La gloire de ma guerre
Réalisateur : Dave Julyan
Acteurs : Stanley Harris, Summer Kellaway, Fabrice Cosmic, Annie Eichinger
Musique : Karen Kopp
Mathéo est un militaire de carrière fort respecté, décoré par les plus grands de ce monde, à combattu sur tous les continents, il est maintenant contraint à faire de la paperasserie. Le monde a changé sans lui, à la guerre, les dirigeants préfèrent la diplomatie…
Promu général depuis quelques années, il ne se complait que dans les conflits. Mais une lueur d’espoir apparaît dans ses yeux lorsqu’il lit dans le journal qu’un narco-traffiquant mexicain, Carlos, s’est emparé d’une ville mexicaine pour y installer ses labos de purification de la coke. Officiellement, le Mexique nie sa présence, d’ailleurs le président lui-même snifferait cette coke. Et les Etats-Unis tout proche ne veulent pas intervenir par peur d’un incident diplomatique.
Mathéo, dont la réputation d’homme victorieux n’est plus à refaire, convainc ces supérieurs de l’envoyer avec quelques hommes au Mexique de façon incognitos. Arrivés sur place, il contacte la belle Julia qui lui fournira toute l’aide nécessaire à sa mission. Julia, comme beaucoup de jeunes femmes de son village à été violées mainte fois par les hommes de Carlos.
Mathéo et ses hommes forment des mexicains, que Julia leur à indiqué, aux maniements des armes et explosifs. Mais au fil des jours, s’est quasiment tout le village qui venait s’entraîner avec le commando américain. Hommes, femmes, enfants, tous voulaient mettre fin à cette tyrannie. Mathéo disait toujours qu’il n’y avait pas d’age pour apprendre à tirer, et qu’une arme, ça n’a pas de sexe…
Et c’est ainsi, deux semaines après leurs arrivées, que toute armée de paysans mexicains, accompagnée du commando américain, marchait vers le refuge de Carlos. Les sbires de Carlos tirèrent les premiers, faisant mouche à chaque coup. Mais les Mexicains, plus nombreux, submergèrent la première ligne de défense, massacrant les sbires au passage.
Le chaos est total, ça tire dans tous les sens…
Sortie le 05 janvier 2019
Une idée comme ça...
Le château de ma guerre
Réalisateur : Dave Julyan
Acteurs : Stanley Harris, Victoria Kilar, Mehdi Ciss, Ada Blakstad
Musique : Jackson Chatwood
Mathéo est ancien haut gradé de l’armée américaine, après une dernière bataille au Mexique, où il a reçu une balle dans la tête, qui a failli lui coûter la vie, il est parti se retirer en Europe…
Avec ces économies et son solde militaire, il a pu s’offrir un fort quelque part dans le midi de la France. Après trois années de complètes restauration, le fort a retrouvé sa beauté d’autrefois, comme s’il était resté figé dans le temps.
Maintenant, Mathéo veut rentabiliser son acquisition, il veut que tout le monde puisse admirer sa demeure. Mais pour lancer le coup de la saison estivale, il souhaite faire une « spéciale » pour la première ouverture des portes au public.
Ainsi, il embauche des gardes en tenu d’époque, armés jusqu’au dents, fait réinstaller les canons, et pleins de petits détails, pour rendre le fort encore plus crédible avec son histoire…
Le jour J est arrivé, des centaines de personnes viennent admirer le fort, le pont-levis s’abaisse pour faire entrer toute cette foule impatiente de marcher dans un lieu chargé d’histoires.
Mais l’émerveillement tourne vite au drame, lorsque le pont-levis se lève. Les personnes qui n’étaient pas encore rentrées tombent dans la fosse. Les canons tirent sur les alentours du fort, massacrant des dizaines de personnes. Les gardes postés sur les hauteurs tirent sur la foule bloquée dans l’enceinte du château. Ils font également couler de la chaux sur ces êtres terrifiée…
Mathéo, depuis sa blessure à la tête, est persuadé d’être un noble anglais, exilé en France, persécuté par l’église catholique. C’est ainsi, qu’il s’est promit d’éliminer tous les fidèles chrétiens… …
Sortie le 12 janvier 2019
Une idée comme ça...
Batman & Robin : Un amour secret
Réalisateur : Olav Joseph
Acteurs : Clement Drake, Sandrine Fischer, Rafael Cosmic, Joanna Debney
Dans les rues de Gotham City, pendant que les braves citoyens dorment, un combat de plus entre Batman (Rafael Cosmic) et Joker se déroule sous les yeux effarés de Robin (Clement Drake). Ce dernier est immobilisé sous les débris d’une infrastructure que Joker à fait s’écrouler sur lui. Impuissant, il assiste au déchaînement de fureur du Joker sur Batman. L’homme chauve-souris ne résiste plus aux poings dévastateurs de son ennemi. Le héros de Gotham semble démuni face à son adversaire, et à terre s’apprête à recevoir l’ultime coup…
Sortant de nulle part, la dévouée du Joker, Harley Quinn (Joanna Debney), intervient auprès de Batman et le sauve in extremis. L’incompréhension de tous est totale. La colère du Joker se tourne immédiatement vers son ancienne groupie, mais celle-ci se défend avec une arme clownesque qu’elle retourne contre son créateur…
Le Joker ayant rendu son dernier souffle, elle accoure auprès de son nouveau protégé. Robin, qui a réussi à se libérer des débris, se précipite vers son mentor, et la repousse violemment. Ne supportant pas cet affront, elle tente de battre Robin, mais sans son arme dont l’utilisation n’est qu’unique, elle ne fait pas le poids. Elle finit par partir en criant vengeance…
Batman & Robin rentrent à la BatCave pour panser leurs blessures. Revêtus de leurs identités traditionnelles, ils tentent d’avoir une vie normale entre deux interventions ponctuées par le BatSignal. Dans son manoir, le médiatique et milliardaire Bruce Wayne (alias Batman) entretien une histoire secrète avec sa jeune recrue Dick Grayson (alias Robin)…
En effet, depuis la mort de ses parents trapézistes par un malfrat, Dick a été recueilli dans la somptueuse demeure de Bruce. Traumatisé, le jeune homme se réfugie dans un mutisme que seul Bruce réussit à casser après plusieurs tentatives de réconforts. L’attention de Bruce envers Dick est mal perçue par le jeune homme, et voit en son protecteur une figure paternelle. En voulant élucider la mort de ses parents, il découvre la véritable identité de son hôte. Se sentant trahi, une violente dispute éclate entre Bruce et Dick. Bruce tenant la tête se son petit protégé, le regardant fixement, se décide à l’embrasser. Dick ne le repousse pas, et semble même ravi de cet initiative. Par la suite, Dick devient son jeune amant, et plus tard son jeune allié Robin…
Une fois de plus, le BatSignal illumine le ciel ténébreux de Gotham City. Au bord de la BatMobile, le duo dynamique* se dirige vers le siège de la multinationale ACME**. Au dernier étage du building, un homme costard-cravate, à quatre pattes, tente désespérément de s’échapper à son agresseur. Il s’agit du PDG qui est maltraité par une silhouette aussi généreuse que féline. Catwoman (Sandrine Fischer) a décidée de châtier ce pervers qui abusait d’innocentes stagiaires au sein de sa société.
Batman et son acolyte rentre dans la pièce lorsque Catwoman est sur le point de défénestrer l’homme. Les deux héros intrépides courent vers la femme-chat. Elle précipite le directeur dans le vide, mais Robin, vif comme l’éclair, plonge au ras du sol tout en glissant, et rattrape de justesse la main de l’homme. Vu que Robin est occupé à le faire remonter, Batman se retrouve face à face avec la femelle. Dans le feux de l’action, Catwoman lance son fouet sur Batman, mais retient son coup à l’approche de son visage. Puis se met a ronronner et à se dandiner envers l’homme-masqué. D’un coup, la chatte bondit sur la chauve-souris afin de l’entrelacer, mais elle est repoussée par Batman qui ne comprend pas son comportement. Robin qui a réussi à sauver le malheureux du vide, part une nouvelle fois à la rescousse de son bienfaiteur. Les deux héros saisissent la donzelle
et la balance par la fenêtre…
Les deux compères rentrent dans leur repère secret, et sur leur chemin se posent des questions sur le comportement d’Harley Quinn et de Catwoman. Arrivés au QG, leurs préoccupations laissent place à de fugueuses étreintes entre les deux hommes…
Durant la nuit, Bruce fait un rêve étrange entrecoupé de flashbacks, et cet état de transe nocturne est de plus en plus fréquent. Le rêve relate toujours sa dernière confrontation avec son ennemie de toujours Ra’s Al Ghul…
Ce jour-là, Batman faisait cavalier seul pour mettre un terme au projet de fin du monde de l’immortel Ra’s Al Ghul. Ce dernier qui était au courant de la liaison secrète entre Batman et Robin, avait prévu une réception à la hauteur de son ennemi juré. Ra’s Al Ghul étant un ancien médecin et alchimiste, il concocte une potion spéciale qu’il diffuse sur Batman. Puis disparaît dans un flot de fumées avant même de se confronter avec l’homme masqué…
Robin inquiet des nuits agitées de son compagnon, essaye de l’aider à trouver la cause de ses tourments. Faisant un rapprochement entre les rêves et le produit dispersé sur l’armure de Batman. Ils testent la dite toxine et découvrent une molécule dont l’utilité reste encore floue…
Poursuivant leurs investigations, ils finissent par comprendre que le comportement des ennemies féminines est directement lié au produits recouvrant l’armure du chevalier noir, et que toutes sans exception, finissent raide-dingue du ténébreux Batman…
Le produit ne pouvant disparaître, ils doivent retrouver Ra’s Al Ghul et lui extorquer l’antidote de la lotion. Cependant, Harley Quinn s’est alliée avec Poison Ivy, une alliée de longue date qui l’avait soutenue lors de ses déboires avec Joker. Toutes deux veulent se débarrasser de Robin pour mettre le grappin sur la chauve-souris. Mais secrètement, voit l’une dans l’autre, une concurrente potentielle…
Quant à Catwoman, elle ambitionne de son coté à vouloir également devenir la nouvelle concubine de Batman…
Les deux justiciers devront retrouver cet alchimiste maléfique, tout en échappant aux assauts de femelles en chaleur qui veulent en tuer un, et en séduire l’autre…
S'ils arrivent à contrecarrer les plans de Ra's Al Ghul et à repousser les femelles, Batman promet à Robin une méga BatTouze au manoir...
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* Duo dynamique : terme pour désigner les 2 héros dans la série des années 60 Batman & Robin.
** ACME : très célèbre dans le monde des Looney Tunes.
Sortie le 19 janvier 2019
Une scène du film Batman des années 60 m'a incité à faire ce film...
Coïncidences macabres
Réalisateur : Jex Plose
Acteurs : Ron Hartnett, Lucy Charest
Rusty (Ron Hartnett), la trentaine bien entamée, dors dans la rue depuis quelques années déjà. Il a toujours eu un poil dans la main, et a peinement
obtenu son bac. Depuis que ses parents l’ont mis à la porte, il a fait des petits boulots à droite et à gauche. Les emplois de dépannage ne se sont
jamais concrétisés en un réel job, et par la force des choses, est devenu un « sans domicile fixe »…
Carla (Lucy Charest) est une jeune employée de fast-food, un boulot comme un autre, se dit-elle, tant que ça paye ses études à la fac de droit.
D’un enthousiasme rayonnant, et toujours le cœur sur la main, elle n’hésite jamais à aider ses semblables…
Ce soir-là, Carla fait la fermeture avec quelques-uns de ses collègues. Se dirigeant derrière du bâtiment pour mettre les ordures dans la benne,
elle surprend Rusty fouiller dans les poubelles. Le dernier se sauve en courant à l’aperçu de la jeune femme. Carla, choquée par cette misère humaine,
décide de le rattraper pour lui apporter son aide. C’est ainsi que commence une course-poursuite nocturne entre les deux gens…
Rusty se réfugie à travers des petites ruelles, mais réalise qu’il est suivi. Continuant son chemin, il croise un couple, dont il est la cause du
début d’une dispute. En effet, les deux jeunes gens, qui sortaient du cinéma, commencent à s’engueuler. La fille reprochant à son copain son manque
d’enthousiasme à trouver un taf, et qu’il finirait comme le looser qu’ils viennent de croiser. Le mec n’appréciant pas les réprimandes, lui répond
sèchement, et une violent altercation éclate. Carla, toujours sur les traces de l’infortuné, croise à son tour le couple en qui s’échauffe, mais n’y
prête pas attention, obnubilé par la mission qu’elle s’est donnée. Elle entend un grand fracas, mais ne se retourne pas, le mec vient de fracasser la
tête de sa copine contre un mur…
Rusty, qui à perdu la forme depuis bien des lustres, s’essouffle assez vite. S’asseyant un peu pour reprendre son souffle, il voit que l’autre est
toujours tenace. Il repart en empruntant le bord du canal, regardant derrière lui sa poursuivante, il ne fait pas attention, et bouscule un promeneur
qui passait par la. Le malheureux se retrouve en moins de deux à la baille, ne sachant pas nager, il crie désespérément à l’aide entre deux tasses
d’eaux. Carla, toujours obsédée par sa quête de bienfaisance, continue son chemin. Arrivé sur le bord du canal, elle aperçoit Rusty au loin, et
l’appel, couvrant ainsi la voix de l’homme qui se noie. Courant à perdre haleine, elle trébuche sur une pierre, et se relève aussitôt. La pierre,
avec le choc du pied, finit par rouler dans le canal, et atterri sur la tête de l’homme qui s’enfonce sans un bruit dans une eau trouble et sombre…
Cette mis à terre, pour Carla, lui à fait perdre un peu de temps, et à perdu de vue Rusty. Elle emprunte des direction au hasard, espérant le retrouver.
Au bout d’une vingtaines de minutes, elle le recroise, pris de peur, Rusty traverse une route avec un peu de circulation, faisant fi des signalisations
routiers. Il frôle une voiture qui freine pour éviter de le culbuter, mais le conducteur qui a perdu le contrôle de son véhicule, vient encastrer son
auto dans la devanture d’un pub quelques mètres plus loin. Les blessés et les cadavres se mélangent dans se foutoir de bistrot…
Carla, qui avait anticipée le comportement de son protégé, avait prit un raccourci pour le rattraper, et donc n’a pas vu l’accident. Ne se démontant pas,
elle continue sa traque. La nuit risque d’être longue pour eux, et trop courtes pour certains…
Sortie le 02 Février 2019
Une idée comme ça...
La reine Arachnée
Réalisatrice : Lindsay Kristian
Acteurs : Nathan Sylvester, Victoria Kilar
Il fait chaud et lourd, autant en extérieur dans ce paysage désertique, que dans cet abri en béton. Ce 16 juillet 1945, dans le désert du
Nouveau Mexique, une poignée d’hommes arborant des lunettes de soleil, vont pouvoir concrétiser leurs rêves en achevant l’expérience "Trinity".
Les conditions météorologiques considérées comme satisfaisantes, l’essai fut lancé après 5 heures du matin. Un spectacle de sons et lumières
dévastateurs se déroulait devant des spectateurs inconscients. Un éclair aveuglant insoutenable sur 35 km, suivi d’une énorme explosion à la
forme d’un champignon, puis du son de la détonation 30 secondes plus tard. Ce nouvel engin apocalyptique, évalué à 20000 tonnes de TNT, assurerait
l’emprise de l’Amérique sur le monde…
Par peur des conséquences de l’explosion de cette arme, la zone fut grillagée et interdite. Bien des années plus tard, les Américains ne pensaient
plus à cette histoire, et se concentraient sur la peur du communisme…
La ville d’Alamogordo, qui était la bourgade la moins éloignée du site de l’explosion, ne subit que très peu les désagréments occasionnés par
les radiations du nuage atomique. Et au fil des années, se développa de façon exponentielle. Dans ce contexte du début de la modernité et de
ce nouveau confort associé, un jeune couple emménage au troisième étage d’un immeuble fraîchement sorti de terre. Laura (Victoria Kilar), la
vingtaine, brille par son relationnel et son sens de l’organisation, ce qui lui a valu les faveurs de son PDG, qui là promue comme assistante
de direction. Quant à Loïc (Nathan Sylvester), légèrement plus jeune, du genre impulsif, c’est fait un nom comme critique sportif dans le quotidien
de la ville. Le salaire à tout deux étant confortable, qu’ils ont pus acheter ce logement…
Alamogordo est entouré par le désert, l’aurore joue avec les ombres sur un sable frais qui ne demande qu’à être chauffé. Le soleil pointant son nez
au-delà de l’horizon, éclaire la cité qui se réveille pour aller travailler. L’astre incandescent illumine les environs, laissant même voir de curieux
sillons ondulatoires venant du nord-est de la cité. Ces mouvements imprécis enfouis dans ce sol désertiques laissent place à des projections de sable.
D’immenses créatures apparaissent, sortant du sol…
Laura et Loïc vont souvent sur le chemin du travail ensemble, leurs boulots ne sont pas loin de l’autre, et aujourd’hui, Loïc ne va pas assister à un
événement sportif. C’est toujours Loïc qui prend le volant, surtout qu’il tient énormément à sa Cadillac Eldorado, mais ce jour là il aurait mieux fait
d’accompagner sa fiancée à pied…
En effet, les automobilistes qu’ils croisent en sens inverse, roulent de façon aléatoire, tout en klaxonnant et en faisant des appels de phares. Ce
déluge de voitures et de piétons affolés perturba Loïc, qui finit emboutit dans une autre auto. Sans trop de dommages, un peu sonné, le jeune couple
sort du véhicule, et tente de comprendre ce qui se passe autour d’eux. Le questionnement est de courte durée quand Laura aperçoit au loin plusieurs
créatures velues à huit pattes escaladant les habitations. Un cri de terreur sort de son gosier, et lorsque son compagnon regarde dans la même direction
qu’elle, il comprend que la fuite est la seule alternative…
Les araignées, de taille gargantuesques, avancent à vives allures pour une destination et un objectif inconnu. Sur leurs passages, les gens sont piétinés,
voire dévorés. Certaines araignées s’arrêtent au milieu de quartiers pour y tisser leurs toiles. Le couple courent à perdre haleine comme l’ensemble de
leurs congénères, mais perdre indéniablement du terrain face aux arachnides. La ville est à feu et à sang, une voiture projetée en l’air vient s’écraser
devant le couple, perçant une conduite de gaz, et provoquant une formidable explosion. Loïc et Laura sont projetés en arrière, le jeune homme se blesse
la jambe durant sa chute, et ne doit compter que sur les épaules de Laura pour pouvoir s’en sortir. Aveuglé par les flammes et les fumées ambiantes,
ils ne voient pas d’autres solutions d’aller se cacher dans une boutique dont la vitrine est brisée…
Le couple monte à l’étage pour avoir une meilleure vue d’ensemble du désastre, tout en se cachant derrière des meubles. Malgré la douleur qui le lance,
Loïc parvient quand même à gravir les marches. Le spectacle est à la fois impressionnant et épouvantable, Les araignées font entre 10 et 20 mètres de
haut, et au sol un tapis de macchabées, dont certains sont démembrés…
Curieusement, les araignées s’éloignent du centre de la rue pour faire place à un monstre encore plus impressionnant. Une arachnide 3 fois plus
grande que ses congénères.
