Boucheries
Réalisatrice : Jenny Feldman
Acteurs : Nicholas Courage, Tara Bregman
Quelque part dans le Cantal, des dizaines de voitures de policiers et d’ambulances déferlent en direction
d’un site où se tient un immense abattoir. Les premiers agents à entrer dans ce lieu en ressortent blême de
dégoût, et vomissent toute l’horreur qu’ils ont pu voir. A l’intérieur, une véritable boucherie (au sens propre
comme au sens figuré). Toutes les personnes qui travaillaient ici (à peu près une centaine) sont retrouvées
pendus à des crochets, la gorge tranchée comme du bétail…
A peine une semaine plus tard, sur une aire d’autoroute, un semi-remorque transportant de la volaille est
laissé à l’abandon depuis quelques jours. L’odeur nauséabonde et insoutenable qui s’en dégage à attirée les
autorités locales. Lorsque les portes du camion sont ouvertes, un essaim de mouches obstrue la vue des
policiers avant de s’évanouir dans les airs. A l’intérieur du camion, des dizaines de corps pourrissant et
dévorés par des asticots, sont entassés dans des cages, comme des poulets. La température avoisine les 50° C,
dans ce dédale de cadavres. Plus tard, les autopsies dévoilent qu’ils sont tous morts d’asphyxie…
Les deux affaires sont vites reliées, et deux inspecteurs sont mis sur le coup. Les premiers éléments de
l’enquête indiquent que tous ces morts ont subi le même sort, qu’eux-mêmes donnaient aux animaux. Dans
l’abattoir, aucunes normes étaient respectées pour tuer le maximum d’animaux. Les vaches étaient arbitrairement
égorgées, et ne mourraient que plusieurs minutes après, lorsqu’elles s’étaient vidées de leur sang (*faits
véridiques). Tout le personnel de l’abattoir à connu le même sort, pendus à des crochets, la tête en bas,
égorgés, se vidant de tous leurs sangs…
Pour le camion de poulet, le même principe a été mis sur pied. Tous les cadavres sont les employés d’une
ferme du sud, qui élevaient des poulets en batterie. Ils expédiaient leurs marchandises à travers le pays.
Ils entassaient les volatiles dans des cages, quitte à ce que certains se brisent le cou ou suffoquent. Et
mettaient un maximum de cage dans le camion. Le camion pouvait rouler des jours sans que sa cargaison soit
aérer (*Toujours faits véridiques). Les employés de cette ferme connurent le même destin tragique…
Les inspecteurs se rendirent vite à la même conclusion, Ils ont à faire à un groupuscule protecteur des animaux.
Mais quelque chose semblait leurs échapper : Ce groupe est contre la torture des animaux, mais ne remet pas en
cause leurs morts pour nous nourrir…
Nos inspecteurs ont du pain sur la planche, car dans quelques jours c’est la fête du mouton pour les musulmans,
et la tradition veut que les ovins soient égorgés comme dans les coutumes ancestrales. Le temps presse avant
que de nouvelle tueries soient perpétrés à travers le pays, d’autant plus que ces meurtres pourraient paraitre
raciste pour le grand public…
Sortie le 17 janvier 2015
Une idée comme ça...
Acteurs... Pour de vrai !
Réalisateur : Sergiot
Acteur : Benjamin Biolerme, Polly Hemmings, Ron Hartnett, Iris Easdale
Musique : Cecilia Klimek
Le jeune Ludovic est un intermittent du spectacle. Il court de casting en casting, mais sans grand résultat.
C’est quelqu’un de très optimiste, et espère décrocher un rôle…
Cette fois-ci, il se rend dans un vieil immeuble, quelque part en banlieue parisienne. Il participe au
casting d’un grand film épique retraçant une période sombre de l’histoire de France. Des dizaines d’individus
patientent dans une salle d’attente improvisée. Au bout de deux heures, Ludovic finit par passer devant des
personnes de la production, et décrocher un rôle. Celui d’un commandant de l’armée royaliste française.
Pendant qu’il attendait, il fit connaissance de trois autres personnes. Damien, qui a le rôle d’un troufion
sous ses ordres. Et de Anita et Lucie, qui ont des rôles de femmes éplorés. Pour fêter l’obtention de ces
rôles, les nouveaux amis décident de passer la soirée ensemble…
Quelques jours plus tard, Ludovic et Damien se rendent sur le lieu de tournage pour jouer une bataille.
