s’agit d’une famille composée de cinq membre : les parents, deux frères en bas
ages et un nouveau-né…
Voici leur histoire :
Année 2014. Outres les autorités officielles, il subsiste un maître dans l’ombre de cette mégalopole, dont
le ciel est voilé par tous ces gratte-ciel. Il s’agit de Victor Von Sidow, un richissime homme d’affaire.
C’est un intellectuel averti, intéressé par tout ce qui l’entoure, côtoie des clubs d’érudits, d’une rare
courtoisie, …
On dit que cet homme, ne sortant qu’à la tombée de la nuit, est sans âge ! C’est effectivement vrai, car
c’est un vampire. Mais pas n’importe lequel, c’est lui qui est le maître incontesté de toute sa communauté
à travers le pays…
Victor ne compte plus les siècles de son existence. Au début sauvé par la lèpre, par quelqu’un qu’il pensait
être une âme charitable, avant sa transformation en démon. Vivant de meurtres pour assouvir les instincts
les plus primaires de sa condition. Voyant ses amis et frères de sang se faisant exterminer par les chasseurs
de vampires. Pour subsister dans ce monde qui ne l’acceptait pas, tout en étant conscient de sa part de
responsabilité, il décida de s’éloigner de ses congénères et de ne vivre que pour lui…
C’est ainsi qu’il augmenta sa fortune en épousant de vieilles veuves, qu’il faisait succomber par une étreinte
mortelle. De temps en temps lui arrivait-il de tuer de jeunes play-boy, et d’endosser leurs identités.
Avec sa fortune accumulée, il commençait à recruter des vampires ayant les mêmes pensées, et de partir
en croisade...
Il était temps de ne plus se comporter comme des loups avide de sang, et qu’ils soient pourchasser comme
des bêtes. Les choses devaient changer ! Victor, avait créé, parmi toutes ces entreprises, une société de
don du sang. Et en coulisse, une partie de ces dons servaient à nourrir ces troupes vampiriques. Les vampires
se devait d’être des êtres respectables…
C’est ainsi qu’une guerre entre vampires éclata. Les vampires récalcitrants devaient se soumettre et vivre
en harmonie avec l’humanité, ou bien périr. L’armée de Victor Von Sidow s’agrandissait de jour en jour,
et écrasait toutes résistances…
Cette guerre fratricide eut lieu il y a 40 ou 50 ans. Terminé les meurtres, le monde à même oublié qu’une
légende avait pour démons des vampires… Depuis Victor, est craint et respecté, il est même surnommé le sage…
Cependant, un groupe de vampires marginaux venant des pays de l’est, débarquent à New-york, ils sont décidés
à renversés Victor. Ils se considèrent comme des prédateurs, et non-pas comme des marionnettes. Ils
essayent de retrouver le maximum de vampires, ils veulent leur faire retrouver leur instinct animale.
La tendance se fait inverse, de plus en plus de vampires repartent dans le coté sombre de leurs personnalités.
Les agressions et les meurtres augmentent de façon spectaculaire en ville (voir prologue).
Comment Victor va pouvoir enrayer cette calamité ? Est-ce la fin de son monde ?
Sortie le 29 mars 2014
Une idée comme ça...
Mystical war
Réalisatrice : Gina Vinding
Acteurs : Joshua Glau, Rose Henriksen, Ron Taufen, Summer Whittall
Dans un monde dévasté par la haine et la violence. Où seuls les peuplades les plus forts survivront.
Un clan se détache parmi les autres, car il a toujours su faire face et triompher de l'ennemi.
Il s’agit d'une tribu mystique, avec des hommes et des femmes nécromanciens. Ils ne vivent que pour
servir le mal et semer le chaos tout autour d’eux…
Leur antre est gardé par des gnomes à l’allure repoussante, des êtres démoniaques invoquées lors de messes
noires, et entièrement dévoués à leurs maîtres. Tout le territoire est régulièrement parcouru par les
chevaucheurs de loups, les êtres montant leurs montures sont recouvert d’une épaisse fourrure, ce qui ne
les distingue pas de leur destriers sombres aux yeux rouges. Les plaines arides se font également foulées
par les cavaliers druide, des magiciens qui ne puisent leurs pouvoirs que par le sang de leurs victimes…
Le chef du clan, vient de décider d’une chose importante pour l’essor de sa tribu. Annihiler tous ses
adversaires !! Tous les hommes en age de porter une arme (à partir de 12 ans) s’équipent et s’entraînent
pour être prêt afin de mener cette guerre qui s’annonce imminente. Les plus robustes des hommes endossent
les armures des maîtres d’épées, dont l’étincelance de l’armure peut se voir à des kilomètres. Les magiciens
invoquent d’anciens combattants des temps immémoriaux, tel des phœnix renaissant de ces cendres…
Les clans ennemis qui ont eu vent de cette guerre imminente, tentèrent d’y mettre un terme. Mais en vainc,
chaque assaut fut repoussé dans la plus totale sauvagerie.
Maintenant que l’armée est prête et prompt au combat, la campagne peut commencer. Les troupes sont en marche…
Sortie le 05 avril 2014
Idée inspirée du jeu en ligne "Mystical War".
Soul Calibur
Réalisatrice : Virginia Kruger
Acteurs : Raphael Kinworthy, Gwendolyn Chant, Yvan Ohé, Eva M'Gonfler
Depuis des temps immémoriaux le mal et le bien s’affronte dans des combats dévastateurs. C’est dans ce
contextes, sue deux lames sacrées furent fabriquées : Soul Edge, l’épée maléfique, qui se nourrit des âmes,
et Soul Calibur, l’épée céleste. Lors du dernier combat entre les deux épées, la Soul Calibur arracha la
victoire. La Soul Edge fut brisée en quatre morceaux et envoyés aux quatre coins du globe…
Isabella Valentine, dit Ivy, est une redoutable combattante envoyée rechercher les quatre morceaux de la
fameuse lame. Ivy manie avec une rare dextérité son épée qui peut se transformer en chaîne, et attaquer par
traîtrise ses adversaires. Elle n’obéit qu’à son maître Inferno, qui est l’âme de l’épée maudite. Et pour
retrouver une forme charnelle, la soul Edge doit être assemblée….
Déjà le père d’Ivy, Cervantes de Leon, un pirate des mers du sud, avait tenté cette mission et échoué dans
sa tâche. Ivy veut vengé son père, et rassembler les morceaux. Elle serait ainsi la guerrière la plus puissante
du monde, et pourrait même renverser son maître.
Dans son aventure, Ivy devra affronter d’innombrables guerriers qui tenteront de lui barrer la route. Elle
va devoir se battre contre Siegfried, l’ange du bien et détenteur de la Soul Calibur, qui à jadis terrassé
son père.
Siegfried est d’ailleurs l’un de ces premiers adversaires, la haine qui anime Ivy, en fait une femme
redoutable. Siegfried ne peut parer tous les coups. Ivy arrive à lui dérober son épée. Armée de deux armes,
elle fait un saut au-dessus de son adversaire, quelques secondes plus tard, la tête de Siegfried se détache
de son corps.
Maintenant Ivy possède l’épée du bien, et conte bien la corrompre pour servir ses propres intérêts. Tous
ceux qui oseront se mettre au travers de sa route le paieront de leurs vies…
Ivy sera bientôt en possession de l’épée du bien et du mal…
Sortie le 12 avril 2014
Un bon jeu, dommage qu'il ne soit pas disponible sur PC...
Padebol, la face cachée de vos Peoples
Réalisateur : Sergiot
Acteurs : Erik Jezek, Demetra Torkildsen, Raoul Glau, Rebecca Yusef
Des révélations sur des acteurs de GM. Nos journalistes ont suivi pendant un mois quatre acteurs connus ou
méconnus qui peuplent vos écrans.
Erik Jezek étant un émigré mexicain, il a reçu ce jour un courrier du ministère pour le renouvellement de sa
carte de séjour. La lettre annonciatrice de mauvaises nouvelles, la carte ne sera pas renouvelé, et Erik a
deux mois pour quitter le territoire. Erik va devoir faire face à l’administration pour faire valoir ses
droits. Il devra lutter contre l’autorité pour ne pas perdre ces privilèges. Malgré notre siècle, les
procédures sont toujours aussi lourdes et compliquées à faire. Erik à un choix à faire, si sa carte n’est
pas renouvelée, retournera t-il dans son pays, ou deviendra t-il un sans papier ?