Traumatisés et choqués par ce chaos et la vue de ces créatures, ils finissent par sombrer dans un demi-sommeil comateux, malgré l’heure matinale
de la journée. Laura ouvre les yeux en sursaut dans la nuit, puis tente de réveiller son compagnon. Pendant qu’elle essaye de le refaire venir à
lui, son regard est obnubilé par cette monstrueuse abomination qui pond des œufs dans sa toile…
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Pour respecter l’esprit Z des films des années 60-70, ce film dénonce l’arme nucléaire et toutes les dérives associées…
Le studio a préféré choisir ce thème, plutôt que la peur du communisme (ce qui était assez courant à l'époque, ex : l'invasion des profanateurs de
sépultures ou La chose d'un autre monde), d'autant plus que nous avons toujours désapprouvé le Marccathisme.
Sortie le 08 Mars 2019
Dans la cadre du concours Z...
Desperate Housegays
Réalisateur : Aileen Garbarek
Acteurs : Clement Drake, Mélodie Duval, Daniele Gilstrap, Mandy Faltermeyer, Jex Plose, Fabrice Cosmic
Musique : Lucy Glau
Dans le quartier paisible de Wisteria Men, tous les habitants mènent une vie sereines où le tracas du quotidien ne semblent pas les entacher.
Mais uniquement en apparence…
Matt (Daniele Gilstrap), et Ben (Fabrice Cosmic) sont en couple depuis une rencontre fortuite sur internet. Dès le premier regard, il ont sus
qu’ils étaient fait pour être ensemble, et on emménagés ici, dès la construction du lotissement, il y a de cela 3 ans. De ce fait, se sont les
plus anciens résidents. Matt est informaticien, et plus particulièrement dans la conception et la mise en ligne de sites web, et il ramène
souvent du boulot à la maison. Quant à Ben, il est souvent sur les routes, à cause de son activité de commercial, il lui arrive même dé découcher
régulièrement, car ses déplacements l’emmène dans tout le pays. Même si aux yeux de tous, c’est un couple vivant une parfaire idylle, Matt reproche
régulièrement à son compagnon d’avoir des doutes sur sa fidélité, vu qu’il est loin de la maison. A ses crises de Jalousie, Ben rétorque que lui aussi
peut très bien être infidèle en draguant sur le net…
Loïc (Clément Drake) et Colin (Jex Plose), un jeune couple fraîchement formé viennent de s’installer à Wisteria Men. Ils se sont rencontrés en
discothèque, et après une nuit intense, on finit par demander les prénoms. C’est le couple le plus jeune de la rue, et ainsi attise énormément la
convoitise de leurs voisins. Loïc fait une thèse en droit social, et fait un mi-temps en parallèle. Colin, attiré par les chiffres depuis le lycée,
s’est naturellement dirigé vers la compta, puis travaille actuellement en tant que contrôleur de gestion. Pour eux, l’infidélité n’est pas un problème,
ils se sont mis des règles dès le départ, incluant quelques écarts…
Il n’y que rarement de tension entre les voisins, et tout le monde s’entend relativement bien. Il n’y a jamais de coucheries entre voisins,
malgré la proximité de chacun. Loïc é Colin ont sympathisé entres autres avec Matt & Ben. Entre soirées beuveries ou soirées ciné, quand tout le
monde est dispo, les deux couples s’entendent bien. Ils racontent leurs journées, et alimentent les commérages du quartier. Car l’apparence est
trompeuse dans le quartier paisible de Wisteria Men, chacun à des choses à cacher à son voisin…
Ce jour-là, un événement inattendu va bouleverser la vie et les habitudes de tous les résidents. Un nouveau couple, cherchant la tranquillité,
vient s’installer parmi eux. La plus part des voisins sortent regarder cet emménagement, mais aucuns ne proposent leur aide. Il s’agit de Mallory
(Melodie Duval) et de Claudia (Mandy Faltermeyer), deux jeunes femmes qui viennent habiter loin des turbulences d’une vie antérieure.
Claudia est écrivain en manque d’inspiration, elle pense que ce changement de cadre contribuera à faire émerger de nouvelles idées. Mallory a dû mal
à se débarrasser de son ancienne vie de gothique, même si elle à changer de comportement, il lui reste quand même quelques tiques et accessoires.
De plus, elle s’est fait embauchée comme serveuse.
Depuis que le quartier est sorti de terre, s’est la première fois qu’un couple gay féminin vient s’installer. Les deux femmes, même si elles
ont dû mal à trouver leur place dans ce milieu masculin, elles attirent quand même la curiosité (en tout genre) de leurs voisins. Pour certains,
il s’agit d’animaux qu’il s’agit d’observer et de comprendre. Matt, Ben, Loïc et Colin, ne font pas exception. Mais qui sont ses drôles de vaginacées…
Sortie le 15 Mars 2019
Une idée comme ça...
Jeux vidéos off-line
Réalisateur : Olav Joseph
Acteurs : Ron Hartnett, Amy Hereman, Jack Carta, Isabel Hardy
Musique : Kristen Rosenmeyer
Un homme sort de l’un de ces vieux cartons qu’il avait entreposé dans le grenier, une vieille console de jeux qu’il utilisait quand il était gamin.
Avec l’apparition de jeux de plus en plus performant, et un public de plus en plus exigent, il a envi de montrer à ses deux fils à quoi pouvait
ressembler un jeu vidéo à son époque. Lorsque l’antiquité est branchée, et la cassette de jeu insérée, le logo du constructeur s’affiche en grand
pour laisser place à l’accueil du jeu. Les garçonnets sont déconcertés par des manettes à l’aspect rudimentaire, et un graphisme d’un autre age. Ils
avaient même du mal à concevoir que des garçons de leurs ages pouvaient s’intéresser à de telles horreurs. Une fois le scepticisme passé, ils se prirent
au jeu (surtout pour faire plaisir à leur père). Quelques temps plus tard, les garçons sont appelés pour aller manger. Sans réponses de leurs parts, et
avec le vacarme du jeu qui a cessé depuis peu. Elle ne s’étonne guère que son appel n’a pas eu d’oreille attentive. En ouvrant la porte du salon, elle
vit son mari et ses deux fils écrabouillés comme des crêpes. Avant même qu’un cri ne sorte de son gosier, elle tourne de l’œil et s’écroule à terre.
Durant sa chute, son regard reste fixé sur l’écran de télévision qui affiche le logo « Mario Bros »…
Même heure, quelque part en Angleterre. Un jeune couple décide de s’affronter sur leur console de jeux de dernière génération, une habitude
qu’ils ont pris de faire après le repas, pour décompresser de la journée. Ce jour-là, ils décident de se défier sur un parcours de ski. Histoire
de corser la partie, ils décident de prendre une piste traversant une forêt, et se slalomer entre les arbres. Le jeune homme s’installe sur une
petit plateau posé au sol, connecté à la console par infrarouge. Le plateau réagit en fonction des mouvement du corps, et les reproduits sur l’écran,
et dans ce cas précis, il simule une paire de skis. Il ne fait pas un score fameux, et subit les railleries de sa compagne qui se vante de le battre
trop facilement. Effectivement, c’est le cas, mais il compte pas se laisser démonter. Tous deux font plusieurs parties, étant quasiment ex-æquo.
Tandis que sa copine continue à améliorer son score, il sort sur le balcon fumer un cigarette. Après sa petite pause enfumée de cinq minutes, il
retourne jouer à la console, mais retrouve la fille dans une posture bien incongrue. En effet, arrivant par l’arrière de la pièce, il voit sa fiancée
figée avec les jambes arc-boutées. Contournant son corps, il la voit à moitié aplati sur tout le devant du corps. Pris de nausée, il sort en courant,
ne faisant pas gaffe que sur l’écran de la télévision figurait un tronc d’arbre en grand plan…
Ce jour-là, à Washington DC., se regroupe les plus grand joueurs du pays dans un tournoi de jeux en réseau pour un FPS (First Person Shooter / Tir
à la 1ère personne) endiablé. Tous les participants ont entre 15 et 40 ans, chacun ayant emmené son propre matériel informatique. La salle des fêtes
réunissant plus de 300 personnes résonnent d’un boucan infernal, mélangeant les coups de feux et les dialogues en tout genre. Quelque temps après le
début de cette méga-partie en réseau, tous les joueurs entrent en convulsions devant leurs moniteurs d’ordinateurs. Du sang jaillit de tous les corps,
mettant en panique tous les spectateurs qui contemplent avec effroi ce spectacle macabre. La salle se vide de toutes les personne non-joueurs, laissant
des cadavres criblées de balles, alors qu’il n’y aucunes impactes de balles dans la salle…
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GÉNÉRIQUE (IVY : Worry About You / Kingdom hospital theme)
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A travers le monde, des milliers de gens meurent en jouant à des jeux vidéos, quelque soit leur sexe, l’age, ou leur nationalité. C’est ainsi
qu’un petit groupe composé de membres, aux origines et spécialités très différentes, est composée.
Daniel (Jack Carta), le français, est un informaticien chevronné. Par le passé, il a eu des problèmes avec la justice. A cette période, il
était plutôt de l’autre coté de la loi, et avait un pseudo renommé dans le monde du « hacking ». Avec le piratage de plusieurs sites gouvernementaux,
les fins limiers informaticiens des renseignements généraux avaient réussis à lui mettre le grappin dessus. Les pontes des R.G., ayant trouvés une
perle rare, préféreraient voir Jack travailler pour eux, plutôt que de le laisser filer. Mais fallait qu’il fasse amende honorable en donnant tous
ces contacts. Ce qu’il faisait sans hésiter, vu l’épée « Damocles » qui se tenait sur sa tête…
Yuri (Ron Hartnett), le russe, est le spécialiste du paranormal. Vu la bizarrerie des évènements récents, il est mis sur le coup. Orphelin, il fût
maltraité durant toute son enfance dans les différentes familles d’accueils et institutions qu’il a pu fréquenté. Ce qui a dû développé le coté
paranoïaque du personnage. De plus, il s’est toujours intéressé aux phénomènes paranormaux, et a suivi des études en parapsychologie. En Russie,
c’est une référence dans le milieu…
Lara (Amy Herman), la brésilienne, fait partie des forces spéciales d’intervention de son pays. Le maniement des armes à feu n’ont aucun secret pour
elle. De plus, elle pratique plusieurs sports de combat, qu’elle pratique avec une rare dextérité. Le meurtre de ses parents par la pègre locale l’à
prédestinait à rentrer dans la police. Son objectif premier était bien sur de venger sa famille. Et sa soif de vengeance l’a fit grimper très rapidement
parmi les élites…
Jill (Isabel Hardy), la finlandaise, est employée de la Nasa. Experte dans le domaine de l’aérospatiale, elle à voyagée à travers tous les continents.
Certainement la plus intelligente du groupe, déjà adolescente, son Q.I. exceptionnelle l’a fit remportée plusieurs concours d’ordre intellectuel.
Elle pratique couramment plusieurs langues, et connaît également quelques dialectes aujourd’hui disparus.
Les quatre personnes se réunissent à Washington D.C., là où il y a eu le plus de morts au même endroit. Chacun, durant leur voyage, prennent
connaissance des différents évènements qui viennent d’avoir lieu, et sont briéfés sur les suite de la mission. Après les présentations d’usage,
ils commencent leurs investigations pour connaître les causes de telles tragédies. Chaque membres restent réservés et se montres méfiants vis à vis
de leurs collègues. La mission va se montrer très ardu, car aucun indices n’indiquent de direction à prendre pour la mission…
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Les noms des personnages sont tirés directement de certains jeux vidéo : Paikiller (Daniel Garner), Red Alert 2 (Yuri), Tomb Raider (Lara Croft),
Resident Evil 3 - Nemesis (Jill Valentine).
Sortie le 29 Mars 2019
Inspiré d'un épisode d'X-Files...
Le croque-mort
Réalisatrice : Sandrine McClean
Acteurs : Johan Knopfler, Virginia Mirren
Dans une petite bourgade de Dakota du Sud, dans les années 1840, la disette se fait sentir. Il est bien loin le temps de la ruée vers l’or,
et les pionniers qui ont fondés la petite ville sont partis un à un espérant faire fortune ailleurs. Cependant, une grande partie de la
population est restée là, à subsister comme ils le pouvaient…
Le seul être qui était à peur près content de cette situation, c’était le croque-mort (Johan Knopfler). Entre les maladies, la malnutrition,
les corps troués de balles, … son activité était en plein essor…
Mais à côtoyer des cadavres putréfiant et nauséabondes à longueur de journée, il finit par attraper quelques germes qui lui ravagea le visage.
Personne en ville ne voulait le croiser, par peur de connaître le même sort. Au fil des jours, il devint de plus en plus sombre, et ses rares
sorties dans les rues effrayait même les hommes les plus aguerris. Sa solitude forcée lui avait mis un coup au moral, mais vu que c’était le seul
à bien vouloir faire se travail, les macchabées continuaient à remplir son cabinet…
Vivre sur une terre et des conditions hostiles, avait accéléré la désertification du patelin. Les cadavres se faisaient moindre, et monsieur
le croque-mort envisageait également à partir. Pourtant, il resta par la force des choses, et sans un sou, il n’aurait pas été bien loin.
Son ventre commença à crier famine, et personne n’avait de pitié pour ce bougre…
Lors de la crémation de l’un de ces patients, voyant cette chair brûler avec des crépitements, il se remémorait le bon vieux steak sanguinolant et
dégoulinant de sa patauge. Hypnotisé par ce rôti de corps humain, sans réfléchir, saisi une de ces pinces, ouvre la porte du four, et arrache au
feu un bout de chair fumant. Après l’avoir jeté sur un bout de table, il contemple ce morceau de viande, puis lui donne des coups de sa pince,
comme s’il pensait que cette chose était vivante. Il saisit le morceau de chair entre ses mains tremblantes et crasseuses, puis l’approche de
son visage, le renifle, et finit par le mâcher avec sa dentition jaunit par la saleté ambiante…
La faim oblige, il ne se rendit pas compte tout de suite de ce qu’il venait de faire, mais a énormément apprécié cette succulente chair.
Au cours de la journée, il réitéra l’opération à plusieurs reprises, à s’en faire exploser la panse.
Le nombre de ses clients se faisant rare, comme la nourriture, que d’ailleurs il n’arrivait plus à dissocier, il se mit en quête de
nouvelles façon de se nourrir. Bien entendu, il voulait continuer à s’alimenter de chair humaine, et commença à commettre des forfaits
les plus impardonnables qu’ils soient. Vu sa corpulence de gringalet et son physique de lépreux, il rodait dans les rues à la recherche
de victimes qui ne pourrait pas se défendre face au monstre. Vieux, enfants, personnes malades, … Il ne manquait pas de victuailles…
Avec toutes ses disparitions, la désolation de la bourgade, l’activité humaine était moins présente dans les rues. Ce qui forçait le croque-mort
à faire plus de sorties…
Lidy (Virginia Mirren) s’inquiète de ne plus voir son petit frère, qui était parti jouer avec ses copains. Elle s’occupe toute seule de lui,
depuis que son père a été tué par un desperado, et que sa mère à succombée à la tuberculose. Elle envoi souvent son frangin faire un tour dehors,
car malgré son jeune age, elle a trouvé un moyen de faire rentrer un peu d’argent, elle contente quelques messieurs de passage en ville…
Lidy, commence à paniquer à ne pas le voir, traîne dans les rues, demande à tout le monde, mais rien ! Même si certains on aperçu le petit, ils savent
pas où il est passé. Pendant des heures, elle use ses souliers troués par le temps sur les chemins battus par le vent qui forment les artères
de la ville. A bout de souffle, et ne désespérant pas, elle voit une ombre furtive passée devant elle, elle appelle l’inconnu, sans de réponse
au retour. Elle décide d’essayer de le rattraper, et trébuche à terre. Le genou ensanglanté, séchant ses larmes, elle part en direction de la
fuite de cette ombre mystérieuse…
S’enfonçant dans les méandres d’une pseudo-ville fantôme, elle ne se doute pas qu’elle se dirige vers l’antre du croque-mort. La réponse à
ses angoisses concernant son petit frère pourraient se terminer autour de la table…
Sortie le 19 Avril 2019
Une idée comme ça...
Morts
Réalisatrice : Anya Darby
Acteurs : Steven Christopherson, Jessica Hart
En ce mois de janvier, l’hiver à encore fait une victime. Sur les bords de Seine, au pied du pont Mirabeau, prostré dans un bout de carton,
un SDF a succombé aux morsures meurtrières du froid.