Des centaines de figurants se trouvent déjà sur place, et en costumes. A leur tour s’habillent d’apparats
militaires, et écoutent avec attention les instructions du metteur en scène…
Action !
Au milieu d’une prairie paisible, des cris font s’envoler les oiseaux du haut des arbres. Avec les cris, des
bruits de métaux s’entrechoquant se font entendre de plus en plus fort. Quand soudain, les deux camps adverses
se font face, et que des centaines de guerriers se rejoignent dans une mêlée indescriptible. Des coups d’épées
fusent de toute part, des boucliers volent aux éclats, des casques ensanglantés roulent parterre, …
Ludovic et son ami se trouvent au milieu de ce carnage, tentant de jouer leurs rôles, repoussant et
transperçant l’ennemi. Quand Damien, égorgée par un ennemi, tombe à terre. Ludovic pensant que son ami fait
semblant de d’être mort continue à se battre comme un endiablé. Il évite de justesse une lame, qui lui
égratigne néanmoins la poitrine. De douleur, il tombe genoux à terre, et ne comprend pas trop ce qu’il se
passe. Comment une fausse épée a pu le faire saigner ? Auscultant vite fait la sienne, il réalise que son
arme est aiguisée et tranchante, et qu’elle peut tuer. Avec effroi, il réalise qu’il a tué d’autres figurants.
A quatre pattes, il se rend vers la dépouille de son ami qui fait le mort pour de vrai. Il le comprend très
vite, quand voulant le remuer, la tête part en arrière, à l’inverse du corps…
Ludovic essaye tant bien que mal de sortir de ce carnage, où chaque figurants ne savent pas que cela pourrait
être leurs derniers rôles…
Sortie le 31 janvier 2015
Inspiré par une pub de Canal +...
La fée Lation
Réalisateur : Olav Joseph
Acteurs : Bill Hingue, Carrie Quinlan
Dans un monde imaginaire, peuplée de créatures plus enchanteresses les unes que les autres, vit une
vieille fée totalement délurée. Elle est appréciée par la confrérie des fées, et étant la plus âgée, devrait
siéger à leurs têtes. Hélas, son esprit dérangé ne lui permet pas d’accéder aux hautes fonctions de la
confrérie…
Malgré un age avancé certain, elle ne manque pas de souplesse, et pendant qu’elle joue au chat perché avec
son chat « Kal », une étrange malédiction frappe l’ensemble de ses consœurs. Pendant la réunion hebdomadaire
sur les nouvelles incantations pour créer de nouvelles recettes de cuisines, chacune des fées se voit
inexorablement et inexplicablement rajeunir. Au bout d’une dizaine de minutes, toutes les fées sont
devenues des nourrissons braillant…
Alertée par les cris des bébés, la vieille fée « Lation », accompagnée de son chat « Kal », se rend dans
la tour « Féerie », là où a eu lieu cette étrange malédiction. Elle ne sait où donner de la tête, des
dizaines de bébés hurlent à tout vent. D’un coup de baguette magique, la fée « Lation » crée des biberons
pour satisfaire les petits…
La fée tente de comprendre ce qu’il se passe, et malgré toutes ces pensées grotesques, elle finit par avoir
une intuition. Il y a de cela fort longtemps, un lutin rabougri avait demandé de l’aide aux fées. Il voulait
simplement un peu de nourritures pour pouvoir survivre durant l’hivers, car il avait passé l’été à faire
la fête sans se soucier du lendemain, et encore moins à réunir des prévisions pour l’hivers. De plus, étant
un être assez laid, sa vue faisait pouffer de rire les fées. Il s’en alla, en leur promettant un destin
funeste…
Elle partit vers la caverne où réside le lutin. A son arrivée, aucune trace du gnome. En inspectant les lieux,
elle finit par découvrir les traces d’un corps consumé. Elle comprit que le lutin n’était plus de ce monde, et
que ce n’était pas lui le responsable. Quand un lutin meurt, il disparaît dans un tourbillon de cendres. Il a
dû réellement mourir de faim...