Demetra Torkildsen est une femme mal dans sa peau. Malgré ces nombreux films tournés à GM, elle ne se trouve
pas attirante, et à peur de ne plus être engagée par les producteurs. Pour se trouver toujours plus belle aux
yeux des autres, elle est tombée dans l’anorexie. Les médecins sont inquiets sur son été de santé, tant physique
que mental. Les spécialistes ont finis par lui faire entendre raison, et qu’elle doit se ressaisir
impérativement. Durant un mois, nous suivrons son parcours pour retrouver un poids idéal, car sa vie
peut en dépendre…
Raoul Glau est un p’tit prodige du cinéma. Malheureusement, depuis quelques jours il a disparu, dans des
circonstances des plus étranges. Nos journalistes suivront les enquêteurs dépêchés sur cette enquête.
Aucunes piste n’est mis de coté. Les soupçons se porteront d’abord sur les parents, dont la mère à fait
plusieurs séjours à l’hôpital psychiatrique. Les ravisseurs ne sont pas à exclure aussi, pour demander une
rançon. Des hommes-grenouilles seront à la recherche de son éventuel cadavre dans le lac à 200 mètres de
la maison. Et chose étonnante, les policiers feront appel à un médium…
Rebecca Yusef est incarcérée à la prison depuis 2 semaines. Son délit ? Possession et consommation de drogue.
Avec son avocat, ils élaborent une stratégie de défense dans l’attente du procès. Car la confrontation avec le
juge aura lieu dans un mois. Suivez Rebecca qui devra faire preuve de courage, de force et de discernement,
dans cet épreuve difficile, dont l’issue est incertaine, jusqu’au jour J de son procès...
Sortie le 19 avril 2014
Une idée comme ça...
Détails d'un meurtre
Réalisateur : Barry Hunter
Acteurs : Erik Jezek, Demetra Torkildsen
14 février, une date qui embaume le cœur de Nadia, non seulement c’est la St Valentin, mais en plus c’est
la date d’anniversaire de la rencontre avec son chéri qui se prénomme comme ce jour de fête : Valentin. Si
ça, c’était pas un signe du destin !!
En ce mardi, elle mitonne de bons petits plats pour que Valentin passe une agréable soirée en sa compagnie.
Quand il rentrera de son boulot, il ne pourra être que satisfait par les efforts de Nadia. Elle met des
bougies et de l’encens partout dans le salon, décor la table de pétales de roses, …
Lorsque Valentin rentre de son, travail, il est agréablement surpris par tant d’attentions. Accompagnés de
quelques paroles amoureuses, il lui tend un bouquet de fleurs qu’il vient d’acheter. Quand Nadia prend le
bouquet, elle remarque que quelque chose brille au milieu de ces plantes. Une magnifique tulipe blanche
dépasse légèrement du lot, et autour de sa tige, un bague en diamant. Tous deux heureux comme au premier
jour, décident de se mettre à table pour bien commencer la soirée…
A peine le rôti servi, que la sonnette retenti dans la demeure, Valentin se lève pour ouvrir. A-t-il
entrebâiller la porte, qu’il se fait assommer par un coup de poing. Nadia, ayant assister à la scène,
reste tétanisée sur sa chaise. Cet inconnu qui s’est introduit chez eux par la force, n’est rien d’autre
que l’ex de Nadia, Alex, que celle-ci a largué y’a de cela quelques année.
Valentin se réveil de son sommeil forcé, il se retrouve bâillonné et ligoté sur une chaise. En face de lui,
cet homme mystérieux qu’il n’a jamais vu, entrain de torturée sa bien aimée…
Alex a également attaché Nadia sur une chaise, il lui a déchiré tous ces vêtements. Nue comme un ver, elle
est à la merci de son ex. Le rôti encore chaud, et sa sauce bouillante, qu’il lui verse le liquide dans la
gorge. La douleur tellement intense l’empêche de crier, et plus aucun mots ne peuvent s’échapper de sa bouche.
Après, il saisit des bougies fumantes avec la cire dégoulinante, et les lui étale partout sur le corps. Nadia
se retrouve vite recouverte de cire qui n’a mis que quelques secondes à sécher.
Alex se déshabille à son tour et commence à la violer, devant Valentin. Nadia à peine consciente pousse de
légers gloussements. Valentin, quant à lui essaye de se libérer de ses entraves, mais en vain. Au bout d’une
demi-heure de fornication, Alex s’allume une clope, et l’écrase dans ses yeux bleus qui fondent sous la
chaleur. Nadia tressaille de douleur, mais n’a plus l’air de réagir aux sévices de son ex…
Alex se lève et se saisit du couteau qui devait normalement couper le rôti. Délicatement et avec attention,
il sectionne la carotide de Nadia. Le sang gicle de son cou, recouvrant tout le corps de la pauvre. Le plus
atrocement possible, la vie finit par quitter la dépouille ensanglantée de Nadia.
Maintenant au tour de Valentin, ça va être sa fête…
Sortie le 26 avril 2014
Une idée comme ça...
Sous surveillance !
Réalisatrice : Alexandra De La Boulaye
Acteurs : Alex Blakstad, Elizabeth Berger
Londres est une ville crée par les romains il y a plus de 2000 ans. Pendant des siècles, elle fût la ville la
plus peuplée du monde. Aujourd’hui, à défaut d’être la ville comptant le plus d’habitants, c’est la ville qui
compte le plus de caméras par citoyen…
Cette surveillances accrue des Londoniens inquiète certaines associations, et en rassure d’autres. En tout cas,
un homme a su profiter de cette opportunité. De la porte ouverte que les caméras lui confère sur la vie privé
des gens. Il s’agit d’un p’tit génie de l’informatique qui a su pirater les connexions de la vidéosurveillance,
et s’introduire dans les systèmes de la capitale…
Depuis son studio, sur ces deux écrans d’ordinateurs, il peut espionner tous les habitants via les caméras de
surveillance, il peut même les contrôler à distance !
Cet intrus, ce violeur de la vie privé des gens ne fait pas ça dans un but de voyeurisme. Il à un objectif
financier, c’est de repérer certaines personnes qui ont des choses à cacher, et de les faire chanter.
Il a commencé par mettre son dévolu sur Victor, une personne âgée tout à fait respectable. Enfin, en apparence !
Malgré l’age du vieil homme, il sait utiliser le net comme un enfant de 10 ans. Le problème, c’est qu’il se
fait passer pour un enfant de 10 ans…
Une autre victime du maître chanteur est une pauv’fille d’un établissement scolaire. Une nana se prénommant
Jenny, marié avec des gamins, qui ne manque pas une occasion de tromper son mari. Ces aventures extraconjugales
risquent de lui coûter très cher…
David est un p’tit dealer de seconde zone, il cultive lui même les plants de cannabis au fond de sa chambre.
Il consomme ces propres produits, et vend le surplus aux gamins du quartier…
Ce ne sont que des exemples, parmi les dizaines d’autres individus alpagués par cet homme qui va mettre à son
profit tous les secrets qu’il a découvert. Son appartement fourmille de notes, de quoi faire frémir pas mal
de citoyens…
Certains ont craqués et finit par alerter les autorités, malgré les risques encourus auprès de ceux-ci. En
parallèle, des anomalies ont été constatés dans les systèmes de vidéosurveillance. Une unité spéciale est
créée, et les deux affaires sont vites reliées.
Si cette unité arrive à mettre la main sur ce hacker, ils risquent de découvrir plus de choses qu’ils
n’imaginaient…
Sortie le 03 mai 2014
Une idée comme ça...
Le phare de Nividic
Réalisatrice : Stefanie Noyes
Acteurs : Bill Hingue, Elizabeth Berger
Un couple débarque au large de l’île d’Ouessant, dans le Finistère. Ils doivent occuper le phare de Nividic
pendant tout l’hivers. Ce phare est situé à la limite de partage des eaux entre la Manche et la mer d’Iroise
dans l’océan Atlantique. Il s’agit de l’une des zones de traffic important et l’une des plus dangereuses dans
le monde.
L'un à une cinquantaines d’années, alors que l'autre est simplement sa fille. Ils prennent possession des
lieux. Ils ont été investis de ce travail un peu à la dernière minute, car le dernier résident, ne supportant
plus la solitude, c’est jeté du haut de l’édifice…
Les deux persnnes s’installent, se répartissent les affaires, et chacun vaque à ces occupations pour tuer le
temps. Car gardien de phare peut devenir vite lassant. De plus, ils n’ont pas grand chose à se dire, et
s’adressent à peine la parole.
Les jours passent et se ressemblent, le vieil homme passe sont temps sur son ordinateur portable connecté à
internet via une liaison satellite ? Quant à sa fille, elle passe des heures à lire des livres qu’elle a
ramené, en plus de ceux laissés par l’ancien occupant.