Au p’tit matin, deux jeunes désœuvrés, qui ont l’habitude de détrousser les clochards, remarquent le macchabée, et décident de lui piquer toutes ces
affaires, enfin le peu qu’il possède. Dans un des poches se trouve un billet de 10 euros, que l’un des deux tente de dissimuler à l’autre. Hélas pour
lui, la manœuvre est remarquée, et une bagarre s’en suit. Se battant comme des chiffonniers pour un malheureux billet, l’un deux trébuche embarquant
également l’autre à la bail. Transis par l’eau glacée de la Seine, et emmenés par le courant, ils tentent de regagner la berge. Mais en vain, ils
finissent par s’enfoncer dans l’eau sombre…
Une mamie, du haut de son immeuble bourgeois, qui a vu les jeunes tomber dans la Seine, cours affoler vers sa femme de ménage, pour que cette dernière
appelle les secours. Mais la vielle dame, dans son élan de générosité, trébuche dans le tapis. Le choc est brutal, la table basse en marbre s’en souviendra
longtemps. Le tapis à pris la couleur d’un rouge sombre, la table prend une nouvelle perspective avec ces quelques morceaux de cervelle…
La femme de ménage ayant entendu le fracassement d’une chute mortelle accoure à son tour dans le salon. Paniquée à la vue de sa patronne, elle accoure
sur le balcon et hurle. A cette heure si tardive, un passant entend tout de même ses cris, mais malheureusement pour elle, avec son accent espagnol fort
prononcé, elle n’arrive pas à se faire comprendre. Se penchant tout en gesticulant dans les sens, pour essayer d’être compris, elle bascule dans le vide,
et vient s’écraser sur l’homme qui avait été interpellé. Celui-ci n’avait pas vu la chute, car pensant que c’était une folle, s’apprêtait à allumer une
cigarette et fouillait dans sa poche à la recherche de son briquet, avant de reprendre son chemin. Il n’aura pas le temps de savourer sa première taf,
que ses os se brisent sous le choc et le poids de la femme de ménage…
Les autres résidents de l’immeuble, qui avaient également entendu la chahut, puis le fracas de la señorita, sortirent dans la rue. L’un deux prit
immédiatement son portable pour appeler les secours. L’appel passé, qu’un odeur de cramé se fit sentir. Dans son affolement, la femme de ménage avait
laissée sur la gazinière une théière en plein ébullition. La cuisine, puis le reste de l’appartement se transforma rapidement en brasier, sous le
regard hagard des gens qui étaient sortis. Le feu se propagea au reste de l’immeuble. Des cris de terreur les fient sortir de leurs torpeurs…)
Sortie le 26 Avril 2019
Une idée comme ça...
DragQueenLa
Réalisateur : Dave Julyan
Acteurs : Rafael Cosmic, Diane Torres, Bernd Donaldson, Laura Edwards
Musique : Jackson Chatwood
En l’an de grâce 1897, un jeune clerc de notaire est envoyé en TranseVanie pour régler les détails d’une affaire immobilière bien importante pour
son employeur. Brad Band (Rafael Cosmic), qui est un homme à femmes, a dû laisser toutes ses amantes à Londres, afin de remplir la mission qu’il lui
a été confié…
Arrivé au château de la comtesse DragQueenLa, une propriété sinistre et lugubre bordant des précipices TranseVaniennes, Brad est accueilli par un jeune
majordome. Ce dernier, à l’aspect minet, lui demande d’attendre sa maîtresse dans le salon. Après un temps d’attente, la patronne des lieux fait
irruption dans la pièce et convie son hôte à la suivre dans la bibliothèque afin de conclure cette affaire. DragQueenLa (Bernd Donaldson),
un personnage exubérant et ne pouvant faire une phrase sans tenir des propos déplacés, prend les documents à signer que Brad lui tend. Tous deux appose
leurs signatures sur chaque feuillets, et tendis que Brad signe à son tour, elle ne peut que penser en contemplant le jeune homme, qu’il sait bien utiliser
le stylo entre ses doigts…
Au vue de l’heure avancée de la nuit, Brad est prié de rester dormir pour partir dès l’aube. Emmitouflé dans ses draps, il n’arrive pas à fermer l’œil à
cause de l’ambiance pesante qui règne autour de lui. Lorsque le marchand de sommeil finit par faire son travail, d’étranges créatures apparaissent sous
les draps pour savourer un moment agréable avec le beau Brad. Se croyant dans un rêve avec de plantureuses créatures, il se laisse faire et rentre en
transe orgasmique. Brad se vide peu à peu de son liquide vital afin de repaître les créatures qui l’enlacent de tout leurs corps. Ces personnages, qui
ne sont que de jeunes males d’une vingtaine d’années sont les groupies de DragQueenLa. Cette dernière, surgit dans la chambre dans une rage noire, qui
fait frémir les suceurs, et s’en vont en un coup de vent. Brad se réveille immédiatement, et sort de son lit totalement dévêtu. Gêné par cette situation,
et ne comprenant pas comment ses vêtements ont pu être retirés, il tente de cacher une partie de son corps imberbe par un drap. D’un clac de doigt,
le drap s’échappe des mains de Brad pour s’envoler par la fenêtre. DragQueenLa contemple le pauvre homme de la tête au pied comme le ver nu qu’il est.
Puis elle s’approche de lui en planant à quelques centimètres au-dessus du sol. Elle tente une approche directe, mais elle est repoussée vigoureusement
par Brad. Une seconde tentative a lieu et toujours en vainc, de plus de colère Brad lui a arraché sa robe. Et qu’elle stupeur en voyant que la maîtresse
des lieux n’est rien d’autre qu’un homme qui s’habille en femme. De panique, il saute par la fenêtre…
Son plongeon dans le vide, aussi hasardeuse soit-elle, se termine dans les eaux profondes du précipice qui borde le château. Il arrive à revenir sur
la terre ferme, et court à travers bois sans savoir où il va. Arrivé à un campement de bûcherons, il demandent leur aide. Ces braves hommes toujours
le cœur sur la main, et les mains ailleurs acceptent sans hésiter. Le reste de la nuit se déroule entre beuveries et chants paillards. Et cette ambiance
de franche camaraderie entre les bûcherons met Brad assez mal à l’aise…
Quelques jours plus tard, arrivé dans son pays natal, il est accueilli par la douce Lola (Diane Torres), sa fiancée. Cette dernière, bonne cuisinière, lui à
concoctée un savoureux repas dans une ambiance de romance. Cela fait déjà 1 mois qu’il n’était pas rentré au bercail, et le temps semblait long pour cette
délicieuse jeune fille. Le soir approchant, comme si le soleil fuyait les ténèbres, Lola s’en va dans la pénombre des ruelles avoisinantes. Quelques minutes
plus tard, une créature aux formes généreuses, du nom d’Alice (Laura Edwards) entre dans la demeure de Brad, sans même prévenir de son arrivée. Il s’agit de
sa deuxième fiancée. Brad n’a jamais su choisir entre Lola et Alice, l’une est auprès de lui en journée, tandis que l’autre s’occupe de son vaillant homme
la nuit. Et cette situation convient aux deux demoiselles…
Quelques jours après l’arrivée de Brad, un autre individu débarque sur les terres anglaises. Cette se rend à l’abbaye de Carfax, dont il est ne nouveau
propriétaire. Il s’agit en réalité de DragQueenLa, déguisé en jeune éphèbe. En plus de cette acquisition, il espère pouvoir mettre la main sur le jeune
clerc de notaire, dont il est tombé raide dingue. Alice est la première victime de la jalousie du monstre. En effet, DragQueenLa, sous ses faux airs de
jeune homme courtois, l’invite en sa demeure. La jeune fille ne pouvant résister aux charmes de son hôte. Le piège refermé, DragqueenLa redevient à sa
forme originelle, soit un monstre avide de sang et de sexe. Mais concernant la fille, seul son sang l’intéresse, ne s’intéressant guère au genre féminin.
D’un bon, il saute sur la donzelle apeurée, et plante ses crocs dans la jugulaire, aspirant le liquide précieux à la vie jusqu’à la dernière goutte. La
pauvre Alice, blême comme un linge, se lève malgré que le sang ne coule plus dans ses veines, puis titube comme un pantin sur les dalles de l’abbaye.
Alice, dorénavant, n’obéira plus qu’à son maître DragqueenLa, et est devenue une lesbienne vampire…
Pour faire venir sa proie à Carfax, le vampire transsexuel organise une soirée « sans tabou », il sait que Brad ne pourra résister à la présence
d’innombrables femelles. Et tout sera fait pour inciter le jeune homme à venir s’amuser…
Le soir venu, Brad se rend à l’invitation de cet inconnu, déjà ses hormones le titillent à la vue de tous et TOUTES ses invités. Il a déjà oublié la
disparition d’Alice. De plus Lola s’est rendu aussi à la fête, vu qu’elle ne doit fidélité qu’en journée avec Brad. Le traquenard prend forme, et
DragQueenLa savoure à l’avance de pouvoir aspirer les liquides vitaux de Brad…
Sortie le 03 Mai 2019
Dans le cadre du concours "Détournement vampirique"...
Sa cam, c'est sa came
Réalisateurs : Florent & Maxime Hendrickx
Acteurs : Jean Dupont, Lou Courtenay
Barry (Jean Dupont), la trentaine sonnante, vivant de petits boulots par-ci par-là, passe le plus clair de son temps devant son ordinateur.
Geek de son état, il possède toute une installation informatique avec lequel il entretient des relations virtuelles à travers tout le pays.
Féru de jeux en ligne, il a laissé ce loisir de coté pour faire place à une autre occupation qui le rend encore plus addict…
En effet, depuis ses navigations hasardeuses sur le net, il est tombé sur un site qui le rend totalement accroc. Un site de voyeurisme de particuliers
s’exhibant en webcams. Tellement accroc, qu’il en ai devenu obsédé, il ne quitte plus son écran de la journée. Il salive devant tous ses déhanchés
d’inconnus qui ont le physique qu’il aurait aimé avoir. Il visionne uniquement une genre bien particulier, uniquement la cam des mecs, car Barry est gay…
Un jour, comme des centaines d’autres internautes, il s’est arrêté sur la cam d’un inconnu, don la prestation allait prendre une tournure inattendue. Pendant
que le garçon d’une vingtaine d’années se trémousse devant son pc, tout en se déshabillant, un individu cagoulé surgit derrière le jeune homme, puis
lui entaille le cou avec couteau de cuisine. Le garçon, les mains autour du cou par réflexe, tombe genoux à terre, pantalon sur les chevilles…
Barry est stupéfait de ce qu’il vient de voir, il observe sur son moniteur le nombre des connexions baisser à une vitesse vertigineuse, jusqu’au chiffre
un, c’est à dire sa connexion, il est le seul à être resté sur ce salon et avoir vu le meurtre dans son intégralité. Plus aucune animation au travers de
son écran, à part un filet de sang rougeâtre coulé le long du parquet. Drogué comme il est, Barry change de salon pour mater un autre mec…
Linda (Lou Courtenay), fait partie de la police scientifique, experte en cyber-criminalité. Elle fût appelée en renfort lorsque ces collègues l’informèrent
que le crime aurait pu être filmé en direct au travers de son show exhibitionniste. Linda, qui reçoit le disque dur de la victime à son bureau, décrypte
ce dernier, et découvre sur quel site il était au moment du meurtre, et avec les indications horaires fournies par ses collègues, elle sait dans quelle
direction orienter ses recherches…
Ne perdant pas de temps, pianotant sur son clavier, utilisant des logiciels à rendre jaloux les plus grands hackers, elle arrive à obtenir une liste
d’adresse IP d’internautes qui était connectées à la cam de la victime au moment des faits. En regardant plus attentivement cette liste, elle isole
une IP en particulier, qui avait la durée de connexion la plus longue. Avec cet infime renseignement, qui est une suite de chiffre unique pour chaque
connexion internet, elle identifie l’internaute anonyme qui se cache derrière, et localise, de ce fait, son domicile…
Linda se rend, du coup, chez Barry pour avoir, entre autres, sa déposition. La sonnerie retentit dans le petit appartement de ce dernier, ne
détournant pas l’œil de son écran, il balance un « C’EST OUVERT ! ! ». Linda entre dans un couloir à-demi éclairé, et manque de tomber avec
les détritus traînant un peu partout. Elle se dirige vers la pièce où elle entend des sons aigus et grésillant. Linda commence à s’énerver, et
demande à l’énergumène de lui prêter un peu d’attention. Ne se sentant guère gêné par la présence de la jeune femme, alors qu’il continue à
regarder sa vidéo porno live, il lui fait comprendre qu’il ne quittera pas l’écran, mais qu’il est tout à fait disposé à répondre à ses questions…
Commence alors une étrange séance de déposition dont le comportement de drogué webcammer mettra mal à l’aise Linda…
Sortie le 10 Mai 2019
Une idée comme ça...
Wonder Woman et l'ile aux plaisirs
Réalisateur : Dave Julyan
Acteurs : Daniele Gilstrap, Lucy Charest, Charles Giovanni, Sharon Landau, Jessie Altman, Laura Edwards
Musique : Valeria Chatwood
Quelque part dans le Pacifique, une île paradisiaque resplendissante de verdure dépasse des eaux tumultueuses de l’océan. Sur cette terre
isolée du monde extérieur, où la technologie ne semble pas avoir fait son apparition, vit une tribu de redoutables guerrières dites « Amazones ».
Themyscira*, une île à l’aura mystérieuse, qui semble défier les lois scientifiques, les radars ne semblent pas être en mesure de la détectée, et
elle semble invisible à l’œil humain de quiconque survolant l’île…
Au centre de cet îlot enchanteresse, jaillit des sons d’encouragements et d’acclamations. Il s’agit de deux splendides créatures aux formes
généreuses et à moitié dévêtues, qui se battent avec des armes archaïques, au milieu d’un temple dont il ne subsiste que les piliers, et
qui fait office d’arène. Diana (Sharon Landau), la plus redoutable parmi toutes, entraîne Lydia (Lucy Charest), sa dauphine. Au bout d’une
vingtaine de minutes d’un duel incessant entre les deux jeunes femmes, Lydia baisse sa garde, et se voit propulser, atterrissant de plein fouet
sur l’un des piliers, du à un extraordinaire jeu de jambes de la princesse Diana**. En effet, en outre d’être la plus douée parmi les siennes,
c’est elle qui dirige se peuple d’indigènes féministes…
Ce n’est pas une coïncidence que Diana dirige son peuple, elle à reçu quelques cadeaux des Dieux pour être la protectrice des Amazones : un lasso
magique, forgée dans la ceinture d’Aphrodite ; des bracelets magiques à l’épreuve des balles, fait dans la même matière que la tunique d’Athena ;
et d’une exceptionnelle rapidité, un don fourni par Hermes.
Cette tribu de femmes fatales qui se battent comme des hommes, et s’en sont toujours passés. En effet, depuis l’aube des temps, elles vont sur
les continents humains afin d’enlever les nourrissons, et de les élever comme leurs propres filles, dans les pures traditions…
Diana, comme toutes personnes, éprouve des sentiments pour l’une de ses sœurs. Discrètement, elle rejoint Alma** (Jessie Altman), sous un arbre
millénaire, dont l’une de ses plus grosses branches tombantes et recourbée, forment une voûte (comme un pont) au-dessus des deux tignasses
balayées par le vent. Le baiser langoureux entre les deux amoureuses est vite interrompu par des cris de terreur. Une des Amazones vient de
voir surgir hors de l’eau deux êtres à l’aspect étranges. Diana et Alma se rendent sur place, ainsi que toutes les autres sœur qui sortent
totalement nues de la rivière où elles se baignaient et se bécotaient.
Après examens des deux loustics, qui savent pas trop où ils se trouvent, d’autant plus qu’ils sont parvenus sur l’île à la nage, se sont tout
simplement des hommes, se qui met totalement en émoi les Amazones de l’île. Les deux garçons, moustachus, sommairement vêtus de peux de bête,
sont carrément agressés sexuellement par ces furies, puis, écœurés, repartent à la nage comme ils étaient venus.***
Il y a de cela des décennies, qu’un seul mâle auparavant avait réussi à pénétrer sur ces terres interdites, par rapport aux deux autres, il avait
tant apprécié cette formidable rencontre, qu’il cherchait absolument à vouloir coucher avec toutes. Excédées, elles le chassèrent et ne le revirent
plus. Cependant, cette île en devint une obsession pour lui, et passa sa vie à rechercher ce coin mystérieux sur tous les océans de la planète. Il
finit par se retirer lui-même sur une île, et devient complètement gâteux. Avec sa longue barbe blanche, et ses culs de bouteilles, il se surnomma
Tortue Génial.****
Au même moment, trop préoccupées par ces intrus qui ont fait une visite éclair sur leur île paradisiaque, elles ne remarquent pas que la sérénité des
lieux est également perturbée par une lumière incandescente descendant des cieux. Il s’agit d’un avion militaire en flamme, dont tout l’équipage a été
décimé par un dangereux psychopathe. Peter (Charles Giovanni), tueur en série de son état avait été confié aux hommes du Pentagone, dû à son incroyable
sadisme et sa dangerosité hors norme. En effet, depuis son plus jeune age, il a été bercé aux divers Slahers Movies. Freddy ou Jason, sont des idoles
à ses yeux. De plus, au nombre des ces arrestations et de passage à tabac par les flics, il a acquis une certaine insensibilité à la douleur…
Dans ce massacre aérien, il subsiste également un autre survivant, Dylan (Daniele Gilstrap), persuadé d’être un beau gosse, était également un prisonnier
en transfert, un trafiquant d’armes pour Al Qaïda, que la Maison Blanche voulait faire taire. Durant tout le vol, il dû subir le regard noir et morbide
de son codétenu. Cependant, ils s’allièrent pour se libérer, et la carlingue ne résista pas au carnage. Un avion en feu qui fonça dans l’océan…
Les deux hommes arrivèrent peinement, à la nage, sur la plage de < i>Themyscira. A peine repris son souffle, que le schyso Peter sauta à la gorge de Dylan
pour le tuer. Ce dernier repoussa son assaillant, puis s’enfuit dans la forêt bordant la plage de sables fins…
Alma, qui entendit la première le crash, se rendit au bord de la lagune et trouva Peter, les cheveux au vent. Alma, qui a toujours eu des expériences
féminines, tente une approche en gloussant et en se déhanchant. Un éclair dans les yeux du psychopathe, et il saute sur la fille qui n’a pas le temps
de réagir, juste celui de pousser un son d’agonie avant de soupirer…
Les autres Amazones accourent sur le lieu du meurtre, Diana en est toute bouleversée. A priori un fou arpente l’île en toute impunité. Diana de douleur
et de rage, vêtit sa fameuse tenue de combat sexy flashy rouge et bleu, et devient la Wonder Woman. A la poursuite du meurtrier de son amante, qui a pris
beaucoup d’avance, elle découvre sur son chemin deux de ses sœurs tuées avec la même sauvagerie. Comment des fiertés guerrières ont pu succombées ainsi ?