Perché au plafond de la caverne, un hibou-cyclope observe la vielle fée. Il retransmet sa vision dans le
château de la fée « Bryl ». Cette dernière, qui est la véritable responsable de tout ce chaos, envoi un
griffon exterminer cette menace potentielle. La fée « Bryl » en veut à la confrérie des fées, car elle a
été évincée et expatriée par toutes les autres fées. La raison en était qu’elle était la plus belle. Rien
que la vue de sa beauté pouvait amadouer le plus terrible des dragons. Mais la jalousie féminine de ses
consœurs ont eu raison d’elle. Aujourd’hui, c’est l’heure de la vengeance…
La fée « Lation » devra contrer de nombreux obstacles avant d’arriver au château de la fée « Bryl », et
d’annuler la malédiction…
Sortie le 04 avril 2015
Basé sur un simple jeux de mots...
Tiques Toque
Réalisateur : Paul Tergest
Acteurs : Bill Hingue, Iris Easdale
Dans le studio d’un apprenti cuisinier, deux tiques se régalent du sang d’un chat. Thomas, le locataire des
lieux, affalé dans son canapé pourrave, mate le film d‘animation des studios Pixar « Ratatouille ». Le matou,
assis sur les genoux de Thomas, regarde également l’écran, espérant se farcire la souris en image de synthèse.
Quant aux tiques, entre deux gorgées d’un breuvage rougeâtre, regarde la même chose. C’est alors que l’une
d’elle pense qu’elles pourraient faire pareil que Remy la souris…
Les tiques aimeraient bien aussi avoir de la reconnaissance…
C’est ainsi qu’elles quittent un chat qui les agaçaient à recevoir des coups de pattes, et s’installent
dans les fringues du pauvre thomas. Le lendemain matin, le jeune homme se rend à son école. Et oui, il
est apprenti, il alterne la cuisine et les cours une semaine sur deux !! Les tiques, désespérées, attendent
la semaine suivante tout en s’octroyant une place de choix près d’une veine pulpeuse au niveau de la cuisse…
Le lundi tant espéré est enfin arrivé, Thomas va chez son employeur. Thomas est quelqu’un de très gentil,
et un peu naïf. Lui qui rêvait tant de grands restos chics parisiens, s’est retrouvé à faire des steaks
toute la journée dans une chaîne de fast-food. Thomas enfile son tablier, ses gants et sa toque. Les
tiques en profitent pour se faufiler dans la toque, espérant reproduire le dessin animé. Les acariens, ne
faisant que quelques millimètres, ne peuvent évidemment tirer les cheveux. L’une d’elles à une idée, Elles
ont qu’a enfoncer leurs aiguilles au niveau des influx nerveux, afin de faire agir l’hôte à leurs guises…
C’est ainsi que les catastrophes commencent, Thomas atteint de frénésie et de mouvements brusques et
incontrôlables, met des steaks parterre, flanque la spatule brûlante sur le visage de l’un de ces collègues,
bouscule un autre des ces collègues qui s’ébouillante avec l’huile de la friteuse, …
Le manager, surpris par ce comportement irresponsable fait remplacer Thomas à son poste, et le congédie
pour la journée. Les tiques, confuses, ne comprennent pas ce qui c’est passé. Tout comme Thomas, qui ressort
traînant les pieds, un regard vide fixant le sol…
Les tiques espères bien se rattraper le jour suivant, et réparer leurs erreurs…
Sortie le 11 avril 2015
Une idéee comme ça...
Le retrour du fils de la fiancée de la goule 3
Réalisateur : Barclay Noyes
Acteurs : Edward Raven, Kerrilyn Winstone, Nicholas Courage, Rebecca Yusef
Après « La belle-mère de la troisième femme de Dracula 4 », retrouvez le petit Ludovic dans de nouvelles
aventures en un lieu de villégiature, où plane un mystérieux mystère…
Donc Ludovic, surnommé Ludo par ses amis, Vic par sa petite copine, et le merdeux par ses parents,
part en voyage scolaire avec sa classe. Les 20 gamins, accompagnés de deux professeurs, se retrouvent
dans une auberge de jeunesse, quelque part perchée dans les Pyrénées. La température avoisine les –5°C, et
il neige abondement…
Curieusement, personne pour accueillir le groupe, les profs donnent aux enfants quartier libre, et de ce
choisir des chambres. Quant au chauffeur de l’autocar, il préfère rester dormir dans son véhicule, pour
pouvoir partir à la moindre accalmie Après une veillée à ce faire peur, sous les yeux bienveillants des
adultes, tout ce petit monde décide de se coucher…
Aux alentour de trois heures du mat’, un cri effroyable fait sursauter tout le monde. Il s’agit du gros
Blaise, qui, n’arrivant pas à dormir, allait à la cuisine pour vider le frigo. A peine avait-il franchi
le seuil de sa porte, qu’une main glacée se posa sur son épaule. Se retournant, à deux doigts de tourner
de l’œil, il vit une bonne femme hideuse, avec le visage atrophié, et un regard livide fixant le garçonnet.