Depuis leur arrivé, la météo n’a fait que de se dégrader, rendant impraticable toute navigation dans le
secteur. Les sombres nuages empêchent toutes correspondances satellitaire. La puissance et le déchaînement
des éléments fait sauter les vagues à plus de 40 mètres, submergeant le phare. Malgré son age, l’architecture
qui s’élève comme une offense au dieu Poséidon, résiste à toutes les attaques de l’océan.
Malgré le temps infernal, la perte de l’électricité, de toutes correspondances avec le territoire, le couple
reste serein. L’homme qui a une carrure assez forte, et un bon coup de fourchette, passe ses journées en se
goinfrant de ce qu’il trouve dans les placards, le temps que tout redevienne à la normal. Sa fille, qui à
dégoter une lampe à huile continue à lire ces bouquins.
Le calme qui contrastait avec le désordre extérieur est soudainement rompu. La femme engueule son père qui
puise dans les réserves de nourriture, sans penser aux conséquences. Et si la tempête devait durer trop
longtemps ? Elle finit par avoir gain de cause, et imposa un rationnement strict jusqu’à la fin de se calvaire…
Or l’estomac du vieux criait famine, dès que la nuit fût tombé, il engloutissa tout ce qui pouvait rester de
mangeable. A l’aube, quand sa fille le vit entrain de se lécher les doigts, lui balança des assiettes à
travers la figure tout en l’injuriant. Mais il avait un sourire moqueur en la regardant. De plus, en voyant
la tenant la lampe à huile pour s’éclairer, il se souvenait que ces types de lampes se chauffaient avec de la
graisses animale, et c’est toujours bon à se mettre dans la panse…
Il sauta sur la pauvre femme, et failli l’étrangler en lui arrachant la lampe des mains. Il ingurgita
immédiatement le liquide. Sa fille, se remettant de cet agression, prit un long couteau de boucher, et
l’éventra de haut en bas, avant même qu’il comprenne ce qui lui arrivait…
La pauvre femme, devenue à moitié folle, n’avait plus de quoi s’éclairer. Elle décida de mettre une autre
graisse animale pour rallumer sa lampe à huile, celle de son père…
Va-t’elle pouvoir vivre uniquement de lecture en attendant que la tempête se calme, et l’arrivée des secours ?
Sortie le 10 mai 2014
Une idée comme ça...
Heroic Fantasy Bloodline
Réalisateur : Sam Courtenay
Acteurs : Jack Carta, Francesca Feldman, Bill Hingue, Marie Bew, Pierre Mirren, David Wieczorek
Ludwig est un jeune adulte qui continue à vivre dans l’imaginaire. Tout petit, aux alentour des années 2000,
il avait vu des films de héros légendaires, de créatures imaginaires, de personnages aux pouvoirs surnaturels.
Mais ce monde peuplé d’extravagances qu’il chéri temps, est bien loin aujourd’hui. Dorénavant, il ne peut rêvé
de ces films, qui ont bercés son enfance, qu’en fermant les yeux…
Nous sommes en 2015, déjà un an que la guerre à éclaté contre les Etats-Unis, gouverné par un despote, et
le reste du monde. Une partie de la planète ressemble à un vaste désert aride où la mort règne en maître.
De part et autre du globe, des bombes atomiques ont été lâchées sans ménagement. Ludwig à perdu toute sa
famille dans ce chaos, et les radiations nucléaires ont bouffées une partie de son visage…
Ludwig est l’un des rares survivants de son unité, et à avoir été capturé par l’ennemi. Comme des milliers
de d’hommes, de femmes ou d’enfants, il est envoyé en Afrique pour extraire des minerais. Il se retrouve
dans les montagnes rocheuses de l’Arabie Saoudite. Pour lui, commençai un enfer d’extraction et d’humiliation.
Car les plus faibles étaient balancés du haut des falaises…
Au bout de quelques semaines d’efforts et de survie, à ne respirer que de la poussière et à manger lécher
des pierres, Ludwig finit par fracasser sa pauvre pioche contre un objet métallique. Pour ne pas se faire
repéré, il planque l’objet derrière des pierres, pour y revenir la nuit tombée. Surtout, qu’il n’aura pas
grande marche à faire, vu qu’il est enchaîné à l’endroit même de son poste. Comme tous les autres bougres
qui finirons par périr de toute façon…
La nuit venue, il va chercher l’objet, un objet cylindrique couverte de symbole. Il est amovible, car un
certain nombre des symboles, comme des parties de l’objet peuvent être manipulés ou déplacés. Ludwig les
bouge dans tous les sens, espérant ouvrir ou enclencher quelque chose. Mais rien n’y fait ! Il s’acharne
pendant plusieurs minutes, puis de rage jette l’objet contre les parois. Sous la fatigue, il ne faut même
pas quelques secondes à Ludwig pour s’endormir. Comme toutes les nuits, il rêve de ces films d’antan, lui qui
aimerait incarner le preux Aragorn combattre les hordes de Sauron, être Eragon chevauchant un magnifique
dragon, ou encore dans la peau d’un petit sorcier binoclard…
Ludwig rêve, il rêve pour échapper à la réalité…
Une étrange lueur anime l’objet, les symboles se mettent à tournoyer dans tous les sens, puis une fumée
bleutée s’échappe du réceptacle. Dans un silence funeste, cette fumée émanant de l’objet s’approche de
Ludwig et est aspiré par ses narines. Les rêves de Ludwig s’entremêlent, ça cogite dans son p’tit cerveau,
tout son corps est en convulsion. Puis comme par enchantement, ses valeureux personnages se matérialisent.
Le rêve est devenu réalité…
Eragon, Gandalf, Caspian, Damodar, Harry, et tant d’autres ont pris formes et vies dans cette grotte qui pue
le rat crevé. En un éclair, tous ces personnages s’attaquent aux geôliers. Des cris de terreur et de démence
se font entendre dans toute la vallée. Au petit matin, les prisonniers se trouvent libérés de leurs entraves,
dont Ludwig. Sortant de la grotte, tous constatent des corps déchiquetés, calcinés, atrophiés éparpillés un peu
partout…
Les corbeaux qui se régalent des entrailles des macchabées, s’envolent à l’approche des prisonniers libérés.
Bientôt, il sont pris sous le feu ennemi, qui les tiens responsable de ce massacre. Plusieurs camarades tombent
sous les balles. Mais dans un fracas sourd et puissant, les américains sont pulvérisés par des personnages
évadés d’un rêve. Ludwig n’en croit pas ses yeux, lui qui a toujours été cartésien, finit par relié cet
étrange objet découvert, à ses sauveurs…
Est-ce que le monde va pouvoir être sauvé par des héros d’un autre temps, et qui étaient victorieux sur grand
écran ??
Sortie le 17 mai 2014
Une idée comme ça...
Une nuit sans fin...
Réalisateur : Sergiot
Acteurs : Tristan Glass, Shannon Donaggio, Logan Howerton, Sarah Maher
Scandinavie, un petit avion bourré de technologie survole ce territoire au paysage de glace. Sa mission est de
détecter des sources pétrolifères encore inexploité. Au bord de l’engin, Héléna, qui contrôle les appareillages,
Lucie, spécialiste des roches, et Eric, le pilote de l’avion.
Au bout de quelques heures à scanner le sol scandinave, l’objet de leur recherche est enfin repéré au nord du
territoire. Le quadrimoteur se pose au sol, et les 3 passagers débarquent sur la terre gelée. Les deus femmes
descendent le matos pour explorer la zone, et quantifier le potentiel de la source pétrolifère découverte.
Au bout d’une trentaine de minutes, la tempête se lève, et immobilise l’avion au sol. Le trio est obligé de s’abriter
dans une grotte à quelques mètres d’ici. Et pour appuyer encore plus leur malchance, la nuit pointe son nez.
Une fois à l’abri, ils se font un feu de fortune pour se réchauffer, et commencent à observer autour d’eux.
Ils décident d’explorer la galerie, bâton enflammé à la main. Au bout de quelques mètres, ils découvrent un
corps à moitié en décomposition emprisonné dans de la glace. A l’aide des bâtons enflammés, ils font fondre la
glace pour libéré le macchabée, puis décident de le ramener près du feu. Les deux femmes veulent le ramener çà
leur laboratoire pour plus d'études, en plus du pétrole, elle ont p’t’être faites une découverte scientifique…
Le feu crépitant, chacun d’entres aux se racontes leurs vies, leurs joies, leurs déceptions… Alors que le cadavre
se dégèle lentement avec la chaleur se faisant de plus en plus présent. Puis le corps sans vie commence à
trembler, et se lève sur ces deux jambes maigrelettes. Ces yeux rouges fixent les trois jeunes gens qui
ne se sont aperçus de rien, et il ouvre sa gueule béante laissant entrevoir des canines proéminentes.