Se dit-elle…
Tandis que Diana traque sa proie, Gypsy (Laura Edwards), insinue que Diana n’est plus capable de gouverner sur elles tous, et que l’île n’est plus un
lieux sûr. En secret, souhaiterait bien prendre sa place…
Quant à Dylan, le trafiquant, fait preuve de voyeurisme en matant toutes ses filles dénudés se prélassant au creux d’une rivière, dont la cascade qui
fait refléter le soleil sur la peau des jeunes donzelles, masque les craquements de pas d’un homme qui imagine bientôt des jeux beaucoup plus adultes
avec elles…
L’île aux plaisirs va prendre différentes facettes :
- Diana / Wonder Woman : le plaisir de la vengeance.
- Alma : le plaisir du repos éternel.
- Lydia : le plaisir d’être reconnue comme une Amazone.
- Gypsy : le plaisir d’acquérir le pouvoir.
- Peter : le plaisir de tuer.
- Dylan : le plaisir du sexe.
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*Themyscira : Thémiscyre, la capitale de la tribu amazone dans la mythologie grecque.
**Princesse Diana & Alma : No comment !
*** Astérix & Obelix : Les 12 travaux d’Astérix (voir AsteriX & ObéliX : Les thermes de Lutèce)
****Tortue Génial : Dragon Ball (voir Dragon Ball X)
Sortie le 17 Mai 2019
Wonder Woman est une super-héroïne de bande dessinée américaine créée par William Moulton Marston (sous le pseudonyme de Charles Moulton) en décembre 1941 dans All Star Comics...
Pierre Tombal 3 : La Mort nOStalgique
Réalisatrice : Oria Fitch
Acteurs : Jack Carta, Rebecca La Barbera, Jackson Horowitz, Polly Hemmings
Musique : Lucy Glau
Pierre Tombal (Jack Carta), est un fossoyeur qui règle régulièrement les différents problèmes de ses pensionnaires. Arpentant les allées de son cimetière,
il discute avec quelques uns de ses résidents…
Quelques stèles mortuaires plus loin, il entend les pleures de deux jeunes enfants qui ont enterrés récemment leurs parents. Carole (Rebecca La
Barbera) & Denis (Jackson Horowitz), 11 & 12 ans, n’ont plus de famille chez qui habiter. De plus, ils ne veulent pas être séparés par le service social,
qui devait venir les chercher. Le cœur sur la main, attristé par leurs récits, Pierre les invite à prendre un chocolat chaut dans sa maison. Espérant
trouver une solution à ce délicat problème…
A peine, ouvre-t-il la porte, qu’il aperçoit au loin une ombre dans un long manteau en noir assis sur une tombe. Il invite les gamins à entrer et à
faire comme chez eux, disant qu’il revient dans quelques instants. Se dirigeant vers cette forme indéfinie, il reconnaît cette vieille connaissance,
tenant une faux dans sa main droite. Arrivé à sa hauteur, il remarque que sa vieille amie est pensif et démoralisée…
Pierre essaye d’entamer la conversation avec La Mort, en demandant ce qui ne vas pas. Elle réplique que les temps sont durs, et qu’elle n’arrive plus
à remplir son quota. L’évolution technologique et une meilleure hygiène de vie, ont accrues la durée de vie des êtres humains. Pierre tente de
la consoler, en lui disant qu’elle a bien emportée les parents des deux enfants qui sont chez lui…
Avant, c’était une autre époque ! Il y avait des guerres, des épidémies, un homme encore en vie à 60 ans, pouvait se considérer comme extrêmement
chanceux… C’est du passé tout ça…
Pierre, espérant lui remonter le morale, lui demande un petit service. Celui de garder les deux orphelins durant son absence, le temps qu’il
trouve une famille d’accueil pour les petits. Et puis en blaguant, sous-entend qu’elle leur doit ça, vu qu’elle a prit leurs parents. La Mort
acquiesce en hochant de la tête, puis se dirige au domicile de Pierre. Le fossoyeur fait la présentation avec les marmots, qui sont effrayés
par cet être maléfique, qui est la cause de leurs malheurs…
Pierre promet de revenir assez vite avec de bonnes nouvelles. Alors que les gosses sont contraint de rester avec La Mort, qui fait la nounou.
A force, la confiance commence à s’installer entre eux, et son rôle de baby-sitter, lui rappelle des flashs d’une vie antérieur, ou ceux d’une
vie volée. Elle n’en sait rien, et ça l’émeut…
Carla (Polly Hemmings), est dépêchée par les services sociaux pour ramener Carole et Denis dans un foyer de transit. Sachant qu’ils se
trouveraient au cimetière, mais ne les voyant pas, elle frappe à la porte de la maison de Pierre. N’obtenant aucune réponse, elle se
présente en hurlant sur le pas de la porte. Les enfants sont effondrés à l’écoute des paroles, et prient La Mort de les aider…
Un cri de terreur sort du gosier de Carla lorsqu’elle voit une forme hideuse dans sa robe noire, une faux à la main, au travers de la fenêtre.
Pat du cimetière en courant. Reprenant ses esprits un peu plus loin, elle se dit que c’était une blague, et qu’elle ne se fera pas avoir une
deuxième fois. Elle retourne à l’attaque, et cite certains articles de loi sur la détention de mineurs…
La Mort, prit d’affection pour les enfants, et tenant à se faire pardonner, même si c’est pas dans ses habitudes, d’autant plus qu’elle n’a pas de
cœur, fera tout ce qui est nécessaire pour dissuader l’assistante sociale de remplir sa mission…
Quelque part au fond d’elle, cela lui rappelle des souvenirs…
Sortie le 24 Mai 2019
3ème adaptation des BDs Pierre Tombal, toujours sur une idée originale.
Pierre Tombal est le titre d'une série de bande dessinée, lancée au début des années 80 par le dessinateur Marc Hardy et le scénariste Raoul Cauvin.
Mr Le Proviseur
Réalisatrice : Adria Ayres
Acteurs : Jim Nastik, Nadia Fusco
Musique : Kristen Rosenmeyer
La fin des vacances à retentie pour nos petites têtes blondes. Les lycéens affluent dans l’établissement pour ce premier jour de classe,
en empruntant l’accès par la grille dite « entrée des élèves », et l’accueil dite « entrée des visiteurs ». Le nouveau proviseur est afféré de voir
qu’une partie des élèves n’emprunte pas l’entrée qui doit être l’unique point de passage des lycéens. Le chef d’établissement effectue sa première
année de service dans ce lycée, son prédécesseur étant parti à la retraite. Et il est à cheval sur la sécurité, trop à cheval…
Le proviseur à demander à tous les surveillants de faire attention au va-et-vient des élèves, et qu’aucun d’entres eux ne devait plus passer par
l’accueil, ne devant servir qu’à l’entrée des visiteurs. Loïc (Jim Nastik), l’un des surveillants, qui allaient fumer régulièrement à l’accueil,
était obliger d’empêcher les lycéens d’emprunter se passage, car ses supérieurs le lui avait ordonné. Même si des fois, il lui arrivait d’outrepasser
ses règles, jugeant ce principe de sécurité totalement aberrant…
Le fait étant, il est obligé de faire la police, lui comme ses collègues. Les semaines défilèrent, et les lycéens prirent l’habitude de passer
toujours du même coté de l’établissement. De fil en aiguille, le proviseur ne voyait pu l'utilité de l'emplacement de l'accueil à cet endroit,
vu qu'il n'y avait plus d'élèves empruntant ce chemin, et qu’il n’y avait que peu de visiteurs extérieurs. D’autant plus que le rôle de l’accueil
s’était transformé de physique à téléphonique. Par conséquent, Julia (Nadia Fusco) s’est retrouvée dans un petit bureau à faire du standard
téléphonique, et de répondre, rarement, à l’interphone de l’entrée où était autrefois l’accueil.
Cette partie du lycée est devenu totalement vide, seul le bureau du proviseur, qui donnait sur l’accueil, suppose qu’il y a une activité ici.
Toujours sur son principe de sécurité, il ne supporte pas que la moindre personne soit présente dans le parage. Loïc, le pion, lui a déjà
fait comprendre que son obsession sécuritaire tournait à de la pure paranoïa. Ce qui lui valu des problèmes avec la hiérarchie, car personne
ne voulaient contredire le nouveau proviseur...
Quant à Julia, dans son bocal à poissons, à la limite de la dépression, n’avait pu le cœur à l’ouvrage, et ne décrochait plus le téléphone.
Hormis les membres de la direction, une grande partie du personnel, incluant les profs, était remonté contre le chef d’établissement, qui
sortait rarement de son bureau, passant son temps à lire des textes de loi pour pourrir la vie de son personnel. La tension était palpable
au sein de l’établissement, la révolte montait en chacun. Même les élèves percevaient cet état de morosité…
Loïc, qui était en fin de contrat, n’avait plus rien à perdre à dire ses quatre vérités au proviseur. En se dirigeant vers son bureau,
il s’arrête devant le bureau de Julia qui était en pleure, car le proviseur est tout le temps sur son dos. Après un peu de réconfort, Julia
décide de suivre Loïc, et de le menacer par les prud’hommes…
Ils arrivent devant le bureau du proviseur, un silence de plomb les met mal à l’aise, ce couloir qui était, autrefois, piétiné par des centaines
de personne quotidiennement, n’est pour ainsi dire plus arpenté. Loïc n’a pas le temps de frapper à la porte, que celle-ci s’ouvre immédiatement,
et qu’un jeune garçon de 15 ans en sort en courrant et en pleurant. Loïc l’avait déjà vu à la vie scolaire dû à son taux d’absentéisme. A peine
ont-ils franchis la porte du bureau du proviseur, que Loïc et Julia comprennent mieux à présent pourquoi leur chef tenait tant à condamner ce
passage, soi-disant pour la sécurité. C’était surtout qu’il voulait être tranquille…
Le proviseur, estomaqué, est surpris d’être dérangé sans être prévenu, surtout qu’il a encore le pantalon sur les chevilles…
Sortie le 31 Mai 2019
Une fiction qui pourrait devenir réalité ?? Qui sait !
Largement inspiré de l'établissement où j'ai travaillé...
Western Slasher Movie
Réalisateur : Howard Figgis
Acteurs : Max Jarre, Shannon Tasz, Ronald Legrand, Carrie Frizzi
Quelque part dans l’Ouest sauvage de l’Amérique profonde de 1848. Une diligence parcours les miles à vive allure. A son bord, trois personnes prostrées qui regardent
furtivement à l’arrière s’ils ne sont pas suivi par les indiens. En effet, la carriole a été attaquée par une tribu, et pratiquement tous les membres du convoi ont été tués…
Charly (Max Jarre) et Melinda (Shannon Tasz), un jeune couple new-yorkais qui espérait faire fortune en participant à la ruée vers l’or Californienne. Citadins dans l’âme,
ils ne connaissaient absolument rien à la vie à la dur des plaines à la dur. Et leurs naïvetés les confrontaient régulièrement avec leurs patriotes du voyage. Charly ne
trouvant pas le moindre travail à N.Y., il s’était mis en tête de devenir riche de cette façon, à t-elle point que sa quête en était devenu un obsession. Quant à sa fiancée,
éperdument amoureuse, des fois malmenée par Charly, elle disait qu’elle le suivrait jusqu’au bout du monde…
Justine (Carrie Frizzi), une danseuse de cabaret, a vu toutes ses copines massacrées par les indiens. A moitié en état de choc, elle s’est retrouvée dans la diligence,
mais sans savoir de quelle façon.
Marcus (Ronald Legrand), le cochet, un ancien tunique bleu, a réussi à sauver sa peau, ainsi que quelques uns de ses passagers. Fouettant les chevaux à sang pour conduire
la diligence loin du carnage, les rescapés parcoururent des centaines de miles s’en s’arrêter. Les canassons à bout de souffle, ils s’arrêtent dans une bourgade qui a
l’air d’être abandonnée. En effet, les seuls mouvements perceptibles dans la rue principale sont ceux des fétus de pailles ballottés par le vent. A peines arrêtés, que
les équidés s’écroulent morts de fatigue. Les quatre rescapés, obligés de descendre de la diligence, font une incursion dans ce village fantôme…
Ils remarque qu’un carnage à été plus ou moins perpétré ici, flèches, traces de balles, sang, mobiliers cassés, … Mais aucuns cadavres ! Continuant leurs investigations,
notamment à la recherche de vivres, ils entendent du bruit dans l’arrière-boutique de l’épicerie. Marcus, dit aux autres de rester sur place, tandis que lui s’avance vers
la pièce, source de leurs inquiétudes. A peine, a-t-il fait quelques pas, qu’un sifflement dans l’air vient troubler le silence pesant du lieux. Marcus fait quelque pas en
arrière, puis s’écroule sur le sol, une flèche dans le crane avec l’œil transpercé…
Les autres terrorisés, fuient vers une autre maison, tout aussi délabrés. Le jeune couple embarque de force Justine, qui ne disait pas un mot depuis leur arrivée. Comme
si elle était dans un autre monde, les yeux vitrés, elle ne réagissait pas du tout aux évènements extérieurs. En traversant la rue, la pauvre Justine trébuche, toujours
dans un pofont état de choc émotionnel, elle ne semble pas vouloir se relever. Charly fait demi-tour pour la chercher, mais au bout de deux mètres, s’arrête net. Une
vision d’effroi lui glace le sang, une brute épaisse à la peau basanée et bariolée de peinture, s’approche de la pauvre fille, qui ne réalise toujours pas le danger.
Brandissant une hachette, il frappe violemment le haut du crane, puis élève le scalp au-dessus de lui, poussant des cris terrifiants…
Charly et Mélinda, s’enfuient de plus belle, espérant échapper à ce maniaque psychopathe indien…
Sortie le 07 Juin 2019
Une idée comme ça...
Cache-cache
Réalisatrice : Adria Ayres
Acteurs : Ivan Franke, Lisa Gould, Jackson Horowitz, Amanda Jagger
Musique : Kristen Rosenmeyer
1, 2 , 3, …
Derrière un arbre, dans un bois de plusieurs hectares accolé à une ferme, un jeune homme d’une douzaine d’années à commencer un compte à rebours. Il n’est pas puni,
il n’a pas pété une durite, il compte tout simplement dans un but précis, car Robin (Ivan Franke) joue….
17, 18, 19, …
C’est son anniversaire aujourd’hui, ces parents l’ont autorisé à inviter quelques-uns de ces amis, afin de fêter l’évènement. Robin continue à compter inlassablement
jusqu'à 100, le temps que ses camarades se cachent dans les bosquets et feuillages environnant du bois, appartenant à ses parents.
22, 23, 24, …
Les parents de Robin gèrent une exploitation agricole, dont est dépendant le bois qui sert de terrain de jeu aux enfants. Pendant que l’aîné, le front contre l’arbre
poursuit sa longue énumération à voix haute, ses parents ainsi que ceux de ses amis, ont l’air de bien s’amuser aussi, à leurs façons, autour de divers apéritifs…
33, 34, 35, …
Tandis que Robin poursuit à compter, la plus part des autres enfants se sont cachés En attendant que le chat décide de les trouver, ils tentent de minimiser les bruits.
Sarah (Lisa Gould), perçoit des craquements se dirigeant vers sa direction, Elle sait que se n’est pas Robin, car elle l’entend toujours compter. N’a telle pas le temps de
se retourner, qu’une main saisit sa bouche par derrière, l’empêchant de crier. D’une force herculéenne, la jeune fille est soulevée de sa cachette, puis projetée violemment
contre le tronc d’un arbre. Atrophiée, ensanglantée, respirant difficilement, Sarah voit deux gigantesques mains se rapprocher de son cou. Arrachée une nouvelle fois du sol,
elle sent l’étreinte autour de son cou se resserrer à chaque respiration. Doucement, dans une immense douleur, elle ferme les yeux, pour ne plus jamais les rouvrir…
53, 54, 55, …
Joshua (Jackson Horowitz), le petit frère de 5 ans de Robin à été mis de coté par les grands. Etant considéré trop petit pour jouer avec eux, il traîne des pieds,
shootant dans les cailloux croisant sa route. Voulant rentrer regarder la télé, il est refoulé par son père, lui disant qu’il n’avait qu’à enquiquiner son grand frère.
Un peu déboussolé, il s’enfonce au milieu des branchages en direction de l’intonation de la voix de son frangin qui continue à compter….
69, 70, 71, …
Joshua commence à accourir tout droit, puis s’arrête net quand il aperçoit furtivement l’ombre d’une énorme masse humaine. Avec ses p’tits yeux, il n’arrive pas
très bien à distinguer les gesticulations de cet inconnu. Quand soudain, il le voit traîner, une jambe dans chaque main, deux amis féminine de son frère. Joshua s’est
baissé à terre pour ne pas être repéré. L’homme, qui est perçut comme un ogre aux yeux du garçonnet, passe à proximité de lui. Il reconnaît Sarah et Eglantine ( Amanda Jagger),
les gueules défoncées, avec des chevelure qui ont prit un teint rougeâtre…
99, 100 !!
Robin à enfin terminé et commence à rechercher ses proies qui ont dû bien se planquer. Quand à Joshua, traumatisé par ce qu’il à vu, n’ose pas bouger pour prévenir son
frère et ses autres amis du danger qui pèse sur eux…
Sortie le 21 Juin 2019
Une idée comme ça...
AstériX & ObéliX : Les thermes de Lutece
Réalisateur : Jex Plose
Acteurs : Daniele Gilstrap, Sarah Kantelinen, Rafael Cosmic, Isabel Hardy, Jack Carta, Jackson Chatwood
Dans la Gaule conquit par les Romains, l’envahisseur tient d’une main de mettre un peuple vaincu et écrasé par l’armée de César. Mais au cœur de l’Armorique,
en Bretagne, un petit village résiste depuis toujours à l’oppression romaine…
Dans ce bourg à l’allure d’un camps retranché, entouré de baraquement romains, la vie semble paisible pour ces gaulois qui ont l’air de couler une vie normale.
Astérix (Rafael Cosmic), le plus intrépide et rusé de ses compatriotes, a toujours déjoué les plans romains. Quant à Obélix (Daniele Gilstrap),
une force de la nature et assez maladroit, c’est le meilleur ami d’Astérix.
Les deux gaulois avant d’aller chasser, vont faire quelques brasses, pour être au même niveau que son ami, Astérix boit un peu de potion magique.