Un des deux profs se pointa dans le couloir pour savoir d’où venait le cri. Tandis que l’autre prof pionçait
toujours, vu tout le whisky qu’il venait de s’enfiler, il avait prétendu aux autres, que c’était du jus de
pomme.
La vieille bique qui faisait peur à tout le monde, est la propriétaire des lieux, elle prétend qu’à cause
de ses somnifères, elle n’avait rien entendu, et s’excusa d’avoir effrayé le p’tit gros…
Ludovic qui a vu toute la scène, s’inquiète de cette étrange femme, qui ferait frémir un mort. Il décide
de l’espionner, et de fouiller dans ses affaires. Le lendemain, il commença ses premières investigations.
Fouillant dans la chambre de la vieille dame, il découvre de nombreux parchemins dans une langue totalement
bizarre. Cela fait à peine vingt minutes qu’il se trouve dans la pièce, qu’il est surpris par son hôtesse.
Essayant de s’enfouir par la porte, il est violemment projeté en arrière par cette dernière…
La vielle bredouille des mots à moitié compréhensible, Ludovic horrifié pousse des hurlements et tente de se
débattre. Le chauffeur du car, qui s’était réfugié à l’intérieur de l’auberge à cause du temps qui se
dégradait, intervient, et sépare les deux protagonistes. Au moment où Monsieur Gros-Bras s’apprête à asséner
un coup à la vieille, il s’arrête net devant le visage de la femme, et se met à la regarder bizarrement.
La vieille en fait autant. Puis, tous deux s’enlacent tendrement. Ludovic se pose des questions et ne comprend
plus rien…
Après dix minutes de chuchotements, le chauffeur parle à Ludovic et lui explique. La vieille dame attend son
fiancé depuis des années. Il lui a promit de revenir la chercher ici, et n’est jamais revu. Désespérément
amoureuse, elle attendit, elle attendit… Quant au chauffeur, par une curieuse coïncidence, il s’avère que
c’est son fils.
Ludovic qui comprend mieux, décide de partir à la recherche du fiancé tant attendu. C’est ainsi qu’il partit
dans un village en contrebas, un village qu’il découvrit à ses dépend que c’est un village de goules…
Prochainement, retrouvez Ludovic dans un nouveau conte à dormir debout : "Le second fils de Frankenstein s'est fait mordre par un loup-garou, 3ème du nom".
Sortie le 16 mai 2015
Une idée comme ça...
Héros de guerre
Réalisateur : Sergiot
Acteurs : Jack Carta, Eva M'Gonfler, Raoul Yusef, Polly Hemmings, Bill Hingue, Weston Byrne
[Acte 1] Une France occupée :
1941, en Grande-Bretagne, une unité spéciale est créée afin de pourrir la vie des allemands dans la France
de Pétain. Cette escouade formée de douze hommes, sont des condamnés à mort en sursis, ils ont le choix
entre une balle allemande ou la corde anglaise…
Leur première mission consiste à infiltrer une base d’officiers allemands, et de tous les exterminer.
Sur le papier, la mission est simple, par contre sur le terrain, c’est beaucoup plus délicat. Parachuté
en territoire ennemi, par une nuit sans lune, l’escouade fait une reconnaissance des alentours. Par jeu
et pour intimider les Allemands, leur commandant demande expressément à ce que chaque allemands tués durant
l’opération soit scalpé…
L’unité s’approche de la forteresse allemande, et place des charges explosives un peu partout, tout en
supprimant discrètement et scalpant les sentinelles. Très vite, les Allemands aperçoivent les intrus, et
l’alarme est déclenchée. Une fusillade éclat, faisant des morts dans les deux camps. Le Major Alan Crown,
qui n’avait pas terminé de placer les charges, se fait prendre. Ces camarades tentent de sauver leurs vies,
tout en enlevant celles des Boches.
Les Anglais réussissent néanmoins à faire exploser les quelques charges placées, tuant de nombreux allemands.
Mais une partie des officiers ont réussis à fuir avec le Major Crown comme prisonnier. Seulement quatre
hommes de l’unité sortirent vivant de ce bain de sang. La mission n’est pas un franc succès, une partie
des officiers est encore en vie….