D’un coup, il saute à la gorge d’Eric, le vidant de tous son sang, et le jette au sol comme un vulgaire
pantin.
Les filles, choquées, immobilisées par cette scène, n’arrivent pas à fuir. Le monstre, toujours assoiffé de
sang, se précipite sur Lucie, qui connaît le même sort. Quant à Héléna, elle finit par réagir, prendre un bout
de fois enflammé, et cours dans les méandres de la grotte. Le vampire ressuscité, renifle le sang frais
bouillonnant dans les tripes d’Héléna, et part à sa poursuite. Face à face, un combat s’ensuit, mais le
vampire reste à l’écart, apeuré par le feu gigotant devant ces yeux. Héléna repart dans l’autre sens,
espérant sortir de la grotte saine et sauve.
Pendant plusieurs heures, elle arrive à tenir à distance le vampire, en attendant que le jour se lève. Mais
curieusement, malgré les heures qui défilent je jour n’apparaît toujours pas. Comme un flash, elle se souvient
soudainement que dans cette partie du monde la nuit dure au moins 6 mois. Le pilote et sa coéquipière morts,
comment va-t-elle survivre face à cette menace assoiffée de sang. D’autant plus qu’elle commence à manquer de
feu pour se défendre…
Sortie le 24 mai 2014
Une idée comme ça...
La brute
Réalisatrice : Alexandra De La Boulaye
Acteurs : Klaus Krumholtz, Elizabeth Berger
Une aube crépusculaire apparaît au-dessus de la ville. Les rayons du soleil percent la fine couche nuageuse,
pour venir se perdre dans les ruelles de la cité. Dans la fraîcheur matinale, des badauds regardent d’un air
médusé une foule de gens s’engouffrant dans une porte dérobé d’un vieux bâtiment.
Toutes ces personnes ont payées chers leurs places pour venir assister à cette manifestation. D’autant plus
que les paris sont ouvert sur l’issu du combat. Comme dans les arènes de la Rome antique, c’est le public
qui décide de la mort du perdant. Dans ce cas, c’est le vainqueur qui l’achève au milieu du ring.
Dans sa cellule, un homme d’une corpulence impressionnante reste assis sur son banc, la tête entre les jambes,
les mains sur son cuir chevelu. Il repense à ces précédents combats, toutes ces vies qu’il à pris, que ces
seuls trophées pour avoir remporté un combat ne sont que des accessoires supplémentaire pour vaincre son
ennemi. Que pour sortir de cet enfer, il doit gagner touts les combats, ou mourir sur le ring…
Trêve de réflexion, ce mastodonte que la nature à rendu fort comme un roc, doit se préparer. Il examine toutes
les armes dont il peut avoir besoin lors de cette lutte. Il ne connaît pas son adversaire, qu’elles armes il
utilisera, ces points forts ou ces points faibles. Il finit par faire son choix sur une massue, une lance,
et quelques autres armes affligeant de lourds dégâts.
Il va prendre un animal pour l’aider dans sa tâche, mais il n’a pas à choisir, il ne possède qu’un chien, pas
très féroce, et pas très endurant. Un cabot remporté lors d’un précédent trounoi. Mais bon, ça peut toujours
être un allié imprévu.
Lors de ces entraînements, il a toujours privilégié la force au détriment de la rapidité ou de l’agilité.
Il sait qu’il doit frapper fort, et asséner des coups dont l’adversaire ne pourra pas s’en remettre.
La salle se chauffe, des cris retentissent dans tout le bâtiment. Sous les acclamations et les applaudissements
des spectateurs, la brute fait son apparition. Il escalade le ring et saute en son centre. Il lève les poings
et pousse un rugissement. La silhouette de la bête impose le respect, et le silence se fait dans l’assistance.
Des pas lourds viennent interrompre ce calme provisoire. Son adversaire, accompagné d’un grizzli, apparaît dans
la salle. Les spectateurs grincent des dents. Le combat va pouvoir commencer…
Sortie le 31 mai 2014
Idée inspirée du jeu en ligne "La Brute"
Un amour de famille
Réalisateur : Alan Staite
Acteurs : Raoul Sagnier, Virginia Lathan
Ce jour, un procès retentissant, qui attire tous les regards de la métropole, va se dérouler dans le tribunal
de grande instance de Nantes. Deux personnes, encagoulées, entourées d’un cordon de CRS, se faufilent dans le
bâtiment, sous les insultes des badauds, et les flashs des journalistes.
Les accusés, Jean et Berthe, s’installent devant le président, les avocats à leurs cotés. Ils sont accusés
de viol, inceste et pédophilie…
Rappel des faits : Pendant des années, dans un climat de violence et d’alcool coulant à flot, les parents
Jean et Berthe abusaient sexuellement de leurs quatre enfants. Cette déviance commença quand les jumeaux Loïc
et Mathias avaient cinq ans, Lucie neuf ans, et Damien quatorze ans. Damien était régulièrement contraint
d’avoir des rapports avec sa mère, sous le regard vicieux de son père. Alors que les autres enfants devaient
obéir aux ordres pervers pour échapper aux coups de ceinture.
Les enfants, élevés et habitués à cette vie de débauche familiale, se violaient mutuellement. Ils forçaient
même des camarades d’école à satisfaire à leurs sadismes. Le comportement bizarre des quatre enfants, et
la plainte de plusieurs élèves tétanisés qui ne voulaient plus venir en cours, ont alertés les autorités.
Une enquête officielle fût diligenté, et l’innommable fût découvert…
Les quatre enfants furent placés dans des centres d’accueil, tandis que les parents furent arrêtés. Mais les
enfants continuaient à assouvir leurs pulsions sur d’autres enfants désœuvrés. Lucie poussa le vice à violer
un chien…
Pendant leur garde à vue, les policiers découvrir que l’horreur fut poussé à son comble quant le couple prêta
leurs enfants à un autre couple qui abusait également d’eux. D’ailleurs, ils feront l’objet d’un autre procès,
vu que le mari, professeur des écoles, est accusé d’attouchement sexuel sur une dizaine de mineurs…
Après ce rappel des faits par l’accusation, appuyé par différents témoignages, c’est au tour de la défense de
faire entendre son plaidoyer…
Sortie le 07 juin 2014
D’après des faits réels
Pour l'amour d'un fils
Réalisateur : Barry Lassek
Acteurs : Logan Baccarin, Elizabeth Berger
Un soir, en sortant de boite, Paulin et quatre de ces amis sont pris à partis par des inconnus passablement
éméchés. Le groupe de jeunes gens préfèrent les éviter, et s’engouffre dans une ruelle. Ils sont vite
rattrapés par les individus, les mots sont remplacées par les gestes, et une bagarre s’ensuit. Paulin,
qui n’aime pas le conflit, essaye de calmer le jeu. Mais en vain, un des agresseur sort une bataille en
verre, et la lui fracasse sur le crane. Etourdi sous le choc, perdant l’équilibre, il tombe au sol, se
fracassant la tête sur le trottoir. Les amis de Paulin, avant d’appeler les secours, arrivent à faire
fuir les agresseurs. Un long filet de sang s’écoule du cuir chevelu du jeun homme…
Déjà une semaine que Paulin se trouve entre la vie et la mort. Depuis ce soir tragique, Paulin n’a pas repris
connaissance, et les médecins sont réservés sur sa réminiscence. A son chevet, sa mère, Kathlyn. Tous les
jours, pendant des heures, elle reste assise à coté de son fils unique, espérant qu’il sort du coma. Mais
ce jour, des infirmières rentrent soudainement dans la chambre, et font évacuer la femme devenue blême.