Encore plus rapide qu’une tornade, ils traversent les mers avec facilité. Ils arrivent sur une plage d’une île qu’ils ne connaissaient pas. N’ont-ils pas
le temps de sécher, qu’ils sont assaillis par une horde de femmes en chaleurs. Traumatisés par ces jeunes filles à moitié nues, ils repartent illico sur
leurs cotes bretonnes.* Tout en brisant un bateau viking au passage…
Pour se reposer de leurs émotions, les deux amis se retrouvent dans une petite clairière, dans les bois attenants au village. Aux yeux de tous les villageois,
ils vont chasser des sangliers, ce qu’ils feront avant de retourner au village. Mais en réalité, ils se retrouvent ici, discrètement, afin de flirter en toute tranquillité…
Bonemine (Sarah Kantenlinen), qui se baladait pour cueillir des fleurs afin de décorer sa maison, entend des sons de chuchotement et de ricanement. S’avançant silencieusement
vers la clairière, bougeant des branches qui lui cachait la vue, voit avec effroi les deux compères dans des positions qu’elles n’auraient jamais pu imaginer. De retour au
village, elle en informe tout les villageois avant de mettre au parfum son mari Abraracourcix. L’ensemble des habitants attendent leurs retours avec impatience…
Les deux amants, sangliers sous les bras, sourire aux lèvres, rentrent et saluent tout le monde. Mais l’accueil est loin d’être jovial de la part de leurs compatriotes.
En effet, tout le monde est au courant, et des insultes à caractères homophobes pleuvent sur les deux compères. Bonemine à plaisir de voir Astérix être lynché par les autres,
lui qui à toujours ridiculisé son mari, le chef du village. Astérix tente un dialogue, en essayant de leur faire admettre que les temps changent et que cette mentalité
archaïque doit également changer. Les villageois se concertent, et chasse Obélix sur le champs prétextant qu’il était seul fautif, et qu’il a dû utiliser une faiblesse
de son ami. Obélix, décontenancé, part du village en courant, mais Astérix ne peut le retenir, sans la moindre goutte de potion. Bonemine, pas trop d’accord, élève la
voix, et veut qu’il part aussi, car il est la honte des gaulois, et que le village sera l’arisée de toute la Gaule. Ses compatriotes essayent de lui faire entendre raison,
ils ont besoin de son intelligence et de sa bravoure pour contrer les romains. Bonemine, vexée, part dans sa hutte.
Astérix, quant à lui, dégoûté, leur informe qu’il couche avec Obélix depuis leur enfance, et que personne est fautif. Il quitte le village à son tour, et promet de
ne plus jamais revenir chez des attardés. La belle et plantureuse Falbala (Isabelle Hardy), la femme gérontologue de Agécanonix (Jackson Chatwood), qui s’était tenue
à l’écart de tous, souhaite accompagner Astérix dans ce périple. Vu l’age de son mari, elle a toujours eu un esprit très ouvert. Astérix, qui ne s’intéresse guère
à la gente féminine, fait mine de ne pas l’entendre, mais Falbala l’accompagnera quand même…
Bonemine, qui boude, et n’a pas vus le départ d’Astérix, voit Agécanonix débouler dans sa demeure avec sa canne, offusqué que sa femme soit partie avec l’autre
pestiféré, demande de l’aide à Bonemine. Tous deux, d’un commun accord, sortent discrètement du village, afin d’empêcher Astérix de revenir…
Astérix, suit les traces d’Obélix sans peine, vu que grâce à sa force exceptionnelle, des romains ont volés dans tous les sens, indiquant le chemin à suivre au blondinet gaulois.
Les péripéties de chacun emmène tout ce petit monde à Lutèce, la capitale de la Gaule envahie. C’est la première fois qu’ils vont dans une grande ville. Astérix & Falbala,
après renseignements, se dirigent vers les thermes de la ville. Bonemine & Agécanonix, qui ne connaissent pas la culture gay, se retrouve totalement perdus parmi
toutes ses rues qui semblent infinis. Obélix, lui, se prélasse dans les termes avec d’autres gaulois et romains, en douce compagnie du jeune romain Mattdémum (Jack Carta).
Arrivés aux thermes, seuls les hommes sont acceptés, Falbala est obligée d’attendre sur le trottoir. Faisant les cents pas d’un air agacé, elle est interrompu par
un centurion d’un certain age. Lui demandant ce qu’elle, elle ne répond pas, sourit, puis repars avec…
Astérix qui à traverser toute la Gaule pour retrouver son cher Obélix, risque d’être déçu en le voyant dans les bras d’un autre mec…
Falbala part avec le premier vieux venu…
Bonemine cherche à mettre Agécanonix dans un foyer pour vieux, le considérant comme un boulet…
Quelques personnages, des avis divergents, mais un seul lieu de rencontre : les thermes de Lutèce !!
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*Voir une de mes production : Wonder Woman et l’île aux plaisirs
Sortie le 28 Juin 2019
Astérix & Obélix sont des personnages de fiction créés par le scénariste René Goscinny et le dessinateur Albert Uderzo dans la bande dessinée française Astérix le Gaulois en 1959.
Ça ne sert à rien de courir, tu crèveras bien assez tôt...
Réalisateur : Howard Figgis
Acteurs : Nathan Sylvester, Carrie Glass
Katia (Carrie Glass), qui va sur la trentaine, est une célibataire esseulée. Depuis que son ex-copain l’a plaquée pour sa voisine de pallier, elle s’est plongée dans une
profonde tristesse…
Presque 10 ans qu’ils s’étaient ensembles, il s’étaient connus sur les bancs de la fac. Des projets de couples en tête, ils pouvaient enfin s’acheter une maison,
penser à fonder une famille, … Puis un soir, il lui dit sèchement qu’il l’a quittait pour une autre femme, sans aucune explication. Effondrée, elle s’écroula sur
le canapé, les jambes recroquevillées près de son corps. Malgré son chagrin, elle reconnut une voix familière par delà la cloison de son appartement. Approchant
son oreille du mur, où était posé le canapé, elle entendit les rires d’une femme, mêlés à ceux de son ex…
Durant des mois, Katia se renfermait petit à petit sur elle, à part le boulot, elle ne sortait plus. Ses ami(e)s l’incitaient à se bouger, de prendre l’air, met rien
n’y fait. Ils espéraient tous qu’elle puisse se rattacher à un nouvel homme, mais Katia ne pouvait plus faire confiance, c’était au-dessus de ses forces…
Sa meilleure amie, qui était triste pour elle, mais qui commençait sérieusement à en avoir ras-le-bol de son comportement, s’invita un soir chez Katia, avec la ferme
intention de lui parler entre les deux yeux. De fil en aiguille, au fur et à mesure que les heures avançaient, elles en vinrent à la drag’ par internet. Pratiquement
le couteau sous la gorge, Katia se senti contrainte de regarder son amie discuter avec d’autres hommes sur son propre PC. Effectivement, elle avait beaucoup de contacts,
et de tchats privés. Katia, à la fois impressionnée et foutiste, laissa son amie lui expliquer les bienfaits du miracle internet, et de l’amour virtuelle. Sans son accord,
en moins de deux minutes, son profil est créée…
Déjà quelques mecs mordent à l’hameçon. Katia, frileuse de participer à cette pratique qu’elle trouve écœurant, ne veut rien faire. C’est donc toujours son amie qui tient
les rennes de la soirée, et qui discute à sa place. Et ainsi elle se retrouve pour un rancart avec jeune homme d’une vingtaine d’années. Même si c’est juste pour tirer
un coup, ça lui changera toujours les idées, se dit son amie…
Le lendemain soir, Katia hésitante, est emmenée de force par son amie au lieu de rendez-vous. Les deux femmes n’étaient jamais venues dans cette partie de la ville,
un peu trop luxueux pour elles. La rencontre devant se dérouler dans un resto chic, elle trouve que ses vêtement, et elle, font tâches dans le cadre. Son amie
attend dehors, dans sa voiture, au cas où que ça tourne au vinaigre. Katia demande au serveur la table de Justin (Nathan Sylvester), le prénom donné sur le net.
Timidement, elle suit le vendeur, et rencontre enfin celui qui, pour elle, ne représentait qu’un photo et un pseudo…
Le jeune homme, gentleman, prend la veste de son invitée (car il veut payer), et la fait asseoir, avec toutes les manières de quelqu’un de la haute société. Au cours
du repas, Katia à fait à peu près le profil de son interlocuteur, il est intelligent, cultivé, chic, riche (grâce à des actions en bourse), … Tout pour plaire et séduire !
Katia, d’ailleurs, ce sent à l’aise, et commence à tomber sous le charme. Après l’addition, Justin lui propose de terminer la soirée chez lui, ce qu’elle propose sans hésiter.
En sortant du restaurant, elle fait un clin d’œil avec un sourire à son amie qui attendait dans la voiture, et se goinfrait de cookies, pour lui signaler que tout allait bien.
Cette dernière jubile de sa bonne action, et rentre chez elle…
Katia et Justin arrivent devant une immense villa. Le portail s’ouvre automatiquement à l’approche du véhicule de Justin. Le couple passe par un grand corridor,
avant d’être dans le salon. Justin sert des whiskys, et s’absente de la pièce pour deux minutes, en s’excusant platement de cette déconvenue…
Pas plus de deux minutes, comme il l’avait promis, il revient, et s’exprime toujours avec cette petite voix douce et un peu mielleuse. Délicatement, il s’approche de
la jeune femme, lui caresse la joue, passe la main dans ses cheveux, et commence à l’embrasser. Lèvre contre lèvre, la langue dans la bouche de l’autre, Justin baisse
ses mains au niveau du cou de Katia, puis l’étreint jusqu’à l’étouffement. La bouche déjà encombrée, elle ne peut pousser un cri, et sa vue devient de plus en plus
flou, car ses poumons ne reçoivent plus d’oxygène. Par instinct de survie, et dans un acte désespéré, elle donne un cou de genoux dans les parties de Justin. De douleur,
il lâche sa proie, qui vient s’écrouler sur la table basse en verre. Par terre, au milieu d’un table en morceau, ensanglantée un peu partout, elle saisit un bout de verre,
et menace Justin de le saigner si il approche. La douleur au bas ventre passée, toujours sur un ton calme, sans la moindre once de nervosité, il lui dit qu’elle n’a aucune
chance de s’échapper, que tout est verrouillé électroniquement. Katia, arrive quand même à se dégager et cours dans le couloir du rez-de-chaussée pour rejoindre la sortie.
Mais comme il avait dit, impossible de franchir la porte. Pauvre fille, se dit-il, elle ne fait que retarder l’inévitable…
Katia cour de plus belle dans les dédales de couloirs que composent cette immense propriété. A chaque porte qu’elle rencontre, elle entrevoit la liberté, mais ce n’est
qu’une pièce parmis tant d’autres, cette maison doit en contenir des centaines…
Maintenant que Justin à fait un brin de ménage sommaire dans le salon, les mains dans les poches de son smoking, il va chercher la Katia pour terminer son office…
Sortie le 05 Juillet 2019
Une idée commme ça...
Dragon Ball X
Réalisatrice : Oria Fitch
Acteurs : Jim Nastik, Lucy Charest, Enzo Barron, Anya Coates, Mandy Faltermeyer, Ian Carpenter
Musique : Stephanie Hannigan
San Goku (Jim Nastik) un être extraterrestre projeté de la planète Végéta dans l’espace dans une capsule de survie, avait atterri sur Terre lorsqu’il était nourrisson.
Elevé par un grand-père de substitution, il partit à la recherche des 7 boules de cristal malgré lui. Durant sa quête il rencontrait différents personnages :
Tortue Géniale (Enzo Barron), Krillin (Ian Carpenter) et Bulma (Lucy Charest).
Bulma, très extravertie et inventive, tente par tous les moyens de séduire Goku. Ce dernier, plus jeune qu’elle, se fichtre totalement des filles au sens large.
Il préfère rester avec son frère d’arme Krillin, et compagnon de jeux érotiques entre eux…
Tortue Géniale, un vieux pervers gâteux, organise une fiesta chez lui, une île déserte quelque part dans la pacifique. Il veut fêter la mort de Boo, un nain
blanchâtre machiavélique qui voulait être le maître du monde, lors de la quête des 7 boules. Tortue Géniale le promet, il y aura du sexe, de l’alcool et de la drogue…
Le vieillard est un obsédé de la gente féminine depuis qu’il s’est retrouvée sur une île paradisiaque, gouvernée par une tribu d’Amazones. Et qu’il en fût chassé
par ces dernières…*
San Goku et Krillin, qui affichent ouvertement leur liaison se rendent les premiers sur l’île du vieux. Peu de temps après, Bulma les rejoint au bord de son avion
qui se rétracte automatiquement dans une capsule après son atterrissage.
Tortue Géniale saute immédiatement sur la jeune femme, qui arrive à s’en débarrasser péniblement, un filet de salive de son assaillant dégoulinant le long de son cou.
Tous les invités arrivent le reste de l’après-midi, surpeuplant littéralement cette île minuscule. La nuit tombée, la fête bat son plein, quelques overdoses par-ci,
quelques comas éthyliques par-là. Tandis que Goku et Krillin savent s’occuper avec d’autres jeunes hommes appréciant les mêmes jeux qu’eux…
Tortue Géniale qui a réussie à trouver réconfort, lui aussi, auprès de deux jeunes filles, s’enferment dans sa chambre. Carra (Anya Coates) et Carry
(Mandy Faltermayer), sont deux sœurs qui se sont fait inviter dans un but bien particulier. Celui de voler les 7 boules de Cristal qui sont réunis sur l’île.
Entièrement nues, elles paralysent leur coup d’un soir, l’attache, et le menace de le tuer s’il révèle pas la cachette des boules…
Bulma, qui n’a pas réussit à conclure, noie son chagrin dans l’alcool. Se sentant mal, elle va à l’étage pour dormir. Empruntant une porte au hasard, qui lui résiste un peu,
elle la fracasse à coup de pieds, et découvre Tortue Géniale ligoté, qui pense-t-elle, est adepte su sadomasochisme. Carra & Carry, furieuses, tentent de la repousser,
mais Bulma dégueule sur l’une d’elles, se qui les dégoûtes. Ne réalisant pas ce qui se passe, Bulma est projetée au fond de la chambre par un coup de pied au visage
donné par Carry. Ce qui fracasse la cloison du fond de la chambre, et Bulma se retrouve dans la chambre d’à coté, inconsciente, au milieu d’un amas de mecs totalement
nus, dont Krillin et Goku…
Par le trou fait par la traversée de Bulma, Krillin et Goku remarquent les deux filles nues, et se détournent vite les yeux. Alors que Carra et Carry, qui les ont
reconnus, ont l’intention d’aller jusqu’au bout de leurs quêtes…
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*Voir une de mes production : Wonder Woman et l’île aux plaisirs
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L’action se déroule juste après la quête des 7 boules de cristal, avec le défunt Boo. Bien avant Dragon Ball Z et GT…
Sortie le 12 Juillet 2019
Dragon Ball est une série de manga japonais créée par Akira Toriyama, celui-ci s'inspirant librement du roman de Wu Cheng'en : Le Voyage en Occident.
Elle fut publiée dans le magazine Shonen Jump de 1984 à 1995. L'édition française est publiée par Glénat depuis février 1993.
L'idée vient suite à la sortie du pseudo film Dragon Ball Evolution.
Transfert
Réalisatrice : Adria Ayres
Acteurs : Jonathan Glass, Carrie Goldsmith
Une nuit orageuse, une pluie torrentielle, des éclairs illuminent la fenêtre d’un illuminé jonglant avec diverses éprouvettes. Des rires hystériques font vibrer les bibelots
étalés en vrac sur les étagères. Couvert de sang de la tête au pied, manipulant également des outils acérés, Bill Houte (Jonathan Glass) s’apprête à réussir la plus
grande expérience de sa vie, enfin, ce qu’il lui reste à vivre…
Depuis un an, Bill, généticien de génie, est rentré dans une profonde dépression, depuis qu’une terrible nouvelle à balayée d’un geste son avenir.
Ironie du sort, de savoir qu’il est condamné par une tumeur au cerveau inopérable, alors que lui même a sauvé des centaines de vies. Durant un moment
de lucidité, il fouilla dans les affaires de l’un des ses confrères, espérant trouver une solution. Car il était au courant des recherches de se dernier,
dont l’éthique à été maintes fois mis en doute par la profession. Après avoir trucider son collègue qui l’avait surpris, et pris ses notes, il rentre dans son
labo, le visage ravi, l’œil éclairé par le démon…
Cette nuit, c’est sur, ça marchera, il a juste besoin d’un cerveau. Après avoir charcuté le corps du premier cadavre qu’il a piqué dans une morgue (Carrie Goldsmmith),
il en extrait la partie crânienne de son bonheur. Pris pour un fou, il ne peu compter sur l’aide de personne, il a donc automatiser toute son installation. Bill s’allonge
dans un genre de sarcophage entièrement robotisé, pour laisser les machines faire offices à sa place. Durant plusieurs heures, son cerveau est extrait, pour être remplacé
par celui de la fille…
Bill se réveil deux jours plus tard, un mal de tête épouvantable. Même si techniquement l’opération est un succès, les effets escomptés ne sont pas au rendez-vous.
En effet, prendre le cerveau d’une fille est une grande erreur, d’autant plus que Bill à totalement perdu sa personnalité. Car dans le corps de Bill, c’est l’esprit
d’une défunte qui donne les ordres a un corps ne lui appartenant pas…
Clara Vane, n’en revient pas, elle revient du tréfonds des ténèbres, dans un corps masculin. Atrophiée par ce qu’il lui arrive, il lui faudra plusieurs jours pour se
mettre dans la peau de sa nouvelle identité. Elle qui était si agréable à regarder, dont sa beauté fut entachée lorsque qu’elle fût retrouvée battue à mort dans sa
chambre. Elle va profiter de sa masculinité soudaine pour se venger…
Bill/Clara se dirige naturellement au Carpet Bar, où elle mettait en avant ses charmes pour le bonheur des clients. Naturellement, personne ne là reconnaît. Par contre,
elle, aperçoit un visage familier. Il s’agit de l’un des hommes qui l’a torturée après avoir profité d’elle. clara avait acceptée, moyennant un petit pactole, de participer
à une tournante, qui a tournée court…
Il/elle sirote plusieurs boissons, en attendant que l’homme se décide à rentrer chez lui, câliner sa femme, et à border ses gosses. A la sortie de la boite,
après l’avoir suivi, il/elle agresse le client. Il ne comprend pas du tout ce que veut l’homme. Il/elle se fait passer pour le frère de Clara, qui vient se venger.