Les survivants se lancèrent dans une politique de terreur vis-à-vis des Allemands, semant la mort et un scalp
en moins, dès qu’un nazi pointait son nez. Avant de les massacrer, ils voulaient savoir où se cachaient les
officiers, et éventuellement le Major. Au nombre des cadavres mutilés derrières eux, les Allemands les
surnommèrent les Diables…
Au bout d’une semaine, ils obtiennent les informations tant attendues, les officiers et le Major se cachaient
au même endroit : dans un château des Alpes Bavaroises. Il ne restait plus qu’à délivrer le major, qui est
expert en explosif, et de terminer la mission…
[Acte 2] La bataille du Pacifique :
1941, Pearl Harbor se réveille sous les bombes japonaises. Les Etats-Unis entrèrent définitivement dans
le conflit de la seconde guerre mondiale…
1942, Iles du Pacifique. Les Japonais comme les Américains s’apprêtent à s’envahir des lopins de terres
mutuellement. Les Japonais lancent une offensive de grande envergure contre l’île de Midway. L’armée
américaine, prévenu de ce plan à la dernière minute se prépare à contre-attaquer…
Quant aux américains, ils décidèrent d’envoyer plus de 16000 hommes à Guadalcanal, occupé par les forces
Japonaises, dans les îles Salomon.
De ces deux principales attaques, Japonais ou Américains auront la suprématie dans le Pacifique.
Mais les Américains veulent tenter un troisième front d’opération dans le Pacifique, l’invasion d’Iwo Jima.
Un même océan, deux ennemis, trois théâtres d’opérations. L’issu de la guerre pourrait en dépendre…
[Acte 3] Une Allemagne de terreur :
1942, dans un camp de prisonniers. Un nouvel américain, le Colonel William McNamara, vient grossir les
rangs des prisonniers. Cet homme de caractère s’impose assez vite comme un meneur d’hommes. Ce qui déplait
fortement au Capitaine Virgil Hilts, qui avait jusqu’à présent la main mise sur une bonne partie des
prisonniers…
Très vite, une rivalité farouche s’engage entre les deux hommes. Mais cette querelle est interrompue par la
mort d’un jeune soldat noir. Les Allemands désignent plusieurs coupables au hasard, afin de les exécuter pour
l’exemple. Le commandant demande au futurs condamnés à mort, de choisir un de leurs camarades qui sera également
fusillé. McNamara et Hilts arrivent à raisonner le commandant, afin qu’ils aient un sursis pour trouver le
vrai responsable. En réalité, McNamara et Hilts ont d’autres motivations pour surseoir à ce massacre, chacun
de leurs cotés, avec leurs partisans, ont élaborés un plan d’évasion sans que l’autre soit au courant. Par un
concours de circonstance, les évasions auront lieux le même jour…
McNamara et ses hommes ont construits un tunnel sous les baraquements, les emmenant à quelques mètres du camps.
Quant à Hilts et ses hommes, ils tueront les principaux chefs du camp, et sortiront par la grande porte. Tandis
que l’enquête sur la mort du soldat noir occupe les Allemands, les plans d’évasion se mettent en place…
Réussiront-ils ?
[Acte 4] La guerre du désert :
1942, Afrique du Nord. Les troupes du maréchal Rommel approchent de Suez. L'armée anglaise, emmenée par le
capitaine Roberts, fait front et parvient à stopper l'avancée des Allemands à Tobrouk…
Suite à cet échec, Rommel envoie les forces de l’Axe à El Alamein, en Lybie. Mais le général Montgomery
l’attend et tentera d'arrêter la progression des troupes ennemies. Par manque de carburant, Allemands et
Italiens doivent cesser toutes progressions. Les postes avancées se livrent alors à une guérilla sans grandes
conséquences stratégiques…
Tandis que les Alliés et l’Afrikacorps tiennent leurs positions, un colonel anglais engage un commando de
mercenaires pour faire des opérations de sabotage derrière les lignes allemandes…
Quant à Rommel, qui est trop malade pour suivre les opérations, il retourne en Allemagne se faire soigner,
mais ne manque pas d’engager également des soldats qu’il envoie derrière les lignes ennemies. Le sabotage
ne l’intéresse guère, ce qu’il veut, c’est l’élimination de l’Etat-Major anglais qui se réunit à Casablanca…
La situation semble bloqué pour tout le monde en Afrique du Nord, à moins qu’un grain de sable vient faire
pencher la balance d’un coté ou de l’autre…
[Acte 5] Le front Russe :
1943, Stalingrad. Ville assiégée par les troupes allemandes, où les Russes tentent de se défendre coûte
que coûte en repoussant l’ennemi bâtiment par bâtiment.