Au bout de quelques minutes, un docteur se présente à la mère de Paulin, ce dernier lui informe que son
fils est décédé. Effondrée sur une chaise, de nombreuses larmes coulent de son visage…
Le lendemain, Kathlyn demande au tribunal de pouvoir récupérer le sperme du défunt afin de donner un fils à
son fils mort. Après délibération, le tribunal donna son feu vert et obligea la morgue à conserver le corps
à 39.2°, afin qu’un spécialiste fasse le prélèvement. Kathlyn sait qu’elle va à l’encontre de la moralité,
mais son fils était si doux, gentil, serviable, … Elle veut perpétrer la mémoire de Paulin au travers d’un
enfant qu’elle élèvera comme son fils, lui donner les mêmes valeurs, mais qui est né d'un fils défunt…
Maintenant que la loi a autorisée son projet insensé, elle doit trouver une mère porteuse. Une mère qui
n’aura plus jamais contact avec l’enfant dès sa naissance. Un casting est ouvert au niveau national pour
choisir la mère parfaite…
Sortie le 14 juin 2014
D’après des faits réels
La voie de la rédemption
Réalisateur : Carsten Feldman
Acteurs : Raphael Kinworthy, Gwendolyn Chant, Michael Maher, Gwendolyn Berger
Dans un petit patelin du sud de la France, le conseil municipal doit décider de l’attribution d’un marché pour
la construction d’une nouvelle route municipale. Le tracé de la futur route doit contourné le village pour
désengorger le centre ville des nombreux poids lourds qui mettent en danger la vie de leurs concitoyens…
Un peu plus tard dans la soirée, Mr Rajak se présente au domicile des cinq conseillers, et les convainc assez
facilement d’avoir le marché. Il faut dire qu’il n’est pas venu les mains vides, et que quels enveloppes biens
remplies lui attire toutes les faveurs.
De plus, Mr Rajak avait un exigence, c’était d’établir lui-même le tracé de la route. En effet, il avait des
terrains en bordure du bourg, et avec cette nouvelle départementale, il pourrait y installer un routier.
Ce qui lui rapporterait forcément de l’argent en plus…
Les aménagements cette nouvelle voie impliquait la destruction d’une partie du cimetière, et le déplacement
des tombes. Rajak qui ne pensait que pognons, ne voyait pas l’utilité de perdre de l’argent à exhumer les
corps. Il préféra seulement déplacer les stèles funéraires, et personne n’en saurait rien…
Les travaux achevés, la nouvelle route en fonction, les conseillers véreux et l’entrepreneur pensant à ses
futurs gains, prirent la même voiture pour se rendre en centre ville pour inaugurer cette nouvelle
départementale. Pour faire bien, ils décidèrent d’emprunter cette route pas encore usée par les pneus
des automobiles. Arrivé au niveau de l’ancien cimetière, un forme apparut au milieu de la chaussée, et
contraint le conducteur du véhicule à freiner violemment. Perdant le contrôle, l’auto se retrouve sur le
bas coté. Les accidentés sortent difficilement de l’épave et aperçoivent avec horreur cette mystérieuse
forme s’approcher d’eux, traînant la patte sur l’asphalte. Il s’agit d’un macchabée en décomposition qui
avance inexorablement au devant des quatre hommes tétanisés de peur. Bientôt, le goudron tout autour d’eux
se craquelle, laissant s’échapper d’autres cadavres, tout autour d’eux…
Quelques heures plus tard après ces terribles évènements, la police est à la recherches des conseillers
municipaux qui ne se sont pas présenté à l’inauguration, et qui ont tout simplement disparus. Une voiture
de police aperçoit au loin une épave qui ressemble à celle du maire. La voiture s’arrête pour que les policiers
inspectent les lieux. Avec effroi, les deux hommes découvrent les quatre conseillers municipaux et
l’entrepreneur formant une masse compact incrustée à la route. Comme si ils faisaient partie intégrante
du goudron tout neuf…
Des officielles, et des gens avec des théories plus farfelues les unes que les autres mènent l’enquête…
Sortie le 21 juin 2014
Une idée comme ça...
Une pêche bien juteuse
Réalisatrice : Carrie Vrana
Acteurs : David Hoskins, Violette Purodor
Musique : Barclay Buffett
Adam était un beau jeune homme, qui faisait tomber les filles comme des mouches. Malgré toutes ces prétendantes,
il ne trouva jamais celle qui partagerait sa vie. A vrai dire, il ne s’intéressait pas vraiment aux filles,
mais surtout à l’argent. C’étais quelqu’un d’extrêmement avide…
Mais un beau jour, une personne d’un certain age emménagea pas loin de chez lui. Au début, il n’avait que
faire d’une vieille bigote qui s’installa dans le coin. Au bout d’un certain temps, il se rendit compte que
cette personne descendait d’une riche famille, qui avait fait fortune dans dans l’industrie agroalimentaire.
Son sang ne fit qu’un tour, et chercha par tous les moyens à rencontrer cette femme qu’il, d’un coup, estimait.
C’est en lisant les petites annonces, que l’idée lui vint, cette riche héritière cherche un jardinier !
L’annonce à peine lu, qu’Adam se rendit chez la vieille Agatha. Vu que le jeune homme présentait bien,
et qu’il était le premier sur le coup, il fut immédiatement embauché.
Quelques semaines plus tard, les liens entre Adam et Agatha s’étaient resserrés. Il la faisait rire, avait de
la culture, de la conversation... De simple jardinier, il était devenu homme de compagnie. Dans un premier
temps réfractaires aux atouts ravageurs d’Adam, elle finit par succomber aux charmes irrésistibles de ce
bellâtre…
Un jour de mois de mai, il demanda la main d’Agatha. Envers et contre tous, le mariage fût célébré en grande
pompe. Adam était devenu la bête noire du village, il était régulièrement la proie de la médisance des gens,
entre autre qu’il en avait qu’après l’argent de cette vieille folle. Ceci-dit, ils avaient pas tord !!
Au bout de quelques années, Agatha ayant la peau dure vu qu’elle ne veut pas mourir de mort naturelle, la
patience d’Adam était mit à rude épreuve. D’autant plus qu’il avait déjà donné, un certain nombre de fois,
de sa personne pour soulager les envies de sa femme. Donnant, donnant !!
Un soir d’automne, le vent battait les volets, la pluie résonnait sur la toiture, Agatha lisait un livre au
bord de la cheminée, tout en mangeant délicatement certains fruits. Son mari entra dans la pièce sans dire
un mot, saisit un tisonnier, et se mit à frapper sournoisement la pauvre femme. Le sang giclait partout
jusqu’à ce que le dernier soupir se fit entendre. Il prend la dépouille ensanglantée pour l’enterrer dans
le jardin. De plus, le temps était de la partie, vu qu’il effaça toutes traces…
Le lendemain, dès l’aube, Adam appela la police pour signaler la disparition de sa femme. Au préalable, il
avait déjà contacte tous les hôpitaux de la région pour faire croire qu’il l’a recherchait activement. Malgré
qu’aucunes preuves ne pouvait accuser Adam, l’inspecteur Harris était convaincu de sa culpabilité…
Vu qu’aucunes charges n’avaient étés retenus contre lui, Adam prétextant un traumatisme psychologique, partit
en Europe…
10 ans après ce drame, Adam dut revenir au pays, suite au décès de son père. L’inspecteur Harris, qui est
aujourd’hui à la retraite, à souhaité le revoir pour avoir des explications. Le rendez-vous à lieu dans
l’ancienne demeure où le couple à vécut, mais cette propriété a été laissée à l’abandon depuis le drame.
Parcourant le jardin en friche, les herbes hautes, esquivant les ronces, Adam tente en vainc de convaincre
l’inspecteur de son innocence, et qu’il en à marre ce cet acharnement d’un ex-policier qui devrait occuper
ces journées à faire des puzzles. Harris sait qu’il y a des indices dans les parages, et veut pousser Adam
à la faute…
Adam qui souhaite coupé court à cette conversation houleuse, s’accoude à un arbre, et y prend un fruit bien
ferme. Une pêche si avenante, qu’il ne peut s’empêcher de la croquer. Les yeux révulsés, chutant en arrière,
son chemisier immaculé de sang, affolé, il prend ses jambes à son cou. Harris qui n’a pas pu le rattraper,
s’approche de cette pèche juteuse couleur hémoglobine. Maintenant, il à une idée d’où peut se trouver le
cadavre. Il appel ces collègues, et au bout de quelques heures, son intuition est confirmée. Quand Agatha
fût tuée, elle devait manger une pêche, le noyau involontairement gobé germa dans les entrailles du cadavre
et de la terre, et au bout de 10 ans donna ce magnifique arbre. Un genre de revanche sur la vie !
Maintenant, une chasse à l’homme est ouverte. Les vieux démons du passé ont rattrapés ce pauvre Adam…
Sortie le 28 juin 2014
Une idée comme ça...
La procession
Réalisateur : Barry Lassek
Acteurs : Raoul Glau, Adélaide Lynch
Musique : Cecilia Klimek
Une étrange procession à lieu dans la rue principale du village, des gamins aux visages tristes défilent
paisiblement devant des habitants ahuris. Quatre d’entre eux portent sur leurs frêles épaules un petit
cercueil en bois…
Les passants médusés, trouves que c’est une curieuse façon de s’amuser pour des enfants de leur age. Robby,
qui habite la petite maison au volet bleus au coin de la rue, est le premier à briser le silence. Il s’esclaffe
tout haut « Les pauvres petits, ils ont dû perdre un animal qu’il devait adorer. Certainement un chien ou un chat
». Sur ces quelques mots, Hubert, l’entrepreneur de pompes funèbres, intervint. Il dit à ces concitoyens que
c’est curieux, justement hier, ces mêmes garnement sont venu à son magasin pour poser toutes sortes de question
sur la célébration des enterrements….