Suite à diverses méthodes interrogatoires, il/elle à les noms des complices. Le client n’ira pas câliner sa femme, ni border ses gosses, ce soir. C’est le diable en
personne qui s’occupera de son repos éternel…
Bill/Clara va s’occuper du prochain…
Sortie le 26 Juillet 2019
Une idée comme ça...
La terre ne tourne plus rond...
Réalisateur : Sergiot
Acteurs : Ronald Legrand, Cristina Barron
En ce matin là, tous les éléments se mirent à s’arrêter. Le vent ne fouettait plus le feuillage des arbres, les ruisseaux et autres cours d’eau stagnaient,
la pression sub-terrestre faisait exploser les volcans à travers la planète, les températures chutaient si vite qu’il neigeait même dans les endroits les plus
improbables, … Les animaux n’étaient pas en reste, tout ce qui volaient tombent comme des mouches, des bans de poissons s’échouaient sur les plages, les animaux
domestiques devenaient agressifs, … Seul l’homme, qui a perdu ses instincts primaires, ne s’apercevait de rien ! Le jour de l’apocalypse est arrivé, la Terre ne
tourne plus sur son axe…
Luciano (Ronald Legrand) se réveille en sursaut dans sa chambre tapissée de soie blanc. Il vient de faire un horrible cauchemar sur la fin du monde…
Luciano est un parano convaincu, ce qui lui a valu d’avoir très peu d’amis. Il a toujours grandi dans la crainte. L’origine du trouble de sa personnalité, remonte
au 11 septembre 2001, lorsque ses parents traders mourrèrent dans l’une des tours victime embrasée par un avion suicide. Ayant hérité de la fortune de ses parents,
il a tout dépensé dans la construction d’une petite forteresse retirée du monde. Ce qui ne l’empêche pas d’aller régulièrement au patelin le plus proche de chez lui…
Depuis quelques temps, il y va beaucoup plus fréquemment qu’à l’accoutumé. Dans le seul café du village, il y a une nouvelle serveuse, et il n’est pas resté insensible
à la jeune demoiselle. Gaby (Cristina Barron), pour payer ses études, a trouvée ce job. Elle a remarquée qu’elle faisait de l’effet à Luciano…
Suite à son mauvais rêve, Luciano décide d’aller se détendre au bar, et surtout pour voir celle qui fait battre son cœur. En sortant de chez lui, il a un mauvais
pressentiment. Les oiseaux ne piaillent plus et le ciel à une couleur bizarre. Ce ressenti lui fait froid dans le dos. Arrivé au café, il sourit bêtement à l’une
des serveuses. Cette dernière comprend qu’il aimerait être servi par Gaby. Il à ses petites habitudes, et Gaby vient lui servir un chocolat froid avec deux croissants.
Troublée et gênée, elle ne peut s’empêcher de rougir. En lui déposant le plateau sur la table, sa main tremble légèrement, mais suffisamment pour que le chocolat tâche
les habits du jeune homme. Confuse, elle lui dit de ne pas bouger, elle va chercher le nécessaire pour le nettoyer. Il lui indique de ne pas s’inquiéter, il vas se nettoyer
à la va-vite dans les sanitaires…
Quelques instants plus tard, vraiment embarrassée par sa maladresse, elle frappe à la porte pour savoir si tout se passe bien, elle reçoit une réponse positive, mais
rentre quand même dans la pièce. Au premier coup d’œil, elle remarque qu’il n’y a jamais eu de présence féminine auprès de lui, par conséquent prend elle-même une lingette,
et commence à frotter la chemise tachée de Luciano. Tandis qu’elle s’occupe d’une tâche récalcitrante, elle entend de la bouche de Luciano, que ça va être la fin du monde,
qu’ils vont tous mourir. Pris d’effroi, elle le gifle, pensant avoir à faire à un déséquilibré. Il révise sa tactique, et lui dit que c’était une blague, certes de mauvais
goût, mais une blague. Honteuse, elle n’arrive pas à balbutier quelques mots pour s’excuser. Luciano la rassure, en lui disant qu’il l’avait mérité. Pour se faire pardonner,
elle accepte son invitation, d’autant plus que son service est fini depuis 10 minutes…
Arrivés dans la demeure de Luciano, où rien d’apparent laisse croire à un véritable bunker, ils se servent à boire, parlent de tous et de rien. Au fil des heures,
l’osmose commence à atteindre son apogée entre les deux. Ils passent la nuit ensemble, le bonheur emplissant les corps des deux amants…
Au petit matin, Gaby, la tête dans un petit nuage demande à Luciano se qu’il regarde au travers de son écran. Il s’est réveillé depuis un petit moment déjà, et ce
qu’il contemple, c’est la fin du monde. Ce qui a perturbé sa précédente nuit, est en train de se réaliser sous ses yeux…
Il explique le topo à sa dulcinée, d’un coup ses yeux deviennent noirs et mauvais, elle le hait, elle le maudit. Elle l’aurait préférée mourir comme les autres,
plutôt que de vivre terrée comme une misérable…
Sortie le 02 Août 2019
Inspiré d'un épisode d'Au-delà du Réel, l'aventure continue...
Coup monté
Réalisateur : Howard Figgis
Acteurs : Daniele Gilstrap, Carrie Glass, Nathan Sylvester, Virginia Mirren, Luke Bremner, Bernd Donaldson
Musique : Kristen Rosenmeyer
Lors d’un festival en plein air, tandis que le son du rock se déversait aussi rapidement que les pintes de bières étaient englouties, des centaines de
gens se déambulaient sur des paroles incompréhensibles, tout en humant le doux parfum de l’herbe, que certains fumaient un peu plus loin. Dans cette
ambiance euphorique, Cyril (Daniele Gilstrap) fête son anniversaire avec des potes. Ce tout jeune trentenaire a préféré faire la fête ici, histoire
d’oublier son train-train quotidien, et son boulot d’ingénieur qui le stress énormément. Il a une vie confortable et une bonne paye, mais ce soir, il
veut se casser la tête avec ses amis. La seule personne qui manque à l’appel, et qui à dénié être présente, c’est sa femme Laura (Carrie Glass). Cette dernière,
issue de la bourgeoisie parisienne, avait mis son dévolu sur le petit Cyril, après son embauche dans la boite d’aéronautique que tenait son père, et dont elle assurait
le recrutement. Cette femme de caractère, et un peu plus âgée, avait réussi à l’amadoué, et grâce à l’appui de son père, il a pu grimper rapidement dans l’échelon hiérarchique.
Mais Laura n’est pas venu à la soirée, trouvant cela totalement infantile, et hors de son milieu…
Cyril, totalement éméché par l’alcool, les joints qui tournent, …, commence à délirer total, et à danser n’importe comment. En projetant son corps dans tous les sens,
il finit par heurter un autre personnage, tout aussi stone, qui balançait la tête de bas en haut en essayant de suivre le rythme musical. Romain (Nathan Sylvester),
dans un premier temps, le fusille du regard, puis, l’ambiance aidant, s’en amuse, et tous deux se terminent vautrés dans l’herbe, à force de déambuler un peu partout,
car ils ne tiennent plus debout…
Romain, encore lucide, attiré physiquement par son nouvel ami d’un soir, tente une approche des plus singulières. A son grand étonnement, Cyril, dont les neurones
sont totalement en vrac, se laisse faire… Au petit matin, une partie des fêtards, avec la gueule de bois, commencent à se réveiller dans se dortoir à ciel ouvert
improvisé. Cyril, à moitié défroqué, avec la main de Romain dans le caleçon, repousse ce corps étranger de son organisme avec véhémence, et se recule un peu, ce
qui ne manque pas de réveiller Romain…
Tous deux ne se souviennent plus de cette nuit, et tentent de reconstituer les morceaux, mais en vain. Cyril ramasse ses quelques affaires, et se casse énervé.
Il marmonne « j’suis pas un PD, j’suis pas un PD, … ». Romain, pas décompléxé, et le trouvant à son goût, lui cours après. A l’approche d’une lisière de bois,
Cyril qui remarque son poursuivant, marche de plus en plus vite, la tête baissée, mais il est rattrapé près d’un arbre. Il menace Romain de lui en foutre une sur la
gueule, mais n’a pas le temps de mettre sa menace à exécution, qu’il se voit lui rouler une pelle. Dans un premier temps, il essaye de repousser le jeune gay,
les mains sur sa poitrine, tout en l’embrassant, mais il le fait avec si peu de force et de conviction, que Romain ne bouge même pas. Finalement, Cyril, lui caresse
le dos, et s’en vont plus loin dans le bois…
Tous deux habitaient le même patelin, se qui était facile pour se voir régulièrement. Romain cacha sa liaison hors-norme à sa femme Laura. Si cette dernière devait le
savoir, il se retrouverait sur la paille. Au fil des semaines, cette double vie insupportait Cyril, et ils fomentaient un plan pour se débarrasser de cette femme encombrante…
1 mois plus tard, au bord de l’express, emmenant ses passagers à destination du sud, Cyril & Laura y ont pris place en première classe. Quelques wagons plus loin, Romain
est également présent. Laura qui croit partir en vacance avec son compagnon (ou faire-valoir, selon les situations), mais sa destination finale n’est pas du tout
celle qu’elle croit. En effet, les deux amants ont prévus de la balancer dans le vide, quand le train passera sur un pont. Tout est prévu, ils ont repérés le piège sur
une carte, Romain à fait se voyage plusieurs fois, chronomètre en main. Leur plan est tellement bien préparé, que le jeune Romain a dragué le vieil Antonio (Bernd Donaldson),
un immigré italien ne parlant pas très bien notre langue. Homo aussi, il s’est fait séduire par ce jeune homme, ce n’est pas quelque chose qui arrive tous les jours pour une
personne de son age. Facilement influençable, il accepte d’éjecter quelqu’un du train, croyant que si il fait cela, Romain lui sera dévoué à jamais…
Tous les protagonistes sont en place, chacun regarde sa montre régulièrement, ils tentent tous de refouler leur anxiété. Cyril devra se rendre aux sanitaires,
tandis qu’Antonio, se faisant passer pour un médecin, devra allé chercher Laura en prétextant que son mari à fait un malaise. Puis à l’endroit précis, la poussera
dans le vide, par la porte, qu’il ont au préalable encombré de petits accéssoires, afin qu’elle ne soit pas verrouillée. Mais des grains de sables viennent perturber
la machine du plan parfait…
Parmi ses grains de sable, Julien (Luke Bremner), l’ex de Romain, genre infidèle et beau gosse, et qui n’a jamais supporté de se faire plaquer. Son ego en a
pris un sérieux coup, et a toujours tenté de reconquérir se dernier. Il est dans le même train, car il a fait une rencontre virtuelle sur internet, qui l’invitait
dans le sud. Se détendant les jambes, en parcourant les wagons, et accessoirement yeuter les mecs (on ne sait jamais ?), il aperçoit Romain, et lui tient la grappe.
Romain n’arrivant pas à s’en débarrasser…
Le deuxième problème, c’est Joyce (Virginia Mirren), la meilleure amie de Laura. Une jeune fille totalement extravertie, et acheteuse compulsive.
Elle aussi se retrouve sur les rails des vacances, Tandis qu’elle suivait un des controlleur qu’elle trouvait à croquer, elle se retrouve pratiquement nez à nez
avec Laura. C’est alors qu’elles se font la bise, et sa parle, et ça parle… Cyril n’en revient pas, il n’a jamais vu sa femme dans cet état, enfin, il
s’absentait toujours quand elle recevait des amies. Petit à petit, son espace vital est envahi, et il est contraint de quitter sa place…
Deux pots de colle imprévus viennent contrarier les plans du duo Romain / Cyril, car après leur coup, il avaient aussi l’intention de régler le compte d’Antonio. Mais
le plan semble compromis…
Sortie le 09 Août 2019
Une idée comme ça...
Meurtres à l'allée des stars
Réalisateur : Lisa Landowski
Acteurs : Weston Stern, Adrienne Haywood, Avec le remerciement pour les vrais acteurs qui ont bien vouloir participés au film, et ainsi se faire connaitre d'un jeune public...
Dans les studios hollywoodiens, aux premières lueurs du soleil, L’activité commence à s’afférer, avec l’arrivée des techniciens, acteurs, et autres protagonistes.
Comma à son habitude, le réalisateur est le premier arrivé, certainement pour peaufiner les détails de la séquence d’aujourd’hui. c’est pas une scène primordial,
mais il est méticuleux, c’est quand une franchise qui à perdu son souffle au fil des suites, mais c’est la seule chose qu’il s’est faire. Il ? Sylvester Stallone,
du haut de ses 80 ans passés, réalise Rambo XII, avec pour personnage principal, le petit-fils (John John Jr Rambo) du Rambo des premiers films. Le réalisateur ne
répond pas aux salutations matinales habituelles. Lorsqu’une assistante s’approche de lui, elle tombe dans les pommes, en voyant la chemisette californienne tachée
de sang, transpercée par un poignard jusqu’au cœur…
Sont dépêchés sur les lieux deux lieutenants de police, Edward (Weston Stern), et Lys (Adrienne Haywood). C’est pas la première fois que des personnalités
du show-biz reçoivent des menaces, ou se font agressés. Mais rarement les dégénérés passent à l’acte. Tandis qu’ils prélèvent les premiers indices de se meurtre,
Edward reçoit un appel sur son portable. L’étoile de S. Stallone, sur l’allée Walk of Fame, à subit une dégradation rougeâtre. Une peinture indélébile sang à été
apposée dessus. Les deux agents partent sur les lieux…
Au vu des premières constatations, rien ! Aucun indices, pas d’empreintes, … Edward et Lys ne savent pas comment s’y prendre pour résoudre cette enquête, qui
apparaît assez tordu. Pendant leurs tergiversations, Edward est de nouveau appelé, Nicolas Cage et ]Andy Garcia sont également retrouvés assassinés, un poignard
dans le cœur. Deux étoiles viennent brutalement de s’éteindre, et sous leurs yeux, ainsi que de la populace rassemblée autour d’eux, les étoiles correspondantes
prennent instantanément une couleur sanguinaire…
Edward et Lys ne croient pas à un tour de passe-passe, encore moins aux phénomènes paranormaux. Et ils ont l’intention de mener leurs investigations à termes.
Tandis, que quelque part à Hollywood, ce que les médias ont surnommé « The Star’s Killer », court toujours, et qui va continuer à mettre en préretraites des acteurs
à la gloire passée…
Sortie le 16 Août 2019
Une idée comme ça...
Ken, survivant de l'Eden
Réalisateur : Vlad Tepes
Acteurs : Gregory Huang, Heather Bregman
Musique : Victoria Genre
Sur une planète ravagée par une guerre nucléaire, qui à fait disparaître les océans dans des nuages de vapeurs acides, un homme craint et respecté parcours les
terres arides, a la recherche de l’énigme mystérieuse sur l’art martial ultime des derniers combattants…
Ken (Gregory Huang), est le plus craint et le plus respecté des guerriers post-apocalyptique. Sa force et son invulnérabilité, lui a toujours donné raison sur ses
ennemis. Mais il veut être the best of the best, le légendaire invincible Ken, de l’école Hokuto Shinken. Sa quête touche à sa fin, devant la forteresse du seigneur
Barbie, qui garde jalousement son secret. Le combat ne perd pas de temps à commencer entre les deux ennemis. Ken arrive finalement à le vaincre, et à lui désagréger
sa lourde armure. Mais il reste sans voix, quand il s’aperçoit que son ennemie inanimée n’est rien d’autre qu’une femme Heather Bregma. Mais, ce n’est pas la seule
raison à son silence, avant de trépasser, elle a réussie à sortir sa botte secrète, et d’infliger un coup mortelle à Ken. La main serrant fortement sa poitrine, un
filet de sang s’en échappant, il tombe parterre les genoux en premier, puis sa tête s’écroule sur le sol, en expirant son dernier souffle…
Quelques instants plus tard, il se réveille dans un endroit angélique, bordé de nuages. Il ne comprend guère, d’autant plus qu’il se met en position défensive dès qu’il
voit la Barbie.
Allons mes enfants. On ne se bat pas ici ! Provenant d’une voix céleste. St Pierre en personne s’exprime à eux, leur informant qu’ils sont au Paradis,
et qu’il est bien embarrassé par cette situation…
Oui, normalement, ils devaient aller directement au purgatoire pour leurs méfaits. Ken à tué tellement de monde, et sauver d’autres, que la balance de son
âme restait neutre. Quant à Barbie, qui est un nom dérivé de barbarie, elle s’est débarrassée de Ken, qui aurait pu devenir un fléau. Pour savoir qui prendrait
en charge ses deux garnements, St Pierre et Lucifer, les jouèrent aux dés. Et c’est St Pierre qui a perdu…
Le gardien de l’Eden leurs fait faire le tour du propriétaire, avec les activités des résidents, le règlement intérieur, etc…, etc….
Barbie et Ken se regardent d’un air haineux, toujours près à se foutre sur la gueule. Mais le pire pour eux, c’est ce lieux infâme, ils se voient mal joués aux
échecs pendant l’éternité. Toujours méfiant l’un envers l’autre, mais d’un air complice, ils décident de fuir cet enfer triste à souhait, et qui pète les yeux
avec tout se blanc. Coûte que coûte, ils trouveront un moyen de retourner sur Terre…
St Pierre, furax, lance ses troupes à la poursuite des fuyards. Une horde de papys en déambulateurs, les angelots plus rapides avec leurs ailes vont leurs barrer
la route, De jeunes vierges totalement nues espères troublées Ken, et de même avec de beaux étalons pour Barbie. Des milliers d’êtres du paradis céleste encerclent
les deux dissidents. Un être déjà mort, peut-il re-mourir, c’est une question à laquelle Ken et Barbie vont répondre en combattant côte à cote l’armée de l’Eden…
Sortie le 23 Août 2019
Une idée comme ça...