Dans ce contexte meurtrier, une petite unité allemande tente bien que mal de s’enfoncer dans les décombres
d’une ville déchirée. Le colonel Wilhelm, qui commande la troupe, est dans ce merdier uniquement pour
l’obtention de la fameuse Croix de fer, mais sans se mouiller. C’est ainsi qu’il envoi régulièrement ses
hommes au massacre sans risquer sa vie, toujours en retrait, bien à l’abri.
Depuis quelques jours, ils sont bloqués par un barrage de tirs d’un sniper, les empêchant toute progression.
Le soldat Ruiz, jeune idéologue séduit par la propagande nazie, est un tireur hors pair. Wilhelm lui ordonne
de faire la peau du sniper Russe. Pendant que ces camarades tirent à tout va en direction du russe, Ruiz sort
de sa planque, pour se faufiler dans un bâtiment en ruine un peu plus loin. De sa nouvelle cachette, il peut
distinguer au loin, des cadavres russes et allemands se faisant face pendant à des poteaux électriques, que
chacun des deux camps mettait pour apeurer l’ennemi…
Dans un hiver soviétique très rude, Wilhelm vit son jeune soldat disparaître dans le brouillard. Allant de
décombres en décombres, un duel à mort entre deux hommes se prépare…
[Acte 6] En mer :
1943, dans l’Atlantique. Depuis des jours une frégate ASM américaine et un U-boat allemand jouent à la
souris. Le sous-marin arrive toujours à échapper à son prédateur…
Ce que la frégate ne sait pas, c’est que le U-boat à en son bord des prisonniers américains. Prisonniers
capturés dans le port de Goa (Inde), alors qu’ils s’apprêtaient à faire sauter un navire qui détenait un
nouveau système de transmission. De plus, il a également quelques rescapés du cuirassé Bismarck, coulé y’a de
cela trois jours par un navire anglais.
Dans un endroit aussi réduit qu’un U-boot, les esprits s’échauffent, et les prisonniers américains profitent
de la confusion pour prendre le contrôle du sous-marin. Le major Clark fait envoyer par les orbites des
torpilles, les cadavres allemands qui ont résistés pendant le retournement de situation. De plus, il remarque
que le U-boot possède la fameuse machine codeuse Enigma tant convoité par les Alliés…
Le répit de Clark et ses hommes est de courte durée, quand de nombreuses secousses font danser le sous-marin.
Il s’agit de la frégate américaine qui a retrouvé sa proie, et lui envoie des mines sous-marines…
Allemands et Américains vont de voir s’allier pour pouvoir en sortir vivant…
[Acte 7] Une France à libérer :
6 juin 1944, le débarquement allié a lieu, les plages normandes sont souillés par le sang de jeunes gens
éloignés de leurs patries.
Lorsque les défenses allemandes sont défaites, plusieurs camps de base s’établissent. La plage d’Arromanche
devient le plus grand port artificiel jamais construit.
Petit à petit, les allemands sont repoussés à travers tout le pays. Le bataillon du colonel Kelly doit
contourner Paris par le sud, et continuer à repousser l’ennemi le plus à l’Est possible. Lors d’une
escarmouche, il capture un colonel allemand avec deux lingots d’or sur lui. Après un interrogatoire musclé,
Kelly apprend que les Allemands disposent d’une réserve d’or de 16 millions de dollars dans la petite commune
de Rethel, dans les Ardennes. Il n’a plus qu’une idée en tête, s’en emparer pour lui et ses hommes…
Ses plans ne devraient pas aller en contradiction avec sa mission initiale, qui était de défendre un pont sur
la Meuse, à quelques kilomètres au Nord de Rethel.
En cette fin 44, un terrible hiver s’est abattu sur le nord de la France. Kelly et ses hommes progressent
difficilement en direction de Rethel, mais ils sont loin de se douter que la bataille des Ardennes va être
particulièrement sanglant…
Sortie le 13 juin 2015
Il est à noté que la seconde guerre mondiale est l'une des périodes la plus sombre de l'histoire qui à générer le plus de films au cinéma. J'irai même à dire qu'Hollywood peut remercier Hitler !