Les adultes entres eux, se disent que sa doit être normal, les enfants ont atteint un age où ils se
questionnent sur la mort. Puis c’est autour du docteur du village, enfonçant encore le clou, Les enfants
voulaient savoir comment on peut dire que quelque chose est mort…
Pratiquement tout le village s’était donne rendez-vous aux abords de la rue principale pour assister à cette
marche funèbre. Puis c’est au tour du libraire de faire vivre son expérience avec ces gosses. Quand ils ont
vus dans les gros titres, qu’un condamné à mort a été exécuté sur la chaise électrique, ils se sont empressés
d’acheter un journal…
La maîtresse d’école quand à elle, toujours aussi ronchonne, prit à partit le libraire. « Ah bravo ! C’est
grâce à vous qu’ils ont eu ce journal entre les mains ! Ils ont pas arrêtes de me questionner sur l’exécution,
et pourquoi il a été tué. J’ai dû leur dire, que si on fait quelque chose de mal, on en paye le prix. Ils m’ont
même demandé si le vol était un crime capital. Ben voyons ! Vu qu’ils m’agaçaient, je leur ait dit que je
n’était pas avocat ».
Forcément, l’avocat prit la parole. Il comprenait mieux pourquoi ces garnement le questionnait sur la peine
capitale. Et que seul le juge pouvait prononcer une telle sanction. Le juge mit fin à la conversation en disant
qu’il avait aussi reçu la visite des enfants, ils voulaient tout savoir sur les jurys de jugement…
Pendant que les habitants discutent, la procession qui descend la rue se termine dans un terrain vague. Les
enfants les plus robustes creusent un trou, et y mette le cercueil.
Jaqueline, cours apostrophée en descendant la rue à son tour, elle cherche désespérément son enfant de 8 ans.
Les autres habitants lui disent que son enfant n’est pas avec les autres. Elle le sait bien, mais ils ont peut
être une idée. Depuis que son fils a volé un jouet à l’un des autres enfants, ces derniers ne veulent plus le
voir.
Tandis que l’un des enfants prononce quelques mots sur la tombe du défunt, un silence de mort s’établit dans
l’assemblée. Ils viennent de comprendre ce qui est arrivé au fils de Jaqueline…
Sortie le 05 juillet 2014
Une idée comme ça...
Yussef
Réalisatrice : Lily Bew
Acteurs : Adrian Noyes, Sandrine Bray
Musique : Cecilia Klimek
Sakaka, nord-est de l’Arabie Saoudite. Une soirée improvisée s’est organisée pour fêter l’anniversaire d’Abdul,
un jeune gay qui vient juste d’avoir 19 ans. La plus part des fêtards font partie de la même communauté que lui…
La petite fiesta bat son plein, l’alcool coule à flot, dans les coins ça roucoule…
23h. L’ambiance bonne enfant est brutalement interrompue par le fracassement de la porte d’entrée. De nombreux
policiers entourent la maison, et s’engouffrent dans le bâtiment. Matraquant et arrêtant toutes les personnes
présentes. Ceux qui tentent de s’enfuir ou de résister sont plaqués au sol, et battus à mort…
Ce raid, organisé par « La commission pour la propagation de la vertu et la prévention du vice », n’à pu être
mis sur pied que sur dénonciation d’un voisin.
Yussef, qui travail dans le commerce, et donc ne pouvait se rendre plus tôt à la soirée, arrive au moment de
l’arrestation de ces copains. Dans la pénombre d’une ruelle, il observe au loin, ces amis embarqués dans les
fourgons de la police…
Par peur d’être repéré, il part en courant. Arrivé chez lui, traumatisé par ce qu’il à vu, il n’arrive pas à
fermer l’œil de la nuit. Le lendemain, aux infos locales, le raid de la veille est évoqué en prétextant les
préceptes religieux. Et que deux des interpellés seront prochainement exécutés pour sodomie.
Yussef est malheureux pour ces amis, mais à la fois content de ne pas avoir été chopé. Dans son entourage
proche, personne sait qu’il est homo. Donc, il repart travailler à son magasin. A peine 2 heures après la
prise de son poste, que des flics se pointent à sa boutique, et en ont visiblement après Yussef. Il essaye
discrètement de se faire la belle par la sortie de secours, mais il tombe nez à nez avec d’autres flics. Ne
voulant pas se laisser faire, il se débat comme un diable et ramasse tout ce qui lui passe sous la main pour
amocher les agents.
Lorsqu’il arrive à repousser les policiers, il s’enfuit à tout vitesse, ne regardant pas où il va, il veut être
le plus loin possible…
Les flics semés, Yussef reprend son souffle. Comment ont-ils sût ? Un de ces amis a dû le balancer…
Yussef n’a plus d’alternatifs, il doit fuir, se cacher des autorités…
Sortie le 12 juillet 2014
Film réalisé suite au visionnage de plusieurs photos montrant de jeunes arabes gays pendus…
Fourmis
Réalisateur : Peter Winstone
Acteurs : Bill Hingue, Lola
Musique : Albin Bowie
Point de vue de l’homme :
Depuis quelques jours, une fourmilière s’est établit dans les soubassements d’une petite maison particulière,
dans un quartier résidentiel. Ces petits insectes, tout à fait inoffensif, ont décidé d’investir les lieux, et
de pourvois à leurs besoins les plus élémentaires…
C’est ainsi, qu’une colonne de fourmis s’est crée, longeant le mur du salon, allant jusqu’à la cuisine. Une fois
que le ravitaillement est fait, elles font demi-tour, pour disparaître sous une plainte défectueuse…
Le chat de la maison, qui a repéré le premier le manège de ces drôles de bestioles, s’amuse à les pourchasser,
et à les piétiner joyeusement. Quant à Matthew, un homme d’un certain age qui est le propriétaire, lorsqu’il
remarque que sa demeure est infestée de fourmis, il veut s’en débarrasser jusqu’au dernier.
Matthew vaporise de l’insecticide un peu partout, mais en vain, c’est que les fourmis ont la peau dure. Le vieil
homme, excédé par cet invasion décide d’installer des pièges plus mortels, afin d’éradiquer définitivement la
fourmilière…
Mais curieusement, plus il en tue, plus elles sont nombreuses. Le matou qui continue à faire un carnage dans
les rangs des fourmis, se retrouve vite submergés par les hordes d’insectes. Le chat se retrouve assez vite
avec des milliers de fourmis sur lui, et au bout de quelques minutes, son pelage blanc prend la couleur du
sang. Lorsque les fourmis se retirent de leur festin improvisée, il ne reste qu’une masse de chaire difforme
baignant dans un bain de sang…
Le carrelage du salon grouille de fourmis qui se dirige vers le vieil homme, totalement tétanisé pour prendre
la fuite…
Point de vue de la fourmi :
La reine des fourmis décide de créer une nouvelle colonie dans un endroit qui a l’air paisible. Très vite,
les ouvrières partent en reconnaissance pour trouver de la nourriture. Quelques-unes de leurs congénères les
informent qu’il y a énormément de victuailles dans les parages. C’est ainsi, qu’elles établissent une longue
colonne jusqu’à la cuisine, où le sol est rempli de détritus divers…
La reine est rapidement informée qu’un bon nombre d’entres-elles sont tuées par un monstre à quatre pattes. La
souveraine n’à que faire de la vie de quelques ouvrières, et ordonne que l’acheminement des provisions se
déroule comme prévu.
Encore un peu plus tard, c’est la panique chez les fourmis. La plus part meurt dans des pièges où sont
intoxiqués par divers gaz. Cette fois-ci, la survie de la fourmilière en dépend. La reine veut que les fourmis
soient fermes et intransigeant avec l’ennemi…
Elle regroupe ces troupes et les envoie au combat. Des milliers d’insectes partent à l’assaut de cet étrange
monstre à pelage, et s’acharnent sur la pauvre bête. Au bout de quelques minutes, elles achèvent l’animal.
Elles ont gagné une bataille, mais pas encore la guerre. Les fourmi réunissent toutes leurs troupes dans le
salon pour cet ultime bataille. D’un pas décidé, elles se dirigent vers cet humain, qui va payer cher le
châtiment de leurs courroux…
Sortie le 26 juillet 2014
Une idée comme ça...