C'est une belle journée pour mourir
Réalisateur : Howard Figgis
Acteurs : Gianni Ratélavarape, Aileen Eastwood
Sur se papier, je couche mon histoire à qui voudra bien le lire, s’il n’est pas détruit avant…
Je me prénomme Philibert (Gianni Ratélavarape), autrefois, j’étais un noble fortement respecté. Mais ce temps est bien révolu. Tant de mois, tant d’années,
que je moisi dans cette geôle. Tout ça pour une divergence d’opinions avec le souverain, ce chien de dictateur…
A l’époque, nous étions en guerre contre un pays voisin. Enfin ! Le roi les a attaqués pour piller leurs ressources, tant alimentaires, matériels, que humains.
Chaque seigneurs devaient apporter sa contribution à cette guerre, disons plutôt massacre. Et j’ai refusé d’y apporter mon soutient, en ne fournissant pas une
partie de mon armée militaire. Le retour de bâton fût terrible et sans concession. J’ai été arrêté, puis destitué de mes titres et de mes terres. J’aurais à peine
connu ma petite Nadia, qui n’avait même pas deux ans lorsqu’on m’a écroué. Mais grâce à une de mes servantes, elle l’a cacha, puis s’en occupa. Quant à ma femme,
elle fût maintes fois violées, pour finir sur le bûcher de la damnation…
Quelle méthode archaïque et barbare pour faire peur à la populace et aux autres seigneuries, de la toute puissance du souverain. Mais depuis peu, une lueur d’espoir
illumine mon cœur. Ma petite Nadia (Aileen Eastwood), enfin, qu’est ce qu’elle l’a grandit, cela fait peut-être dix ans maintenant. Elle à retrouvée ma trace dans les
tréfonds de la prison royale. De temps en temps, elle me rend visite, mais sous une fausse identité, sous peine de connaître le même sort que sa mère. Elle n’a jamais
voulu me dire de quelle façon elle m’a retrouvée, mais peu importe, elle est vivante…
Ses visites sont toujours rapide, et elle ne me regarde jamais vraiment, je crois que je la dégoûte. Mais je ne lui en veut pas, une hygiène déplorable, des
cicatrices parcourant tout le corps, sans compter le visage qui à le plus souffert de la tyrannie d’un chef sans cœur…
Je ne vais pas énumérer tous les sévices que j’ai subi depuis mon internement ici, un ouvrage de plusieurs tomes, ne suffirait pas. Je ne sais même pas si ce que
j’écris en ce moment sera lisible, tellement que je peine à écrire…
Si j’écris ceci, c’est que ma fin approche, ils me l’ont dit. De plus ma fille ne me rend plus visite depuis un moment, j’espère qu’ils ne l’on pas démasquée.
J’entend les trompettes hurlées, j’ai perdu la notion du temps, ça doit être l’heure. Je me dépêche de décrire mes dernières impressions…
En l’an de grâce 3026, je vais recevoir le châtiment de traître, dans une arène remplit de curieux avide de sang. Je connais déjà la façon dont je vais mourir, je
serais ligoté à un treuil, puis écartelé par des machines qui contrôle l’engin avec une rare minutie pour faire durer leurs plaisirs au maximum. Puis le reste de mon
cadavre sera jeté en pâture aux fauves, le sol est saturé et pollué de cadavres depuis des siècles…
Quel temps magnifique ! J’entends des pas qui se rapprochent, la porte s’ouvre, la lumière me brûle le yeux…
Sortie le 13 Septembre 2019
Une idée comme ça...
Animations Movies
Réalisateur : Sandrine McClean
Acteurs : Brendan Badelt, Heather Barker, Herbert Lester, Annie Martinez
Dans une citadelle, perçant le ciel par-delà les nuages, le jeune prince Aristode d’Armeniac (Herbert Lester) lit une incantation tiré d’un vieux grimoire,
réapparu par le destin des temps anciens. Aristode ne croyait pas aux prophéties, encore moins quand il s’agissait de la fin de son royaume…
Tandis qu’il prononçait à haute voix des symboles runiques, ceux ci s’évaporaient un par un des pages abîmées, pour s’envoler au-dessus du prince en prenant une
taille démesurée, puis explosent dans un éclat lumineux. La concentration du jeune homme est telle, qu’il n’entend guère des pas gravir les escaliers de la tour à
toute vitesse. Des gardes fracassent la porte, puis armés de leurs épées, assaillent le jeune prince. L’incantation interrompue par les coups meurtriers des soldats,
le grimoire se met à vibrer, projetant les gardes au sol, tandis que le corps du jeune prince est aspiré dans les méandres du bouquin. Ce dernier se refermant brutalement,
puis s’écrase au sol…
Une main féminine, avec de long ongles noirs et recourbés, se saisit du grimoire. Dans son armure argentée de milles joyaux, Cléo (Annie Martinez)
se réjouit d’avoir pu acquérir l’objet qui accroîtra sa puissance sur le royaume, et d’avoir tuée le dernier enfant de la lignée royale….
------------Flashback rythmée par le thème de Nausicaa, de la vallée du vent----------
Cléo, avant d’être avide de sang, a vécut normalement comme toutes les petites filles de son age. Alors qu’elle n’avait pas onze ans, sa contrée qui était
autrefois riche et prospère, fût envahie par les armées d’Armeniac, na laissant que désolation sur leurs passages. Lorsque le village de la jeune Cléo fût
attaquée à son tour, hommes, femmes, enfants, trépassaient dans d’insoutenables agonies. En tentant de prendre la fuite par un pont suspendu, en regardant
derrière elle, elle assista au massacre de ses parents. Les flèches sifflaient auprès de ses oreilles, puis transpercée à la jambe, bascula par-dessus le pont
pour finir au fond du précipice. Au lieu de se fracasser les os sur les rochers, sa chute fut amortie par une immense main couverte de poils bleus avec des reflets
violacés. Une fois déposée délicatement au sol, cette partie d’anatomie se métamorphose en une créature aux formes confuses. Pas méchante, elle aide Cléo à se rétablir,
et parlant différents dialectes, elle arrive à communiquer avec la petite fille. Après quelques jours, cette dernière rejoint les siens, tout au moins les survivants !
La vengeance étant le seul leitmotiv qui l’aida à survivre dans se monde impitoyable…
Cléo, la grande prêtresse guerrière des temps futurs, avait enfin assouvi sa vengeance, et trônait en tant que chef de guerre suprême, sur le royaume d’Armaniac…
A milles lieues d’un royaume ensanglanté, par delà les montagnes de l’éternité, le vrombissement d’un bi-moteur se fait entendre. Albatre (Brendan Badelt),
le pilote du zinc, est en passe de s’écraser depuis qu’une immense hallucination est apparue devant lui. Cette explosion visuelle qui l’a ébloui pendant quelques
secondes, lui a fait perdre le contrôle de son aéroplane, perdant inexorablement de l’altitude…
Au moment de s’écraser, le petit avion se redresse dans les airs, relevant de l’incompréhension d’Albatre, vu qu’il n’arrivait pas a faire la moindre manœuvre
sur son appareil. Lorsqu’une voix venant de nulle part, lui dit de ne pas s’inquiéter. Ce fameux éclair qui s’était produit quelques temps avant, avait projeté
l’esprit de feu Aristode dans la carlingue de l’avion, certainement dû à l’incantation inachevée. Le zinc qui parlait, se mouvait comme bon lui semblait, faisait
un topo sur sa personne et ses intention futures. Albatre, malgré lui, est embarqué dans un combat qui ne le concerne guère…
Mais avant de se lancer dans une attaque suicidaire, l’avion Aristode veut recourir l’aide de la sorcière des temps présents, December (Heather Barker),
la seule à pouvoir leurs donner un coup de main efficace, d’autant plus que c’est elle qui avait fait apparaître le grimoire des temps anciens…
Sortie le 20 Septembre 2019
Une idée comme ça...
Bang Bang - Remake spécial anniv.
Réalisateur : Sergiot
Acteurs : Jack Carta, Carrie Glass, Jim Nastik, Isabel Hardy, Jex Plose, Mehdi Ciss
Musique : Kristen Rosenmeyer
Sous la lune blafarde, un train éclairée par cette dernière arrive en gare de Gérardmerveille. A cette heure aussi tardive, c’est la dernière liaison
Lestrade-Gérardmerveille, seuls quelques passagers en sorte. Un métis cinquantenaire fringuant (Mehdi Ciss), longe le quai d’un pas pressé,
tout en allumant une cigarette. Avec la fraîcheur, il remonte le col de son imper, et continue sa route jusqu’à la sortie de la gare. Arrivé sur la rue attenante à la gare,
il regarde autour de lui, l’air soucieux, puis continue son chemin, vers le centre ville, que les lampadaires peinent à éclairer. Ne faisant pas attention,
il percute dans un jeune homme qui se trouvait sur son passage. Ne s’excusant pas, il contourne son obstacle vivant, mais est rattrapé par le bas du manteau par ce dernier.
L’homme tente de s’en défaire, mais le jeune homme lui demande une cigarette, c’est la moindre des choses. L’homme ne voyant pas d’autres options, accède à sa requête,
et lui tend son paquet de clope. Le jeune homme prend la cigarette, et attend que son interlocuteur lui allume le produit cancérigène. Tandis qu’il fouille dans l’une de
ses poches pour trouver son briquet, le jeune homme sort un flingue, et le plaque sur le bas ventre de sa victime. Il n’a pas le temps de réaliser son funeste destin, qu’il
reçoit deux coups de feu dans le corps. L’assassin ramasse le briquet qui est à terre, allume sa clope, et repart dans la pénombre d’une ruelle. La fumée de la cigarette se
dissipant en direction d’un néon grésillant, éclairant par intermittence le cadavre…
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Générique : Bang Bang (le remix spécial anniv. Sergiot Production - Sheila / Nancy Sinatra)
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Pour Damien (Jack Carta), la nuit ne fait que de commencer. Maintenant qu’il a effectué son travail aussi proprement que sa réputation le permet,
il décide de se relaxer au Sergiot’s Club, dont il connaît bien le patron.
Damien à effectivement un lourd secret et un long passé. Pas le fait qu’il soit gay, car il ne s’est jamais caché, mais que son boulot consiste à supprimer des cibles
vivantes pour de mystérieux commanditaires…
Sous son air de jeune minet, personne ne peut imaginer que c’est un tueur de sang froid. Dans le club, il danse, boit, flirt, … jusqu’au petit matin. A l’aube,
la boite de nuit se vide petit à petit, les videurs aidant les retardataires. Damien, qui a récupéré quelques numéros de téléphone et e-mails durant la nuit, se
décide à rentrer également, pour bien dormir et avoir l’esprit clair pour sa prochaine mission. En sortant de la boite, il tombe nez à nez avec le chef de la sécurité,
Alexis (Jim Nastik). Ce dernier, impassible, à également hâte que tout le monde sort, pour pouvoir également allé se reposer. Mais Alexis à le béguin pour le
jeune Damien, d’autant plus qu’il l’avait déjà remarqué lors de ces précédentes virées nocturnes au Sergiot’s Club. Damien ne pouvait pas penser qu’il plaisait à
quelqu’un, d’autant plus qu’il à toujours refouler le moindre sentiment au plus profond de son âme, car cela était complètement incompatible avec sa vie personnelle
et professionnelle. Alexis lui proposa de le raccompagner chez lui, d’abord réticent, Damien accepta. Finalement, avec un peu d’insistance, Alexis fût invité dans
l’appartement, et se terminèrent dans le même lit…
Damien avait fortement apprécié cette rencontre fortuite, et accepta de revoir le chef de la sécurité du Sergiot’s Club. Une relation plus soudée entre les
deux hommes se soudèrent, et ils se voyaient régulièrement. Damien à toujours été flou sur sa profession, ce qui n’avait pas l’air de trop gêné son amant. Pendant
qu’Alexi gagnait sa vie au club, Damien rempilait pour de nouveaux contrats et de nouveaux meurtres…
Cet amour naissant au fond de son cœur le troublait, c’était un sentiment mystérieux qu’il n’avait jamais connu auparavant. Pourtant, des mégas beaux mecs,
il s’en est tapé, mais avec Alexis, c’était différent. Ces pensées vont de plus en plus vers Alexis, ce qui le déstabilise, et lui joue des mauvais tours pour
supprimer une cible…
C’est ainsi que Damien se rend au Central Park, pour honorer son nouveau contrat. Il doit éliminer une assistante de direction (Carrie Glass), qui
prend toujours ce chemin à pieds, ce qui l’a raccourcie pour se rendre au Quartier d’affaire. Damien l’ayant repéré, il l’a suit d’un pas soutenu pour la
rattraper. Il sort son cran-d’arrêt pour la planter discrètement dans le dos, et ne pas éveiller la curiosité d’éventuels passants. Au même moment, à quelques mètres
derrière de sa cible, le PDA de Damien se met à sonner. La femme, alertée par la sonnerie, se retourne instinctivement, et voit, reflétée par le soleil, la lame
sortie de son assaillant. Pris de panique, elle commence à courir, mais avec ces talons aiguilles et son petit tailleur, ce n’est pas très pratique.
N’arrivant pas à distancer son agresseur, et de plus en plus affolée, elle trébuche et tombe parterre. La terreur l’empêche d’émettre le moindre son de sa bouche.
Furtivement et habilement, Damien passe à coté de la pauvresse, puis s’éloigne d’un corps inerte, un long flot rougeâtre émanant de la gorge…
Damien sort son PDA, et lit le texto qu’il vient de recevoir « JE T’M BB ». Ce petit mot le remplit de joie, et lui renvoi un message du même type. Mais un léger
rictus apparaît sur son visage, car ce mot doux à failli lui coûter un contrat…
Damien et Alexis se fréquentent pratiquement quotidiennement, se qui laisse moins de temps au jeune tueur à gages de préparer ses futures interventions.
Ses sentiments sont tels, qu’il envisage même d’arrêter son job et de s’enfuir avec son bien-aimé. Encore une nuit torride entre les deux corps fusionnels.
Mais Damien se lève le premier, regarde tendrement sa moitié qui dort encore, puis part pour un nouveau contrat…
Il se pointe dans le parking d’un hôtel de luxe, et déjouant la surveillance des caméras et des vigiles, se faufile sous la carrosserie de la berline d’un
couple d’ambassadeurs russes. Il a trop de mal à se concentrer, et à fixer la mini-bombe, il a pu trop les yeux en face des trous. Le manque de sommeil, et
l’agitation sous les draps de cette nuit, l’empêchent d’accomplir avec tact et professionnalisme, la pose de la charge explosive. Tant bien que mal, il
y parvient quand même, puis s’enferme dans un local technique, le temps que l’hôtel soit en heure creuse, pour pouvoir sortir de la porte incognito…
Le couple qui parle dans leur langue maternelle, longe le long corridor menant au parking, la mallette diplomatique menottée au poignet de l’homme (Jex Plose).
Quant à sa femme (Isabelle Hardy), malgré la fraîcheur de son visage, elle hurle au travers de son téléphone portable, se qui doit ressembler à des menaces ou
à des insultes. Tout deux se dirige vers l’automobile piégé…
Les paupières se ferment irrémédiablement, et Damien s’assoupit dans le local, la tête s’appuyant contre le mur. Une déflagration le réveille en sursaut.
Il regarde sa montre, et c’est pas normal, l’auto aurait dû exploser dans la rue, et bien plus tard. Reprenant ses esprits, il se sauve, et dans la confusion la
plus totale passe tout de même inaperçue…
Des doutes envahissent Damien, il ne sait plus sur quel pied danser. Sa réputation risque d’être mis à mal, si sa vie personnelle devait affecter son travail.
Il reçoit un nouveau mail de ses commanditaires sur son PDA. Ouvrant le message, la photo qui apparaît tout doucement sur l’écran tactile, désigne son cher Alexis
comme prochaine cible…
Le choix n’est plus permis, une décision doit être prise !! Sortant du théâtre des 2 bourricots, où ils se sont esclaffés de rire pendant la représentation
de passe-moi le beurre, que je t’enduise de tartine, ils décident de poursuivre la soirée en se baladant dans le Centre historique de GM, main dans la main.
Comme une bête avide de sang, Damien saisit la tête de son bien aimé, et lui roule un énorme patin, qui semble durer une éternité pour tous les deux. Pendant
ce moment de jouissance à deux, Alexis sort une arme à feu, et une double déflagration retentit dans la petite ruelle où ils s’étaient arrêtés, faisant
fuires les quelques chats qui fouillaient les poubelles. Alexis, la mort au ventre, détache ses lèvres de son assassin, puis son corps glisse doucement le long de la frêle
carrure de Damien. La dernière chose que vit Alexis sur ce bas monde, c’est une larme se détachant de l’œil droit de son meurtrier…
Ce dernier farfouille l’une de ses poches, en sort une Menthol, puis l’allume. Comme si de rien n’était, l’air impassible, les mains dans les poches, rentre
chez lui en prenant son temps. Ce soir, il est trop fatigué pour faire la fête, mais espère bien reprendre ses émotions en mains, et continuer à fréquenter
le Sergiot’s Club, tout en restant l’un des meilleurs dans la profession. Et il jure de ne plus vouloir connaître cette situation…
Sortie le 04 Octobre 2019
Remake du tout 1er film du studio, sorti le 03/10/09 : Bang Bang.
Ce film est un hommage aux 10 ans de présence du studio à GM...
Liens vidéo tournant autour du film (vous remarquerez les premiers logos du studio...) :
- Bang Bang (vers. BD).
- Bang Bang (en 3D).