Tata nique
Réalisateur : Maxime Pattou
Acteurs : Edward Raven, Amy Wryn
Musique : Basil Bremner
Je suis tout heureux, aujourd’hui je pars en croisière dans un somptueux paquebot de luxe, avec ma tante paméla.
Je m’appelle Lucien, et du haut de mes 13 ans, j’espère vivre une expérience inoubliable au bord de ce bateau.
Quant à ma tante, la cinquantaine bien remplie, le nombre de ces liftings sont plus nombreux que le nombre de
ces années, et donc fais forcément plus jeune. Elle aussi espère bien s’amuser, mais je ne pense pas qu’on
jouera aux même jeux…
On a pas encore terminé notre premier jour de voyage, que ma chère tante a déjà jeté son dévolue sur les mecs
de l’équipage. P’t’être l’attrait de l’uniforme ? Ceci-dit, pendant que je fais bronzette, elle ne sort pas de
sa cabine, d’où sort d’étranges bruits… Elle connaît certainement mieux les membres de l’équipage que le
capitaine lui-même !!
Je n’ai jamais vu une croqueuse d’homme aussi vorace qu’elle. Ma tante n’est jamais rassasiée. Et je sens que
durant le voyage, beaucoup de couples vont se défaire à cause d’elle. J’aurais eu quelques années de plus,
j’aurais certainement passé à la casserole. Idée pas forcément déplaisante ma foi…
Mon intuition ne m’a pas fait défaut, elle est toujours en galante compagnie, et n’hésite pas à draguée devant
les femmes de ces proies. Alors que moi, j’ai trop de mal à vouloir aborder une p’tite minette qui me plait,
depuis trois jours, Paméla enchaînent les coucheries. Les hommes, quelque soit leurs ages, sortent toujours
de la cabine hagard, comme si ils avaient tous vécus une de leur plus grande expérience…
La croisière n’est pas encore terminée, que Paméla veut s’attaquer à un gros poisson, le capitaine en personne !
Ca serait son point d’orgue ! Paisiblement, avec un décolleté plongeant, elle fait de l’œil au chef de bord,
qui manie la roue de navigation. Dans un premier temps réticent, il finit par tomber sous les charmes de
Paméla, et congédie tous ces équipier pour être tranquille. Très vite Paméla se met à l’ouvrage en
s’agenouillant devant le commandant, alors qu’il manie toujours la roue, fidèle à son poste.
Le capitaine, en extase, ne prête plus trop attention aux divers instruments, et à sa roue. Relâchent la roue
de navigation, et préférant contrôler la tête de Paméla, le paquebot dévie de sa trajectoire, fonçant sur des
rochers qui entourent des îles de Pacifique…
Le capitaine qui est aux anges, à une étincelle de lucidité, repousse Paméla, et essaye de rattraper la
manœuvre. Mais trop tard, la mal est fait, la paquebot risque de sombrer au large d’un île. Le capitaine
rappelle tous les membres d’équipage pour préparer l’évacuation. Quant à Paméla, elle pense déjà aux beaux
sauveteurs qui viendront à sa rescousse…
Sortie le 02 août 2014
Une idée comme ça...
Jeanne d'Arc, mythe ou réalité ?
Réalisateur : Barclay Noyes
Acteurs : Adrian Noyes, Laura Whittall
Musique : Robert Sagnier
Jeanne D’Arc, la fameuse Jeanne D’Arc, tant d’invraisemblances ont étés écrites et racontées sur elle !!
N’était-elle pas une pauvre paysanne qui a malencontreusement vu le jour dans une période trouble de
l’histoire de France. Une pauvre fille que l’histoire a retenue comme l’Héroïne qui a sauvé le trône de France.
Mais si l’histoire était tout autre…
Il ne s’agit pas de réécrire l’histoire, mais uniquement d’avoir un sens logique…
Jeanne, à peine adolescente aurait entendu des voix, lui sommant de mettre en défaite l’armée anglaise.
A l’époque, entendre l’enfer ou le paradis, était signe d’hérésie, d’autant plus qu’elle ne pouvait donner
des preuves de ce qu’elle avançait. Alors comment des villageois, même les plus crédules, auraient pu la croire
sur parole. Sans compter le curé de sa paroisse, qui admettrait difficilement qu’on vienne marcher sur ses
plates-bandes…
Enfin, avec sa petite notoriété de sainte, elle finit par voir le dauphin Charles, avec quelques réticences,
il finit par donner une armée à quelqu’un qui ne sait pas magner l’épée, et connaît encore moins l’art de la
guerre. Comment des soldats, des vétérans, des hommes aguerris, ont pu suivre aveuglement cette jeune fille au
casse-pipe (même si elle s’habillait en homme).
La levée du siège d’Orléans, et la bataille de Patay, sont des victoires directement imputables à des
valeureux hommes d’exception, qu’à un travesti sur son cheval, se trouvant loin des champs de bataille….
Suite à ses succès, elle accompagne Charles à Reims pour son sacre. Elle est très vite abandonnée par ce
dernier, et se retrouve à la tête de sa propre armée, n’étant plus sous les ordres du roi. Elle va de bataille
en bataille, mais échoue pratiquement tout le temps. Aurait-elle perdue sa foi ? Ou plutôt les stratèges du roi
qui ne l’accompagnent plus…
Finalement, elle est capturée aux abords de Compiègne par les Bourguignons, et revendue aux anglais. Rapatriée
à Rouen, où elle sera jugée pour hérésie. Le 30 mai 1431, la bougresse sera brûlée vive, devant la population
locale, quelques nobles, les anglais, et les religieux.
Le mystère reste entier sur cette personnalité, qui est devenue une figure emblématique de la France. Tous les
ans différents commémorations ont lieu autour d’elle, notamment à Orléans, où l’hypocrisie religieuse la célèbre
(c’est quand même eux qui l’ont brûlée !!).
Ce documentaire est là pour raconter des faits, et voir comment à t-elle pu jouer un quelconque rôle dans la
guerre de 100 ans. Ou tout simplement, s’agit-il d’un mythe, pour encourager des français à la déroute face à
l’ennemi…
Sortie le 09 août 2014
Film réalisé suite aux fêtes Johannique d'Orléans. Quelle mascarade !!
Brad Pète
Réalisateur : Peter Winstone
Acteurs : Andreas Baccarin, Polly Hemmings
Musique : Joanna Kwiat
Brad est homme d’une vingtaine d’années qui vient de perdre son boulot. Il a en effet été licencié pour des
raisons aussi fumeuses, de ce qui peut sortir de son organisme. Depuis qu’il est adolescent il est atteint
d’une sorte d’aérophagie, et il ne peut s’empêcher de lâcher des caisses à longueur de journée. Lui qui
travaillait dans un bureau comme comptable, ces collègues n’ont pas dû résister longtemps à un air irrespirable…
Si seulement son problème ne l’handicapait que dans le milieu du travail ! Mais sa vie personnelle n’est pas
plus enrichissante. Comment avoir une vie amoureuse, si ça compagne doit porter un masque à gaz ?
Malgré une hygiène irréprochable, ses fringues sentent forcément. Sur son passage, tous les gens s’écartent.
Brad a déjà consulté d’innombrables spécialistes, mais en vain. A part le bourrer de cachets, rien n’y fait,
son problème de flatulence continue…
Brad est seul dans cette épreuve, et depuis des années, tous ses amis ne peuvent plus le voir, et encore moins
le sentir. L’idée du suicide l’a déjà effleuré, mais c’est pas son genre. Et en rigolant, il se dit que s’il se
mettait la corde au cou, ces nombreux pets le ferait flotter dans les airs, empêchant la strangulation…
Après maintes recherches, que se soit sur la médecine contemporaine, ou les doctrines orientales, il finit par
s’arrêter sur une méthode qu’il a bien envie d’essayer. Il s’agit d’une méthode tibétaine, qui consiste à
contrôler son corps et son organisme…
En regroupant ses maigres économies, et en faisant un petit emprunt à la banque, Brad décide de partir pour le
Tibet. Il espère tant de cette solution miracle auprès des moines tibétains.
Avant d’arriver sur la terre promise, son plus gros défi est de ne pas asphyxier les membres d’équipages et
les pilotes, pour pas que l’avion se scratch…
Sortie le 16 août 2014
Une idée comme ça...