Made in Taïwan
Réalisatrice : Adrienne Berlin
Acteurs : Sebastian Tilford, Heather Barker
Depuis les années 2010, la surpopulation grandissante obligea toutes les nations à contrôler les naissances. Un enfant par famille était tolérer ! Mais aux nombres
des familles qui contournaient la loi, une méthode plus radicale fût élaborée…
A l’insu des populations, toutes les eaux furent contaminées par un produit qui a nécessité plusieurs années de recherche. Cette substance, une fois ingérée dans
l’organisme, devait empêcher toutes les femmes de tomber enceinte une deuxième fois. Après la première grossesse, elles devenaient stériles. C’était tellement bien
pensé, que seule la gente féminine en subissait les conséquences. Mais comme dans toutes expériences, des fois, il y a des ratés…
En effet, la surpopulation grandissante a été stoppé net, car toutes les femmes étaient devenues stériles, quelque soit leurs âges, avant même d’avoir eu leurs
premiers ébats sexuels. Ainsi, diverses firmes privées et gouvernementales se créèrent un peu partout dans le monde, proposant des bébés à acheter. A l’aide de
quelques échantillons sauvegardés des années passés, la fabrication de bébés éprouvettes se faisaient à la chaîne, et moyennant une somme d’argent, n’importe quel
couple pouvait en acheter, en deux clics sur internet…
Loïc (Sebastian Tilford) et Laëty (Heather Barker), un couple en mal d’affection, aimerait tant en acheter un. Parcourant les différentes brochures, le net, …,
sur les différentes sociétés, ils finissent par désespérer, car le prix demandé dépasse leur petit budget. A force de recherche et de persévérances, ils tombent
enfin sur une offre alléchante. Une agence du continent asiatique propose des prix défiant toutes concurrence. Après tout, un bébé, c’est un bébé. Ils passent
commende par internet auprès de l’agence Taiwanaise, dont la livraison par transport spécial, est prévu d’ici deux semaines…
Le jour J est enfin arrivé. Le couple, heureux de leur nouvelle acquisition, signe le reçu du transporteur, puis s’empresse de s’accaparer ce colis un peu spécial.
Ce type d’achat étant très réglementé par les gouvernements, d’autant plus qu’ils ne peuvent faire qu’un seul achat de nourrisson, ils sont très heureux d’arriver
au bout de leurs peines…
Dans leur petit pavillon banlieusard, ils regardent le bébé sous toutes les coutures. La femme tombe en sanglots sur l’épaule de son mari. Ils ont été livré d’un
enfant trisomique. Ils s’en souviendront du made in Taiwan…
Sortie le 11 Octobre 2019
Idée en faisant las courses, marre des sous-produits asiatique...
Le petit Poucet Parisen
Réalisateur : Eli Coptère
Acteurs : Hugo Constantinescu, Lara Carlos, Herbert Lester, Clara Vane
Musique : Victoria Genre
Dans une banlieue pauvre de la région parisienne, Ines Abdallah (Lara Carlos) est bien chagrinée. Elle a toujours réussie à maintenir sa famille à flot, malgré
ses conditions de vie, et la misère dans laquelle elle vécut, avec les siens, depuis son arrivée en France. Mais ses temps de disettes sont beaucoup plus difficile,
notamment depuis le décès de s on mari, qui rapporter en sus un maigre surplus financier grâce à divers petits boulots payés au [i}noir. Mais la situation est telle,
qu’elle n’a pas d’autres choix de se débarrasser de ses enfants, en l’occurrence 7 fils (avec 4 pères différents), dont l’ainé a à peine 12 ans…
Ce matin là, Inès décide d’emmener tous ses enfants dans la capitale, pour les distraire un peu. En arrière-pensée, s’en débarrasser ! Toute la nuit, elle avait
ruminée son plan d’abandon, des fois elle exprimait ses pensées à hautes voix, mais malheureusement pour la pauvre mère, les murs ont des oreilles. En effet,
le benjamin de la fratrie entendit le sombre destin qui lui était réservé, avec ses frères…
Mustapha (Herbert Lester), du haut de ses 1mètre20, avait trouvé la combine pour déjouer le plan de la matriarche traitresse. Pas très grand pour son âge, ses copains
l’avaient toujours chahuté en le surnommant Le Petit Poucet, faisant référence au conte de Perrault. Connaissant les grandes lignes de cette histoire, il espérait
réitérer le même scénario, à sa manière…
Au petit matin, les 7 frangins sont réveillés par leur maman, pour une longue ballade. Aucun des garçons ne disaient rein, pour une fois qu’ils allaient sortir de leur
quotidien délabré. Durant de longues heures, ils marchèrent au travers des banlieues et cités-dortoirs, en direction de la capitale. A la traine du groupe, Mustapha
sortait régulièrement de la poche de son pantalon, un marqueur, qu’il utilisait pour marquer le chemin parcouru…
Arrivés au cœur de Paris, au niveau du Forum Des Halles, les enfants étaient émerveillés par tout ce qui les entouraient, tous ces gens d’un pas pressé s’agglutinant comme
des fourmis pour rentrer dans la station de métro, une architecture qu’il n’avaient pas l’habitude d’admirer, … Pendant que les enfants regardaient autour d’eux, s’esclaffant
sur tout ce qu’ils voyaient, Inès en profita pour parti loin, très loin de ses progénitures. Les larmes aux yeux, elle espérait qu’ils puissent trouver une maison d’accueil…
L’extase retombée, les marmots cherchèrent leur mère en vain. Mustapha, ne voulant pas les inquiéter, prit la tête de l’expédition pour rentrer dans leur quartier. Et en
suivant les symboles qu’il avait griffonné partout, il n’eu aucun mal à prendre le bon chemin…
De retour au bercail, les enfants comme la mère, étaient fous de joies de se retrouver. Mustapha expliqua à sa mère ce qu’il à fait, et en reçu les honneurs. En effet,
après son escapade à Paris, Inès apprit que son défunt mari avait fait une demande de papiers auprès de la préfecture. Ce qui leurs permettraient d‘avoir des aides de
l’état, pour enfin sortir un petit peu la tête de l’eau…
Dans leurs malheurs, cette gaieté n’était qu’éphémère, car la demande du mari avait été rejetée par la préfecture. Au bord de la dépression, Inès retenta une nouvelle
fois de les abandonner dans la jungle parisienne.De plus, elle s’assura qu’aucuns des garçons n’avaient emportés avec lui un quelconque objet. Inès connaissait un peu
Paris, pour y avoir été femme de ménage chez une vieille bourrique, Et Place du Trocadéro, fila à l’anglaise, laissant une nouvelle fois les enfants avec leurs destins…
Les 7 frères étaient perdus, limite paralysés par toutes ses voitures, klaxons, piétons, cris, … Mustapha reprit l’initiative de les ramener au bercail. Mais sans repères,
ils prenaient les routes au hasard, tandis que ses frères pensaient suivre un guide qui savait où il allait. Pendant des heures, ils déambulèrent dans la capitale. Extenués,
ils s’assaillirent dans une petite ruelle, bordée d’immeubles à l’allure bourgeois. Dans la pénombre de la nuit, ils voient une femme descendre les poubelles. Tous accourent
auprès d’elle pour demander pitance. Croyant se faire agresser, elle est acculée contre le mur par les marmots, puis comprend qu’ils veulent juste un peu d’aide. Germaine
(Clara Vane), ne peut les accueillir, elle n’est qu’une simple employée de maison, et son patron, qui est haut fonctionnaire, ne supporteras pas de les avoir chez
lui, en particulier de blacks…
La pauvre femme à quand même pitié, et les laissent rentrer, mais à sa grande stupeur, le chef de la maison (Hugo Constantinescu) rentre plus tôt. Les gamins obligés
de se cacher sous le premier lit venu. A peine qu’il est rentré chez lui, donné son manteau à sa bonne, qu’il sent une odeur bizarre, un peu nauséabonde. La cocote de
la cuisine en ébullition, n’étouffant pas l’odeur. Le regard de l’homme en direction de Germaine fulmine, son visage se décompose, il ouvre violemment la porte d’une
des chambres, et instinctivement, sort les gamins un par un de sous le lit…
Devant ses garnements terrorisés puants et mal-habillés, Son premier réflexe est d’en prendre un par le colback, et de lui exploser la tête contre un mur.
Mais il est interrompu dans ses élans sanguinaires par sa bonne, qui le supplie de remettre la sentence au lendemain. Il est tard, harassé par son travail,
et surtout, il ne faudrait pas qu’il réveille ses filles…
Une chambre de fortune est improvisée pour les intrus, et durant la nuit, Mustapha se réveil en sueur, la peur au ventre, avec un très mauvais pressentiment.
Profitant de l’endormissement de tous, il se faufil dans chaque pièce, intrigué de l’immensité de la demeure, et pour ne pas avoir de mauvaises surprises.
En ouvrant l’une des portes, il entre dans une chambre joliment décorée, avec 7 lits occupés cote à cote. Une idée un peu folle lui traversant l’esprit, il
ramasse les fringues de tous ses frères, et les disposes dans la chambre où dorment 7 petites filles…
Mustapha, est à peine sorti de la chambre, qu’il entend les pas lourd de l’homme de la maison, monté l’escalier, avec quelque chose de métallique frappant chaque marche.
Aux marmonnements de sa voix, et aux bruits de ses pas irréguliers, Mustapha pense qu’il est bourré, et il ne veut surtout pas se retrouver devant lui. Pris de panique,
il réveille ses frères, et partent discrètement de la maison, avec comme seul vêtement sur eux un slip…
L’homme, alcoolisé jusqu’aux os, n’allume aucune lumières, titubant dans le couloir, il se fie à son odorat pour trouver la chambre des enfants maghrébins.
Arrivé dans la pièce maudite, il brandit au-dessus des lits un tisonnier récupéré auprès de la cheminée, lorsqu’il est passé devant avec une bouteille se
whisky à la main. S’en servant comme arme, il frappe violemment chaque lit de toutes ses forces, les draps prenant petit à petit une couleur rouge…
Alerté par le vacarme, Germaine rentre en trombe dans la chambre et allume la lumière. Elle y voit son employeur frappée à mort ses propres filles. Elle essaye de le
résonner, mais en vain. En quatrième vitesse, elle prépare un café salé, qu’elle oblige à boire. Cette préparation de grand-mère, est un traitement de choc pour un homme
saoul. Il se met à dégueuler, et commence à reprendre ses esprits. Il constate avec effroi le massacre qu’il à commis sur ses propres filles…
Sentant le démon monté en lui, n’écoutant que sa vengeance, il plante son tisonnier dans la tête de Germaine. Descendant au rez-de-chaussée, il ouvre le tiroir de son bureau,
et en sort un petit coffret. A l’intérieur, un Magnum, étincelant comme au premier jour. L’arme chargée, et habillé d’une combinaison de cuire, il enfourche sa Harley
Davidson, qu’il utilise qu’occasionnellement. Traversant les rues à une vitesse folle avec sa moto, il compte bien régler le compte des 7 frères….
Sortie le 18 Octobre 2019
Une idée comme ça...
La chasse est ouverte !!
Réalisateur : Bill Houte
Acteurs : Shannon Tasz, Howard Kwiat
Voici un reportage inédit dans le milieu de la chasse. Où vous pourrez suivre un couple de chasseurs, dont ce loisir est une véritable vocation…
Laurent (Howard Kwiat) est développeur-intégrateur dans une grosse boite informatique de Gérardmerveille. Même si son métier le passionne, le travail le stress énormément.
Le seul échappatoire qu’il s’est trouvé, se trouve au bout de son fusil. En effet, pratiquement tous les week-ends, il s’adonne au tir à vue, avec sa coéquipière
(et épouse dans la vie)…
Lucie (Shannon Tasz), femme au foyer et mère de deux enfants, à commencée cette activité sans grande conviction. Elle voulait soutenir son mari pour pas qu’il
flanche, puis pris peu à peu au goût du sang. Pourtant, dès le début, elle supportait difficilement que l’on puisse abattre des être innocents et sans défense…
Laurent a toujours décidé dans quel secteur chasser, et a décidé de flairer ses proies dans le secteur de Seattle. Se loisir n’est pratiquement plus réglementé, a cause de
la surpopulation grandissante de certaines espèces, et qu’il faut endiguer l’avancé de se fléau…
Descendant de leur 4X4 au fin fond des terres au nord de la ville, le couple commence par patrouiller et repérer les alentours. Toujours à l’affût du moindre bruit,
prêt à tirer, ils pistent les indices laissés par le gibier…
Marchant le long de chemins sinueux et escarpés, ils arrivent dans un amalgame de taudis et autres abris de fortune. Malgré un lieu déserté, il y avait des occupants
dans se genre de bidonville, y’a peu…
Poursuivant leurs traques, ils stoppent net, des brindilles craquants, et le feuillage bougeant bizarrement. Tous deux sont prêt à faire feu ! Une forme se dessine au
ravers des végétaux, n’ayant plus de doutes, le bruit des calibres résonne dans la forêt et fait fuir les qui s’envolent par-dessus les arbres. Laurent, l’arme au point,
s’approche prudemment près du bosquet et s’écrie «On en a deux pour le prix d’un !». «Formidable !», s’écrie sa femme.
Effectivement, il sort deux cadavres, une femelle et sa fille. Même s’il ne s’agit pas de leurs premiers trophées, et loin de là, ils exultent quand même de joie.
La caméra s’approche des deux corps pour découvrir les formes humaines de leurs proies. Laurent surenchérit « Vous savez, les pauvres, tant qua ça prolifère, y’a de
quoi occuper tous nos week-ends. Espérant que la gouvernement élargisse d’avantage la période de chasse… » .
Sortie le 25 Octobre 2019
Une idée comme ça...
Mario peut se brosser !
Réalisateur : Bill Houte
Acteurs : Herbert Lester, Clara Vane
Dans un monde parallèle au nôtre, une alliance improbable s’est formée entre Warrio et Bowser . Leur but, détruire un ennemi commun…
Warrio est le cousin jaloux du célèbre plombier Marrio , qui a sauvé tant de mondes et de civilisation. Sa seule obsession dans l’élimination de Marrio, est son amour
incommensurable pour la princesse Peach , un amour qui est loin d’être réciproque. Pour cette raison, qu’il s’est allié avec la pire vermine que Marrio combat : Bowser.
Un roi machiavélique qui ne rêve que de conquête et d’assouvir tous les peuples, mais dont les plans ont toujours été mis à mal par le plombier….
Dans le château ténébreux de Bowser, encerclé de lave incandescente, une voix féminine se fait entendre, c’est celle de la princesse Peach qui demande pitié.
Toujours aussi conne et prompte à se faire capturer, une fois de plus elle est tombé dans les griffes des deux lascars…
Mario, Todd (l’esclave champignon de la princesse), et Yoshi (la monture verdâtre de Mario), ont réussi à pénétrer dans la forteresse, et mettre en déroute tous les
gardes. Mario et ses compères narguent les cdeux comparses, surtout pour accaparer leurs vigilances, car dans leur dos, le frangin gringalet du plombier, Luigi ,
à grimper jusqu’au cachot suspendu de la princesse en détresse, pour la libérer…
Bowser sort une arme redoutable pour les exterminer. Luigi quant à lui, avec sa maladresse, en tentant de forcer la serrure de la cellule, fait chuter le cachot au sol.
Emmenant dans sa chute la princesse avec lui, ils viennent s’écraser sur le canon laser du roi Bowser. Se qui fait déclencher l’arme, tirant dans tous les sens. Warrio et
Bowser filent se planquer dans les salles obscures du château. Un tir de l’arme détraqué atteint simultanément Marrio et Todd, qui les fait transmuter en un seul et même
personnage. Un être haut comme trois pommes, gardant le physique de Marrio à l’age prépubère (Hebert Lester) . Un autre tir atteint Peach et Luigi, qui fait naître une princesse
vieille fille, totalement ridée, et nynphomane (Clara Vane)…
Quelques secondes après, le canon explose. De quatre héros, ils sont passés à deux êtres totalement barrés de la tête. Le soumis Marrio jeune, serait prêt à
tout pour faire plaisir à la princesse, quitte à être un sex-toy. Alors qu’elle, ne s’intéresse pas aux immatures, mais veut mettre le grappin sur Warrio. Se
dernier, a changé d’avis sur Peach, dont la laideur le révulse au plus profond de ses entrailles. Alors que Bowser lui trouve un certain charme…
Les deux monstres de foire montent sur le seul qui n’a pas subi de transmutation, Yoshi. Dans le château, le jeu du chat et de la souris, anime se lieu sinistre….
Sortie le 01 Novembre 2019
Une idée comme ça...
Nicky Larson en Harley Davidson
Réalisateur : Sergiot
Acteurs : Ronald Legrand, Clara Vane
De nos jours, à Gérardmerveille, la jeune actrice à l’avenir prometteur, Clara Vane (dans son propre rôle), reçoit des lettres de menaces anonyme. Son manager, qui
était au courant du danger qui pesait sur sa pouline, décide de faire appel au célèbre Nicky Larson (Ronald Legrand).
Nicky arrive dans se haut lieu du cinéma. Après un bref entretient avec le manager, il se rend au domicile de Clara. La jeune femme, timide, se présente, et est
soulagée d’avoir un garde du corps, car elle n’ose plus sortir de chez elle. Nicky lui dit de ne pas s’en faire, que la garde rapprochée est sa plus grande compétence,
et que le cops de Clara mérite toutes ses attentions (et ses intentions)…
Comme mû par un démon, Nicky tente de peloter les seins de sa protégée, mais il est remis en place par une grande claque qui lui déforme la mâchoire.
Les esprits retrouvés, son œil de lynx détecte instinctivement des ombres rôdant prêt des fenêtres. Dégainant son magnum 357, aggripant le bras de la
fille, ils sortent de la maison en courant, les bruits de feu résonnant dans tout le quartier. Des hommes en costards tombent comme des mouches sur les
traces des deux fuyards. Acculés dans une ruelle, un homme baraqué leurs barre la route avec sa moto, sortant un fusil à pompe, Nicky, plus vif, tire le
premier, la balle transperçant l’épaule de l’homme qui n’est autre que le bras droit d’un studio concurrent, qui veut dominer le monde cinématographique de Gérardmerveille…
Nicky désarçonne de la moto l’agresseur, fait monter Clara à l’arrière, et filent dans les rues d’une ville baignée par un soleil couchant. L’homme à terre, se relève, la
main saisissant fortement l’épaule ensanglanté, et ne semble pas exprimer la douleur. Il est terriblement en colère, car sa moto fétiche lui a été fauché…
Clara, qui n’appréciait guère les regard vicieux que lui portait son protecteur, commence à changer d’avis à son sujet. Un homme aussi doué, doit l’être autant au lit,
et derrière ses airs de rustres, il a peut-être un cœur tendre. Mais Nicky, caressant la calandre de la moto tout en la manœuvrant, ne fait plus attention à Clara.
Penché sur l’engin, il a l’impression de faire l’amour avec, et que de sensations à cette vitesse. La Harley lui procure des moments agréables….
Tentant d’échapper aux tueurs lancés à leurs trousses, et de contrecarrer les plans de se studio pourri, Nicky et Clara vont jouer au triangle amoureux par le biai d’une
Harley Davidson…
Sortie le 08 Novembre 2019
Une idée comme ça...