Le bowling de l'horreur
Réalisatrice : Rebecca Hoskins
Acteurs : Grant Maher, Shannon Torkildsen, Bradley Wieczorek, Lou Fishburne, Logan Berger, Julia Tilford
Musique : Iris Kopp
Après un repas bien arrosé, pour fêter l’anniversaire de Luciano, l’un de leur pote, six amis décident de
poursuivrent la soirée en faisant quelques strikes au bowling. Arrivés sur les lieux, ils ont bien du mal
à trouver une place pour garer leurs caisses. Ce qui ne les étonnent guère, le samedi soir, c’est toujours
bourrer de mondes…
Ils se pointent à l’entrée du bowling, et à leur grande surprise, pas âmes qui vivent. Où sont donc passés
tous les gens ? A peine ont-ils franchis le seuil, que la porte se referme derrière eux, et impossible de
l’ouvrir. Lucianio, toujours un coups dans le nez et euphorique de son anniversaire pense que ces une blague
de ces copains. Quant aux autres, qui ne comprennent pas ce qu’il se passe, rient jaune…
Audray, sa petite copine, finit par lui faire entendre raison, qu’ils n’y sont pour rien, et qu’ils
comprennent vraiment pas ce qu’il se passe. Préférant ne pas se séparer, ils explorent l’endroit, en
espérant trouver une bonne explication. Car ils commencent vraiment à avoir les boules…
Carl, le moins peureux de la bande décide de prendre les choses en main, et s’auto-proclame chef. Il dirige
la petite troupe, et commence par faire un tour du coté du bar. Il y a énormément de cocktail sur le comptoir.
Les verres contenant un liquide rouge, avec des morceaux à l’intérieur, ce qui fait penser à de la sangria. Le
peu d’éclairage du bowling ne permet pas de détailler les verres, Carl voulant briser la glace, et ne se
démontant pas, saisit un verre, et avale quelques gorgées. Une horrible grimace apparaît sur son visage et
recrache tout le contenu de sa gorge. Horrifié, il dit que ça a le goût du sang, et voulant enlever un morceau
coincé dans une dent cariée, il se retrouve avec un œil humain glissé entre ses doigts. Ecœuré, suivi par les
autres, ils se précipitent vers la sortie, mais impossible d’ouvrir cette satanée porte…
C’est sur, un truc ne tourne pas rond ici, et ils sentent leurs vies menacées. Tous se séparent pour trouver un
moyen de s’échapper de cet endroit glauque. Olivia, la pétasse de la bande, se dirige vers les pistes du
bowling. Ses yeux se portent sur les quilles qui n’ont rien de quilles, à la place, se sont d’innombrables
morceaux humains, entres autres des jambes et des bras. Cette vision macabre lui fait détourner la tête, et
elle voit au lieu des boules, des têtes dont les yeux ont étés retirés, pour laisser place à des trous pour
lancer les têtes. Olivia tombe à terre, malade, se met à vomir, et s’évanouit tombant dans sa propre gerbe…
Tous se regroupent au milieu du bowling, car personnes n’a trouvé un moyen de sortir. Ils essayent tant bien que
mal de ranimé Olivia, une fois réussi, cette dernière, blême reste prostré dans un coin, et refuse de bouger.
Soudain un cri d’horreur se fait entendre, tous se regardent droit dans les yeux. Tous ? Enfin presque ! Il
manque Luc et Ludo…
Ils étaient venus pour jouer par plaisir. Maintenant, c’est leurs vies qui est en jeu…
Sortie le 30 août 2014
Une idée comme ça...
Z.E.P.
Réalisatrice : Virginia Kruger
Acteurs : Andreas Baccarin, Laura Taufen, Ron Bremner, Adélaide Lynch, Jack Carta, Eva M'Gonfler
Musique : Albin Bowie
Depuis les émeutes dans les banlieues en octobre 2005, le climat de la société française ne s’est guère amélioré.
En 2006, Nicolaï Yassork s’est fait élire à la présidence de la république française, en tablant sur l’insécurité
et la délinquance. Une fois élu, Il ne fit rien ! Pourtant, la situation s’était détériorée au sein des
banlieues, et les tensions à travers tout le pays étaient palpables… En 2011, il réussit à se faire élire de
nouveau, mais de justesse, toujours en utilisant les mêmes arguments qui tiennent tant au français moyen.
Yassork aimerait bien récupérer une troisième fois la présidence pour 2016, se qui serait une première dans
l’histoire de la cinquième république. Mais comment y parvenir ??
En 2014, ses conseillers devaient apporter des solutions concrètes. Mais aucunes fûts satisfaisantes pour le
président. L’idée ultime lui vint un jour en visionnant un film en divx « Battle Royale »…
Le président invita à l’Élisée son Garde Des Sceaux, Le ministre de l’Education Nationale, le ministre de la
Défense et le ministre de l’Intérieur. A tous il leur proposa sa solution miracle, et qu’aucunes autres
personnes du gouvernement ne devaient être au courant…
3 mois plus tard, dans la périphérie parisienne, plusieurs camions militaires s’arrêtent aux abords d’un lycée
zep (zone d’éducation prioritaire). Il est 10 heures du matin, et des centaines de soldats en tenue de combat
encercle l’établissement, et repoussent tous ceux qui veulent entrer ou sortir. Tous les élèves (à peu près un
millier d’individus de 15 à 20 ans) sont escortés de force dans la salle polyvalente. Tous les professeurs et
autres personnels, sont évacués du lycée.
Devant les regards terrorisés des élèves, qui ne comprennent rien, un général de l’armée française se présente
à eux, et signale qu’il agit directement sous les ordres du président. Le gradé commence par les insulter et
les rabaisser, que si le lycée est en zep, c’est uniquement la faute de ces délinquants qui rongent les bases
de la société. Et donc, le gouvernement a décidé de faire un exemple avec ce lycée…
Les minutes passent, et le générale expose rapidement la suite des évènements, à vrai dire c’est très simple,
ils ont jusqu’à ce soir 18 heures pour survivre. Ils doivent tous s’entretuer, et seuls les 10 derniers
survivants pourront s’en sortir. Comme ça, ils attacheront plus de valeur à leurs vies, et à l’importance de
leurs actes… Les élèves hagards et effarés par ce qu’ils viennent d’entendre, essayent de s’enfuir de la salle,
mais sont repoussés par des militaires qui tire en l’air avec leurs automatiques. Le général poursuit son laiüs
en précisant, que chacun doit de défendre avec ce qu’il a, et ce qu’il trouvera. D’ailleurs, il ne se fait pas
trop d’idées là-dessus, vu que la plus part se ballade avec des couteaux, quelques-uns avec des gaz lacrymo ou
des pistolets à billes, et que quelques caïds avec de vraies armes. Pour conclure, le général insiste bien sur
le fait que tous ceux qui tenteront de s’enfuir du lycée seront implacablement abattus…
L’épreuve de force des militaires n’a pas réussi à dissuader quelques éléments perturbateurs. Ces derniers
(environ une vingtaine) sont saisis, et placés au milieu de la cour. Un bref claquement de doigt du général,
que les élèves dissidents reçoivent chacun une balle dans la tête. Les militaires et le générale quitte
l’enceinte de l’établissement, et ce dernier lance une petite boutade en tournant les talons : « que la chasse
commence !».
Les élèves n’ont même pas le temps de se concerter, que certains sautes déjà à la gorge de leurs camarades.
C’est la panique dans la salle polyvalente, la plus part sortent et tentent de se cacher un peu partout dans
le bahut. Le carnage a déjà commencé, et on peut déjà dénombre des morts…
Plus les heures passent, et plus l’asphalte de la cour rougie du sang des innocents. Les élèves se battent
dans tous les recoins, les salles de classes, les escaliers, le self, ... Des étages, les fenêtres ont
explosées suite aux passages inopportuns d’ados. Les plus malins se sont dirigés vers les cuisines pour y
récupérer les ustensiles les plus tranchants. Ceux qui tentèrent une échappée, malgré la mise en garde,
furent abattus par les militaires…
Une fillette d’à peine 15 ans qui s’était planquée dans les chiottes et qui pleure toute les larmes de son
corps, est retrouvée par un gars plus costaud, il lui empoigne la gorge, et la noie dans la cuvette des WC.
Un gringalet binoclard, et souffre-douleur, ramasse un bout de verre et poignarde d’une dizaine de coups le
mec qui le martyrisait, et ce, juste avant de se ramasser une chaise au travers de la gueule…
Les meilleurs amis deviennent les pires ennemis, les duels à mort se poursuivent et s’enchaînent. Les cadavres
deviennent plus nombreux que les vivants. Il n’est que midi, encore six heures à survivre à cet enfer pour
les plus chanceux…
En même temps, le président se délecte de ce carnage sur plusieurs écrans, grâce à des mini-caméras installées
quelques jours auparavant...
Sortie le 08 novembre 2014
Une idée comme ça...